Le peuple russe a réussi à déjouer la dernière tentative du Parti covidiste mondial pour faire appliquer sa liste la plus récente de restrictions et de vaccinations.
Le nouveau tour de vis sur les covidés avait été enclenché le 16 juin, alors que Poutine se trouvait au sommet de Genève. Le maire de Moscou, M. Sobianine, a annoncé que des codes QR seraient exigés pour entrer dans tous les cafés et restaurants, et a ensuite exigé la vaccination obligatoire. Mais les Russes continuent de refuser d’obtempérer ; ils ont désormais trouvé de nombreux moyens de déjouer le système, la solution la plus simple étant d’éviter (et donc de mettre en faillite) les restaurants collabos. Le régime Vaxx obligatoire rassemble de nouveaux conspirateurs (comme Alexei Navalny, le Guaido russe actuellement en prison pour escroquerie) et les propagandistes de la vieille école du Kremlin, constituant une entente étrange (et suspect). Aujourd’hui, ils excrètent à l’unisson la matière des médias de masse de New York.
Bien des poutinistes loyaux ont été déçus et se sont sentis agressés par les actions du maire de Moscou ; ils ont parlé de trahison et de reddition abjecte aux Démocrates américains. Les gens ont commencé à grommeler qu’ils allaient voter communiste aux prochaines élections parlementaires (le 19 septembre 2021). Le président Poutine a fait de son mieux pour rester au-dessus de la mêlée, mais reconnaissant que le parti covidique était en train d’organiser activement sa disparition politique, il a pris des mesures pour sauver ses fidèles. Poutine a publiquement demandé au maire de lever les restrictions, puis, en coulisses, il les a fait lever. Les QR codes se sont taris et la paix est revenue dans la société russe, à peine un mois après l’annonce des restrictions. L’effort de vaccination se poursuit, mais seulement sur les volontaires. Sauf imprévu, la Russie a traversé l’épreuve de la pandémie avec brio, dans un style typiquement russe (« Donnez une bougie à Dieu et un tisonnier à Satan »). Des gens sont tombés malades et sont morts, comme toujours, mais il n’y a pas eu de troubles, pas d’émeutes, et Poutine continue de surpasser ses adversaires, en paroles et en actes.
Tous les dirigeants ne parviennent pas à sortir intacts de ces confrontations orchestrées avec les covidiens du monde entier.
Le président d’Haïti, Jouvenel Moïse, avait hésité à promouvoir le vaccin dans son pays pauvre ; il n’a pas tout arrêté pour réorganiser aussitôt le gouvernement de son État autour du nouveau régime vaxx+. Il avait ensuite refusé catégoriquement de collaborer avec AstraZeneca, affirmant que ce produit était dangereux pour la santé. Il était loin de se douter que refuser Big Pharma est périlleux pour la santé, même celle du dirigeant élu d’un État souverain. Malheureusement, il a été assassiné par une bande de mercenaires colombiens se réclamant de la DEA (l’administration américaine chargée de la lutte contre les stupéfiants), certains d’entre eux effectivement sous les ordres de la DEA. L’assassinat a été organisé par une société de sécurité basée en Floride. Les tueurs sont des agents formés par l’armée américaine. Dès que le président d’Haïti a été assassiné, les États-Unis ont fait appel aux Marines, assortis d’un demi-million de doses de vaccin. Et voilà comment cette petite rébellion contre l’empire covidique a été écrasée.
Moise tentait courageusement de suivre les traces de quatre dirigeants africains qui ont également tenté de résister à la domination de Covid. Le président tanzanien, John Magufuli, un homme debout, avait adroitement testé une papaye, une chèvre et un échantillon d’huile de moteur pour détecter la présence de Covid en utilisant des tests fournis par l’OMS, et ils s’étaient tous révélés positifs. Il a rejeté les tests et déclaré la Tanzanie libre du Covid. Immédiatement après, le Guardian de Londres (dans une section financée par Bill Gates) a appelé à un changement de régime. Le Conseil américain des Relations étrangères a appuyé cet appel, et que ça saute. Illico presto, l’homme est mort. Il a été avancé de manière convaincante que la Tanzanie n’avait pas été touchée par le Covid parce que la population utilisait régulièrement un médicament anti-paludisme facilement disponible et peu coûteux et que le redoutable coronavirus n’arrivait pas à rendre les gens malades.
Avant Magufuli, il y avait eu le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, qui n’avait pas autorisé les envoyés de l’OMS à entrer dans son pays, avait refusé de confiner la population et de succomber aux tests de masse. Il est rapidement décédé d’une crise cardiaque, tout comme Magufuli. L’homme qui a pris sa place a immédiatement invité l’OMS dans le pays et a suivi ses instructions.
Hamed Bakayoko, le Premier ministre de la Côte d’Ivoire et Ambrose Dlamini, qui était Premier ministre d’Eswatini (Swaziland) sont également morts dans des circonstances suspectes. Sur les circonstances suspectes entourant ces assassinats les « vérificateurs de faits » de Reuters se sont emparés du sujet, et ils claironnent que « rien ne prouve que les dirigeants de la Tanzanie, de la Côte d’Ivoire, de l’Eswatini et du Burundi aient été tués pour avoir refusé de vacciner leurs pays contre le Covid-19 ». Je me demande si ces vérificateurs de faits étaient si prudents quant à l’acceptation des preuves lorsque Reuters accusait Trump d’être un agent russe ou lorsqu’ils affirmaient que Poutine avait empoisonné Navalny avec du Novichok.
Il y a également une composante Covid dans l’emprisonnement récent de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma. Bien que nous soyons conscients des différences tribales en Afrique du Sud, et même du fait que Zuma avait franchi la « ligne rouge » en attaquant Oppenheimer ou De Biers, son dossier en matière de Covid n’a pas été largement diffusé. Une petite recherche de Paul Bennett révèle la vignette suivante :
Le 05 juillet 2021, l’ancien président Jacob Zuma a balayé d’un revers de main les questions concernant ses partisans qui s’étaient rassemblés devant sa maison à KwaZulu-Natal sans respecter les règlements covidique. Zuma, qui n’a pas été vacciné contre le Covid-19, s’est adressé aux médias dans sa maison de KwaDakwadunuse à Nkandla dimanche soir et a déclaré qu’il n’était pas responsable de ce que ses partisans avaient fait, même si leurs actions allaient à l’encontre des règles du confinement. Selon M. Zuma, les "mesures sanitaires" ne diffèrent guère de celles qui avaient été imposées à la population pendant l’état d’urgence du milieu des années 1980, imposé par le régime de l’apartheid. "Nous avons un confinement de niveau 4 avec toutes les caractéristiques de l’état d’urgence et des couvre-feux des années 1980", a déclaré Zuma. "La seule différence est que nous utilisons des niveaux différents de chantage, comme ’l’outrage au tribunal en lieu et place du maintien en détention sans procès’ mais en substance c’est exactement pareil. Être enfermé sans procès, ce n’est pas vraiment différent d’être mis en détention sans procès."
Zuma a révélé qu’il n’avait pas été vacciné contre le Covid-19 malgré le fait que sa tranche d’âge était qualifiée pour la piquouze. Dans ce qui pourrait être considéré comme son premier signe de non-respect des règles confinatoires, l’ancien président est sorti avec des Amabutho (ses régiments zoulous) samedi pour saluer des partisans, sans masque.
Gardez à l’esprit les mesures anti-covid extrêmement strictes en Afrique du Sud, et vous comprendrez que leurs émeutes sont une réponse naturelle à l’oppression confinatoire, tout comme celles de BLM aux États-Unis. Vous êtes libre de tirer vos propres conclusions sur les coïncidences dans le cas de Zuma, comme pour tous les autres changements de régime récents liés à l’activisme des covidistes.
Le masque est un signe « maçonnique » de soutien aux Maîtres du covid. Les bons petits gars comme Biden portent le masque même lorsqu’ils sont seuls, tandis que la mauvaise graine comme Trump se laisse voir généralement sans masque.
Loukachenko et Poutine sont des non-masqués, tandis que l’opposition biélorusse et les partisans de Navalny portent sagement leurs masques. Au Chili, la gauche a récemment organisé des primaires pour choisir un candidat commun à la présidence. Le favori était Daniel Jadua, un petit-fils d’immigrés palestiniens connu pour son opposition farouche à Israël. Pire, il s’est battu pour des médicaments abordables et a été le pionnier des « pharmacies populaires ». Sur ses photos, il ne porte pas le masque. Il a été violemment attaqué par les juifs chiliens qui ont condamné son antisémitisme (eh oui !). Jadua a été battu et les heureux vainqueurs ont immédiatement présenté leur visage srictement masqué aux médias afin que nous sachions tous qui sont les gentils et qui sont les méchants. Parfois, les hommes politiques jouent sur les deux tableaux, par mesure de précaution. Les ministres des Affaires étrangères russe et iranien ont fait plaisir aux fans de masques en posant pour des photos entièrement masqués, se donnant les coups de coude requis, puis se sont repositionnés pour des photos qui plairont aux gens ordinaires, sans masque et en échangeant une saine poignée de main. Le masque est devenu une déclaration muette autant que publique d’allégeance au récit covidesque officiel, de la même manière que les chrétiens font le signe de croix.
Les récentes émeutes à Cuba ont été décrites comme une « révolte covidique » par le Wall Street Journal. Cuba présente en effet un nombre inhabituellement élevé de cas signalés, d’hospitalisations et de décès – pour un pays doté d’un système de santé excellent et gratuit. Mais c’est à un niveau plutôt bas pour l’Amérique latine ; Cuba l’île communiste s’en sort très bien par rapport au meilleur allié de l’Amérique, la Colombie anticommuniste.
Les problèmes de Cuba n’ont pas changé depuis 1960 ; ce sont les sanctions américaines qui continuent à étrangler cette île et sa population de 12 millions d’habitants. Depuis 1991, il n’y a plus d’URSS pour soulager sa solitude, pour acheter son sucre et lui vendre du pétrole. La Russie de Poutine est amicale mais elle n’est pas prête à se brouiller avec Washington pour les beaux yeux de La Havane. Le Venezuela donnerait volontiers un coup de main mais il est également soumis à des sanctions américaines. L’Iran lui fournirait volontiers du pétrole mais la marine américaine arrête ses navires et leur vole le pétrole. Biden, comme Trump avant lui, veut prouver que le communisme ne fonctionne pas ; tout ce qu’ils prouvent en réalité, c’est qu’il est très difficile pour un petit pays de survivre si les États-Unis sont bien déterminés à l’écraser.
Les dirigeants cubains ne sont ni des dissidents du Covid ni des anti-vax. Cuba avait déjà développé son propre vaccin et commencé à vacciner la population. Ce n’était pas une entreprise facile, car même les aiguilles pour les seringues sont sous sanctions américaines. Pire encore, les efforts déployés par les Cubains pour se protéger tout seuls ont suscité la fureur du parti américain du vaccin : ils veulent que tout le monde soit vacciné avec les vaccins américains, et toute forme de concurrence les rend fous. Les Cubains, en tant que producteurs de vaccins eux-mêmes, ont pris le Covid très au sérieux et ils ont imposé de nombreuses restrictions à la population ; les nouvelles règles standard que nous connaissons tous maintenant : confinement, masques, distance sociale. Nous nous débrouillons avec tout ce qu’on nous impose, en remplissant nos garde-manger, nos frigos et nos congélos. Les magasins sont bien approvisionnés, de sorte que nous mangeons fort bien et passons simplement plus de temps à la maison. À Cuba, les maisons sont petites ; les gens n’ont aucun moyen pour amasser des stocks de nourriture. Les étagères des magasins sont vides ; la nourriture est rare, toujours en raison des sanctions. En outre, le tourisme est presque mort maintenant, et c’était une source importante de revenus à Cuba. La combinaison des restrictions imposées par le Covid et de la pénurie alimentaire en raison des sanctions a jeté les bases de certaines émeutes très médiatisées : encouragées, promues, dirigées et gérées par le département d’État américain.
Un Cubain sur deux a un parent à Miami ; et l’État rouge de Floride ne connaît ni confinements ni masques. Cela a rendu les Cubains encore plus furieux. Les émeutes ont été gérées avec doigté ; le gouvernement a simplement submergé les foules financées par les États-Unis avec ses propres partisans, transformant les manifestations anti-Covid en manifestations pro-Cubaines. Apparemment, les autorités communistes sont encore suffisamment populaires pour mobiliser de grandes quantités de volontaires. Rien de tout cela n’a empêché les grands médias mondiaux de déformer la source du mécontentement des Cubains, ni Washington de poursuivre son ingérence, mais tout est bien qui finit bien, et nous gardons espoir.
Phillip Knightley nous apprend dans The First Casualty qu’entre novembre 1917 et novembre 1919, le New York Times avait rapporté pas moins de quatre-vingt-onze fois que les bolcheviks étaient sur le point de tomber ou étaient déjà tombés. « Lénine perd le contrôle », « Lénine et Trotski ont fui le pays », « Les bolcheviks doivent tomber ». Quatre fois, Lénine et Trotsky auraient envisagé de s’enfuir ; trois fois, ils avaient déjà fui ; une fois, Lénine avait été tué, et trois fois, il était en prison. Aujourd’hui, le New York Times et le Wall Street Journal annoncent quotidiennement que la chute des communistes de La Havane est imminente.
Il y a un drôle de sentiment de déjà vu. En 1917, une photo montrant des troupes russes entassées sur le toit de wagons de chemin de fer sur le chemin du retour chez eux avait été publiée sous le titre Les troupes russes se hâtent vers le front. En 2021, une photo d’une énorme manifestation à La Havane en faveur de la révolution cubaine est publiée sous le titre Les Cubains se rebellent contre le régime communiste. Quelques jours plus tard, le titre a été discrètement corrigé.
La chute de Cuba n’est pas imminente, mais le gouvernement est pris dans un double piège. S’il ignore le Covid et évite les verrouillages, il ne pourra pas vendre ses vaccins à l’étranger. Ils ne pourront pas recevoir de touristes étrangers. Si Cuba connaît encore un seul décès imputable au Covid, Washington prétendra que les communistes ont condamné tous les Cubains à une mort horrible. Si Cuba rejette la cabale internationale covidique, le blocus ne fera que se resserrer davantage, car le Canada, l’Espagne et la France (les pays qui envoient le plus de touristes à Cuba) pèsent lourd dans les restrictions Covid. En 2020, la Suède a essayé d’éviter les mesures covidales et, pendant un certain temps, elle a été quasiment exclue de l’Europe.
Cuba ne peut pas se permettre de se couper de la communauté mondiale. D’un autre côté, si le gouvernement cubain enferme son peuple pour plaire au régime covid, il risque de provoquer un grand mécontentement, qui peut déboucher sur de nouvelles émeutes. C’est exactement ce que veulent les maîtres du Covid, des troubles mondiaux. Le chaos est synonyme d’opportunité, du moins pour certains d’entre nous. La stratégie pour gérer le virus représente une pression trop forte pour les « États en faillite ou en déliquescence, de Cuba à l’Afrique du Sud en passant par l’Iran et la Corée du Nord », écrit le Daily Telegraph : « Le Covid pourrait renverser les pires régimes du monde ».
De nombreux États se trouvent aujourd’hui dans une situation précaire, notamment le Royaume-Uni, où l’on prévoit d’introduire un pass sanitaire pour se rendre dans les boîtes de nuit et une nouvelle taxe sur le sel et le sucre, mais nous sommes encore loin des sombres prédictions de Contagion, le film de 2011, une répétition générale hystérique du Covid scénarisée par la Fondation Rockefeller. Dans le film, les gens tombent comme des mouches, se révoltent comme les BLM à Seattle et attendent avec impatience que le seul et unique vaccin les sauve. La réalité n’est pas aussi dramatique.
Les vaccins ne sont pas mortels (malgré les affirmations de Luc Montagnier) mais ne peuvent pas nous sauver non plus. En Israël, pays fortement vacciné, la propagation implacable du Covid n’a pas pu être arrêtée. Les gens tombent malades et meurent, certains vaccinés, d’autres non.
Avant, les personnes âgées mouraient de la grippe, maintenant elles meurent du Covid. Le Clot Shot est peut-être en train de nous tuer, mais il est trop tôt pour en juger. Dans un an, nous en saurons plus.
Une façon de riposter consiste à appliquer au vaccin les mêmes critères que dans le cas de toute autre maladie. Les personnes décédées dans les 28 jours suivant un test PCR positif ont été déclarées officiellement victimes du Covid. Disons donc que les victimes du Vaxx sont toutes les personnes qui sont mortes dans les 28 jours suivant leur vaccination. Cette méthode permet d’obtenir un grand nombre de victimes. En Écosse, 6000 personnes sont mortes dans les 28 jours suivant leur vaccination, selon les statistiques officielles. Selon le système américain VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), plus de vingt-six mille personnes sont soit décédées, soit ont subi une atteinte mettant leur vie en danger, soit ont été handicapées de façon permanente dans les 30 jours qui ont suivi la réception d’un vaccin Covid. Voici ce que ça donne :
Vaccinés contre le Covid-19 avec PFIZER-BIONTECH : 1200 personnes ; un mois plus tard, 17 421 personnes décédées ou souffrant de pathologies graves, soit 66.97 % de « victimes ».
Même chose avec le vaccin MODERNA (1201 personnes) ; un mois plus tard, 7 375 « victimes », soit 28,35 %.
Et pour le vaccin JANSSEN (1203 personnes vaccinées) ; un mois plus tard, 1 398 « victimes », soit 5.37 %.
Au total : 3604 vaccinés, sur 26184 morts ou gravement atteints.
Nous pourrions en même temps mettre en doute la létalité du Covid lui-même, puisque presque tous ceux qui sont morts souffraient déjà de « comorbidités ».
Nous le savons tous, et pourtant la campagne obsessive de vaccination de masse se poursuit dans le monde entier ; les personnalités qui s’y opposent meurent sous une pluie de balles, comme le président haïtien, et non à cause du Covid. Le reste d’entre nous n’a d’autre choix que de lutter sous l’oppression et les discriminations légalisées par la machinerie covidale mondiale.
Et maintenant, bouclons la boucle et revenons au point d’origine. Comment la campagne mondiale orchestrée autour du Covid (élaborée par Hollywood et coordonnée par des « exercices de simulation » comme Event 201) s’accorde-t-elle avec les hypothèses les plus populaires sur l’origine du virus, qu’il s’agisse d’une maladie naturelle ou d’une arme biologique, d’un accident ou d’un retour de flamme ? Ca ne marche pas.
Prenons par exemple la théorie de Ron Unz selon laquelle le Covid serait une arme biologique américaine utilisée pour attaquer la Chine (et l’Iran) par des agents dévoyés de l’État profond. C’est une excellente théorie. Elle est extrêmement populaire dans le monde entier : même les ministres russes se l’envoient entre eux. Elle explique le moment où les médias sont passés du récit de la morsure naturelle de chauve-souris à la fuite du laboratoire financé par Fauci : ce virage n’a eu lieu qu’une fois l’attaque mortelle contre l’Iran oubliée. Mais elle présente une lacune. Il est évident que ces « agents dévoyés de l’État profond » ont un accès total aux médias, aux institutions médicales et aux mercenaires armés. S’ils voulaient attaquer la Chine et l’Iran, pourquoi s’acharnent-ils à faire respecter le vaxx dans le monde entier ? N’y a-t-il pas de meilleures façons de faire la guerre ?
Quelle que soit la théorie envisagée, toutes présument que le Covid est un événement unique sans précédent, comme le Big Bang. Or il s’agit probablement d’une aberration causée par un stress théologique sur l’acte de création. Dieu a effectivement créé le monde, mais il ne s’en est pas lavé les mains pour autant, avant de rentrer chez lui pour se reposer. Il continue à faire tourner le monde. La théorie du Big Bang est trompeuse car elle suppose qu’il a suffi de faire démarrer le monde et qu’il va maintenant fonctionner par ses propres moyens. Le monde dans lequel nous vivons est différent. Dieu s’occupe de notre monde au jour le jour, tout en nous laissant le libre arbitre. Les forces du mal font de même. Elles continuent à travailler, elles aussi. N’oublions pas que le Covid a été précédé par la grippe aviaire, le SRAS, le MERS, l’Ebola et le Zika, et que Fauci était intimement lié à la débâcle du SIDA.
Nous pourrions « suivre la piste de l’argent ». Les personnes qui ont financé la recherche sur le « gain de fonction », qui ont manipulé des virus, modifié des maladies pour qu’elles franchissent la barrière homme-animal et les ont apparemment propagées de Wuhan à Qom, ces mêmes personnes profitent des médicaments correspondants ; ces mêmes entreprises mondiales profitent des confinements et des vaccinations obligatoires. Il s’agit désormais d’un business plan éprouvé. S’ils l’ont fait une fois, ils peuvent le refaire. De nouvelles variétés de virus apparaîtront sans aucun doute lorsque les gens n’auront plus peur des anciens virus. Ce qui était une attaque contre la Chine est devenue une attaque contre l’humanité tout entière, et il est logique qu’il en ait été ainsi dès le départ. Seul un négationniste de la conspiration refuserait la force de la logique : Wuhan, ça n’était que le début.
Alors que pouvons-nous faire ? Essayer de vaincre l’anxiété. Il existe des forces qui veulent que nous soyons continuellement effrayés et stressés. Elles inventent ou créent des raisons sans fin pour cela. La pandémie est toujours vivace, mais les médias (jamais au repos, tels le requin) proposent déjà de nouveaux dangers.
La NASA prévient que la lune « oscillante » provoquera des inondations dévastatrices dans le monde entier dans les années 2030. Les villes côtières sont menacées par « l’augmentation rapide des inondations dues aux marées très hautes », qui pourraient se produire en séries d’une durée d’un mois ou plus, selon les scientifiques – c’est ce que prétendent les médias anglais (et français). La vacillation lunaire se produit tous les 18 ans ; c’est un phénomène bien connu, mais cela n’arrête pas les prophètes de malheur.
Et voici une nouvelle encore plus importante. Selon les médias, il y a quelques jours à peine, la Terre a manqué de peu de se retrouver grillée par une éruption solaire qui aurait anéanti la civilisation, telle que nous la connaissons. Après les confinements et verrouillages généralisés, ça ne semble pas si grave, non ? Alors, espérons le meilleur. Peut-être que le prochain cataclysme fera le travail sur lequel les misanthropes spéculent, de Bill Gates à Greta Thunberg. J’espère que cela rendra les obsédés du contrôle et les technocrates enfin heureux !
Quand les gens se rendront-ils compte que ces terribles prédictions de désastres ne sont pas seulement spécieuses mais clairement manipulatrices ? Non seulement les menaces officielles (notamment la guerre thermonucléaire mondiale, le djihad mondial, la Troisième Guerre mondiale, et maintenant l’interminable pandémie mondiale de Covid) font l’objet d’un battage hystérique, mais il y a en outre les menaces « officieuses » promues par la NASA, l’armée américaine et leurs armées d’astroturfeurs, pour la désinformation populaire planifiée qu’on peut définir comme contrefaçon de mouvement d’opinion (sur le thème de Nibiru, les Aliens, le vacillement lunaire, les comètes, les astéroïdes, etc.).
Le pronostique de la fin du monde est un moyen fiable de cravacher et d’orienter l’opinion publique. Il a été démontré à maintes reprises que si l’on a besoin d’une distraction, une bonne histoire de fin du monde est un sujet de discussion efficace et rafraîchissant. Notre mémoire collective est suffisamment courte pour que nous maintenions sans répit notre sentiment de désastre imminent sans remarquer le schéma de Gaslighting. « Nous sommes des poissons rouges dans un bocal, continuellement imprégnés de peurs fantasmées et vacillantes », dit Paul Bennett.
Et pourtant, loin du vacarme médiatique, nous sommes entourés d’un monde magnifique, plein de grâce et de compassion. Nous le méritons. Nos femmes ont pu séduire les anges, nos hommes vaincre les dragons. Nos vieux sages discutaient avec Socrate et priaient avec les apôtres. Chaque vallée verte, chaque cours d’eau, chaque fleur est un don de Dieu. Profitez-en et ignorez les termites qui sont bien payées pour nous tenir en haleine. La mort est inévitable ; elle fait partie intégrante de la vie. Le mieux que nous puissions faire est d’éviter l’anxiété et de profiter de la vie tant qu’elle dure. Laissez les Fauci-vaxistes et autres Bezos s’envoler à bord de leur vaisseau spatial phallique. Laissons-les tous partir au diable, et qu’on ne les revoie plus.