Pendant plus d’un an l’OMS, notre gouvernement et les médias ont prétendu et répété sans cesse :
« Les vaccins sont efficaces à 97 % [1] ; se vacciner vous protège et protège les autres ; tous vaccinés tous protégés ; être vacciné protège des formes graves. »
Toutes ces affirmations sont fausses. Les chiffres publiés par l’OMS sur l’évolution de l’épidémie et la mortalité démentent totalement cette propagande pro vaccinale marchande.
Les pseudo vaccins anti-covid sont incapables d’éviter les contaminations
Au 27 avril 2022, un total de 11 438 720 838 doses anti-covid ont été injectées à près de la moitié de la population mondiale. Mais ces injections, loin de ralentir l’épidémie, paraissent l’avoir stimulée [2] avec l’émergence de variants plus contagieux apparaissant dans les pays les plus vaccinés. Au total, au 27 avril 2022, après quinze mois de campagnes d’injection, l’OMS a comptabilisé 8 fois plus de cas qu’avant les injections montrant que les vaccins ne protègent personne de la contamination et sont incapables d’arrêter l’épidémie.
Cette recrudescence de l’épidémie affecte surtout les régions les plus vaccinées, l’Europe et les Amériques, qui regroupent 75 % des nouveaux cas pour 25 % de la population mondiale.
Dans ces régions, les pays les plus vaccinés ont subi les plus fortes poussées de contaminations contrairement aux pays adeptes des traitements précoces.
L’efficacité d’une vaccination se mesure à sa capacité d’empêcher la contamination des vaccinés et la transmission aux contacts permettant de stopper l’épidémie. Cette évolution paradoxale de l’épidémie démontre que les slogans gouvernementaux « la vaccination est efficace à 97 % ; se vacciner vous protège et protège les autres ; tous vaccinés tous protégés » sont totalement mensongers.
Les vaccins n’évitent ni les formes graves ni la mort par covid
La vaccination en Grande-Bretagne ne diminue pas le risque d’être hospitalisé en réanimation : les vaccinés sont autant hospitalisés en réanimation, ainsi que le montre le pourcentage d’hospitalisation selon le statut vaccinal publié par Public Health England.
Au Canada, les chiffres des dernières semaines montrent que les vaccinés ont une mortalité supérieure aux non-vaccinés !
La fréquence des formes graves se mesure à la mortalité covid. Les données de l’OMS mises en courbes par Our World in Data montrent qu’au 21 avril 2022 les pays champions de la vaccination souffrent d’une mortalité covid par million d’habitants nettement plus élevée (Pérou 6 377/M, Grande-Bretagne 2 539/M, Malte 1 326/M, Gibraltar 2 997/M, USA 2 975/M, Italie 2 688/M, France 2 149/M, Israël 1146/M) que les pays qui ont utilisé les traitements précoces (Algérie 154/M, Madagascar 49/M, Inde 374/M, Afrique 184/M) et que la situation des pays très vaccinés s’est nettement aggravée dans les derniers mois.
Les injections anti-covid ne protègent donc pas des formes graves alors que les traitements précoces tels que l’hydroxychloroquine, artémisine, ivermectine y parviennent.
L’échec des injections anti-covid à prévenir les formes graves et la mort est d’ailleurs évident lorsqu’on observe la même mortalité covid en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine peu vaccinée :
L’immunité collective par la vaccination n’était qu’un mythe !
La très grande majorité des agences qui préconisaient la pseudo-vaccination pour créer une immunité vaccinale protectrice ont depuis reconnu qu’il s’agissait d’un mythe inatteignable, que ce soit en Grande-Bretagne [3], en Islande [4], en Espagne [5] à Singapour [6], en Belgique [7], en Norvège [8]…
L’OMS elle-même a déclaré que les doses de rappel ne mettront pas fin à la pandémie [9] et ses experts ont précisé dix jours plus tard : « Une stratégie de vaccination basée sur des rappels répétés » des premiers vaccins « a peu de chances d’être appropriée ou viable ».
Ils ont aussi reconnu implicitement que les vaccins actuels étaient peu efficaces en espérant « des vaccins contre le Covid-19 ayant un impact élevé en matière de transmission et de prévention de l’infection, en plus de prévenir les formes graves de la maladie et la mort, sont nécessaires et doivent être développés ». [10]
Depuis lors, le Danemark a interrompu sa campagne de vaccination et la Pologne refuse officiellement de « prendre ou de payer plus de vaccins contre le Covid-19 pour le moment ».
Ces pseudo-vaccins expérimentaux inefficaces sont dangereux
Au 23/04/2022, le site EudraVigilance, responsable de la surveillance des effets secondaires des médicaments dans l’Union européenne, recensait :
20 453 décès et 2 113 249 complications après injection ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/PFIZER
11 757 décès et 687 334 complications après injection d’ARNm SPIKEVAX/ARNm-1273 (CX-024414) de MODERNA
1 241 710 complications dont 8 927 décès après vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/AstraZeneca
Comme Eudravigilance ne recommande pas d’autopsie systématique après les décès post-injection, un lien de causalité certain ne peut pas être affirmé entre les pseudo-vaccins et toutes les complications observées, mais l’énormité de tels chiffres, jamais observés pour aucun autre médicament, constitue un signal d’alarme considérable et il est incompréhensible que nos autorités fassent semblant de les ignorer.
Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire et de baser leur politique sanitaire sur des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes liés aux entreprises des vaccins, et enfin considérer les faits avérés et interrompre leur campagne pro-vaccinale inefficace, mensongère et délétère en recommandant, en cas de besoin, les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans tous les pays qui les ont utilisés ?
La persévérance dans leur volonté d’imposer par tous les moyens ces médicaments expérimentaux, quel qu’en soit le coût humain, met gravement en cause leur responsabilité.