En ce moment, une affaire de rapport maitre-élève se déroulant au Québec connait un développement semblable à celui de la lutte pour la libération de la Palestine, comme l’a récemment rappelé el Patron : une cause commune de chrétiens et de musulmans, transformée en une lutte de barbus islamistes par 40 ans de matraquage médiatico-politique.
L’affaire se déroule à l’école Bedford, située dans le quartier le plus multi-ethnique de Montréal (le quartier Côte des neige, qui est le point de chute des immigrants pauvres - on y parle plus de 160 langues).
Des profs maghrébins employant des méthodes de la "vieille école française" (et québécoise), du genre "bonnet d’âne, désignation publique des cancres par des appelations peu flateurses ("idiot", "cas irrécupérale", "extra-terrestre", ...), remise des copies corrigées par ordre de réussite,..., ainsi qu’un conseil d’établissement où se sont imposés des parents maghrébins désireurx que leurs enfants soient mis à l’abri de l’enseignement LGBTiste en vogue dans la plupart des écoles québécoise, sont, pour ces raisons, dépeints comme de rétrogrades (voire dangeureux) propagateurs d’islamisme.
De nombreux québecois de souche veulent également la même chose pour leurs enfants, et ceux qui parmis ces derniers ont les moyens de payer l’école privé réussissent à les mettre à l’abris du LGBTisme forcené en les envoyant dans des écoles privées catholiques. Toutefois, pas un médias pour faire remarquer cela, ni pour porter la voix des québécois de souche qui ne sont pas d’accord avec un tel programme pédagogique, mais qui n’ont pas les moyens de l’école privée.
En somme, il y a encore 10 ans l’islamiste était un barbus sanguinaire adepte de la prière de rue, mais aujourd’hui il suffit d’être un "arabe" opposé aux Drag-queens dans les écoles, et qui frotte les oreilles de ses enfants lorsqu’il reviennent à la maison avec un zéro.
Quant au "non-arabe" qui a le même profil, on lui colle aujourd’hui l’étiquette de mâle alpha demeuré d’extrême droite !
Répondre à ce message