Le travail physique n’est pas reconnu c’est pour ça qu’il est mal payé. La bourgeoisie se reconnaît dans l’abstraction et le calcul, donc rémunère gracieusement ce genre de compétence.
Bien sur c’est passionnant, mais c’est plus dur, d’où à effort physique égal, le bureaucrate devrait être payé 300 et l’agriculteur 3000 ! Et aussi, parce que ça ne suffit pas, savoir que son travail va être reconnu et intégré par et dans l’histoire du pays !
À quoi ça sert de tailler une pierre en moulure sachant qu’elle va être tagguée peu après ?

J’ai cru remarqué que Paris était plus propre. Mais les travaux n’ont pas diminué. La plupart des bassins sont vides - ceux des Tuileries. Du coup y’a pas de gonz qui squattent autour. Alors on admire les moulures du bassin... L’eau de la Seine est toujours aussi opaque et fidèle à sa couleur indéterminée.

J’ai hâte que ce président-gestionnaire s’y baigne, suivi de près par John Michael.

J’espère que la petite Candace va bien. Fin de transmission.

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Ca fait du bien de me dire que je ne suis pas seul à penser la meme chose. Petit bémol, et ce n’ est que pour ma part, pour la chanson de fin de new order....
Pour tout le reste, absolument tout...Merci, merci infiniment

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MERCI pour cette pépite...... Que dis-je ?....... Ce joyau ciselé !

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Où l’on fait un sort a l’époque.
Sain moment de ressourcement qui nous venge de la médiocrité ambiante.

Du fond de notre jeunesse quelque chose aspirera toujours a cette France tranquille.

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Bravo à cette émission modeste et géniale.
J’apprécie la verve de Lounès Darbois qui aurait un livre à faire sur l’architecture avec David Orbach :

" L’architecture contemporaine est née avec le capitalisme moderne et elle est la forme construite du capitalisme financier dans lequel nous vivons aujourd’hui. Donc l’architecture contemporaine n’est rien d’autre que l’architecture ultralibérale. (...) Donc nous sommes en face d’un système de destructions massives qui certes détruit plus lentement qu’une bombe atomique, mais d’une manière bien plus efficace et à bien plus grande échelle qu’une bombe toute l’architecture d’une région ou d’un pays. Et même les anglo-saxons, qui savent construire des horreurs, prennent peur de ce que de ce que nous sommes capables de construire, ils appellent cela « le Hard French » . " (Univ. Pop. de Caen 2011)

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@Gaudefroy

Pourtant c’est au nom de l’égalitarisme (et de l’accueil de toute l’Afrique) qu’on construit, au nom de l’égalitarisme qu’il faut un logement pour handicapés au RDC, avec le bon espace pour tourner le fauteuil dans la salle de bain, au nom de l’égalitarisme qu’il faut que tout ces immeubles se ressemblent, pour répondre à un cahier des charges tellement lourd (espaces normés et inclusifs) qu’il suffit presque à définir la forme et les aménagements de l’édifice. L’architecte n’a plus qu’à enregistrer les ordres.

L’architecture libérale, c’était Franck Lloyd Wright, et ça avait une autre gueule. En fait, ça avait une gueule, tout simplement. Les grandes tours transparentes, ça aussi ça fait pas très libéral, bien qu’il faille sûrement bcp d’argent pour les construire, et que ce soit le tertiaire qui les occupe. L’esprit de ces bâtiments, le souffle qui les hante, est plus proche du petit bonheur socialiste que de l’individualisme libéral.

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