Lors d’un débat à la récente fête de L’Humanité, Jacques Fath, responsable des relations internationales au PCF, a déclaré : « Pour que la paix soit possible, il faut que Bachar al-Assad tombe, c’est l’unique solution ». [1]
Cette prise de position range la direction du PCF dans le camp de ceux qui s’opposent à une issue pacifique du conflit qui ensanglante la Syrie.
Le départ de Bachar al-Assad, c’est ce que ne cessent de revendiquer l’administration Obama, le gouvernement Hollande-Fabius et les monarchies réactionnaires du Qatar et d’Arabie saoudite. Le camp des « ultras ».
Pourtant cette exigence n’a jamais été un préalable dicté par les instances de l’ONU, en particulier elle ne figure pas dans la résolution de l’Assemblée générale adoptée en février 2012.
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