« La plupart des maladies, endémiques actuellement, ne sont pas des maladies. Elles sont la conséquence inévitable d’un manque, pendant des années, de vitamines et d’autres substances naturelles alors que ces substances remplissent des fonctions essentielles du métabolisme dans des millions de cellules de l’organisme. »
La première de ces substances indispensables pour la résistance et la protection de notre organisme est la vitamine C.
Tout le monde connaît la réputation de la vitamine C pour booster les défenses immunitaires, repousser la grippe ou la fatigue… Mais peu d’entre nous connaissent ses multiples bienfaits et surtout les dérèglements qu’entraîne sa carence. Contrairement à la majorité des animaux qui synthétisent la vitamine C à partir de l’UDP glucose [1], l’être humain n’en fabrique pas et doit donc la trouver en totalité dans son alimentation. D’où la nécessité d’une nourriture de qualité. Nous trouvons la vitamine C naturelle dans les fruits et légumes frais et la viande crue.
Parmi ses bienfaits :
Elle joue un rôle anti-infectieux très important en renforçant nos défenses immunitaires et permet effectivement une meilleure protection contre la grippe, les bronchites, la fatigue, les problèmes respiratoires.
Elle est essentielle pour la santé du cœur, du système vasculaire, en assurant la résistance des parois capillaires, en améliorant la microcirculation cellulaire, en régulant la perméabilité des vaisseaux, artères, veines et capillaires. De nombreux spécialistes tels que le Dr Mathias Rath, le Pr Linus Pauling (double prix Nobel), Gilbert Crussol ou encore Michel Dogna considèrent que la carence de l’organisme en vitamine C est à l’origine de la dégénérescence du système vasculaire.
Elle réduit les graisses et le taux de cholestérol.
Elle diminue les risques de cataracte et de glaucome, une des principales causes de cécité.
Elle est une des substances les plus efficaces contre les radicaux libres.
Elle protège contre les fractures, est indispensable à la cicatrisation osseuse et tissulaire, la santé des gencives, de l’os alvéolaire, des disques vertébraux, en protégeant le collagène.
Elle ralentit le vieillissement cellulaire.
Elle nous protège contre l’environnement toxique (épandages, fumées toxiques, produits chimiques, radiations, métaux lourds…) En effet, elle est la substance utilisée par l’organisme pour lutter contre tous les poisons, diminuer les effets secondaires des médicaments, de l’exposition aux métaux lourds…
Elle permet la souplesse et l’élasticité des tissus, spécialement pendant la grossesse, veille à la beauté des cheveux, la pousse des ongles… permet l’absorption et distribution de tous les autres nutriments.
Elle aide nos enfants à grandir, leur donne de l’appétit et stimule leurs fonctions cérébrales.
Elle est indispensable pour avoir un bon fonctionnement des systèmes hormonaux.
Elle augmente la résistance de l’organisme aux chocs anaphylactiques, aux allergies, au stress psychique et physique, à la douleur.
À concentration suffisante, on lui reconnaît une action antitumorale.
Inversement, la carence en vitamine C entraîne un mauvais fonctionnement de nos organes et de nombreuses maladies.
Il y a à peine quelques décennies, de nombreux enfants mourraient et des armées entières étaient décimées par des « épidémies » qui n’étaient rien d’autre que le Scorbut, c’est-à-dire une carence aigüe en vitamine C. Si cette époque semble aujourd’hui révolue, l’absence de symptômes extérieurs spectaculaires ne doit pas faire oublier que certains états de carence en vitamine C restent extrêmement dangereux.
« Les substances toxiques, le stress intense, une petite chirurgie ou une anesthésie dentaire, la consommation de tabac, de médicaments comme l’aspirine, les antibiotiques, les antalgiques, les tranquillisants, un effort sportif intense, un effort intellectuel soutenu, une pollution environnante importante, etc., sont de grands consommateurs de vitamine C dans notre organisme [2]. »
Toutes ces situations entraînent une chute du taux de vitamine C dans l’organisme. Nous risquons donc l’état de carence à tout moment, sans le savoir, simplement parce que nos besoins momentanés ne sont pas couverts par l’apport de notre nourriture. Il en résulte ce qu’on appelle l’hypoascorbémie (carence grave), qui peut provoquer des conséquences multiples : allergies, anémies, constipation, fatigue chronique, insomnie, œdèmes, infections (dont les maladies nosocomiales), arthrose, douleurs diverses comme le mal de dos, faiblesse des disques intervertébraux, augmentation de l’addiction au sucre et l’absorption intestinale du glucose, stérilité, dépression nerveuse [3], QI insuffisant, retard scolaire, affections cardio-vasculaires, mauvaise coagulation sanguine, varices, abaissement du seuil de la douleur...
À ce sujet, le Dr Crussol précise :
« On ne devrait jamais opérer un patient dont l’ascorbémie est basse. (…) À cet effet, une perfusion de trente à cinquante gramme devrait être pratiquée avant et après les opérations chirurgicales [4]. »
Il affirme en outre que « l’émergence de la douleur ne se produit pas si la concentration dans le corps d’acide ascorbique est suffisante (…) et que, si la douleur est présente, on peut souvent la faire disparaître, c’est une question de quantités de vitamine C, de voie de distribution et de fréquence ». Il rejoint ainsi les travaux du Pr Emmanuel Cheraskin et d’Ewan Cameron, selon lesquels la vitamine C – qui ne peut être considérée comme un antalgique – remplacerait en quelques jours l’utilisation de la morphine dans la gestion de la douleur.
Les médecins et les chercheurs ayant publié sur la vitamine C s’accordent pour dire qu’il est raisonnable de prendre entre 5 et 15 grammes de vitamine C par jour (1 à 2 cuillères à café), par voie buccale, pour une personne en bonne santé, afin de prévenir tous les risques énumérés plus haut ; les quantités pouvant augmenter considérablement si la personne est malade. Michel Dogna explique :
« Lors d’une maladie, on peut augmenter progressivement la vitamine C de 2 grammes par heure jusqu’à ce que votre ventre commence à gargouiller ou que vous ayez des selles molles. On appelle cela le titrage de doses de vitamine C. (…) Des doses plus élevées peuvent provoquer des ballonnements, des coliques ou de la diarrhée, car lorsque la vitamine C excède les besoins du corps, elle n’est pas absorbée. »
Pour les pathologies lourdes comme les intoxications graves ou les cancers [5], les spécialistes préconisent de la vitamine C injectable par perfusion en intraveineuse, dont la dose peut atteindre 50 ml ou plus par séance.
La vitamine C, parce qu’elle permet au corps d’exprimer tout son potentiel mais aussi de se protéger contre certaines agressions liées à un environnement pollué ou à un quotidien stressant, est donc une composante essentielle de l’alimentation. Si nos modes de vie modernes ne nous permettent pas de nous nourrir correctement et donc de combler nos besoins en vitamine C, celle-ci existe heureusement sous forme de complément alimentaire. Prenons le Maquis vous propose ainsi des sachets de 250 g qui permettront, à raison d’une dose de 2 à 4 g par jour, d’apporter à votre corps une composante indispensable de sa pleine santé.