Par le biais de la vice-présidente chargée de l’instruction, le tribunal judiciaire de Paris a fait savoir à Alain Soral qu’il « envisageait » sa mise en examen suite à une plainte avec constitution de partie civile déposée par la Ville de Paris.
Une plainte déposée le 14 juin 2019 pour « diffamation » et « injure publique envers un corps constitué » et motivée par deux commentaires postés par des internautes sur le site E&R sous l’article intitulé Quand la mairie de Paris finance un "atelier queer" pour les 7-14 ans .
Les deux commentaires mis en cause :
D’où il ressort que :
critiquer les accointances LGBT de la mairie de Paris (et plus largement s’offusquer de la privatisation de l’argent public au profit d’une communauté se définissant par son appartenance sexuelle) devient passible de poursuites ;
le président d’E&R Alain Soral est systématiquement poursuivi en justice pour des faits qu’il n’a pas commis : ici des commentaires d’internautes sous un article qu’il n’a ni rédigé ni mis en ligne (le cas est similaire lors des affaires concernant les dessins relayés par E&R).
Une preuve de plus que, pour certains, tous les moyens sont bons pour faire taire l’authentique insoumission française !
Extrait de la lettre recommandée adressée à Alain Soral :
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