Même les meilleurs peuvent avoir des moments de faiblesse :
"La plupart des groupes et personnalités d’extrême droite étaient pro-israélienne jusqu’à la guerre du Kippour en 1973. Au nom de la défense de l’Occident, l’essentiel de celle-ci considérait qu’Israël était un bastion dans la lutte contre l’influence soviétique, qu’il offrait une revanche contre les Arabes, qu’il réalisait l’idéal d’une nation de paysans-soldats. La Guerre des Six Jours en 1967 voit même l’ancien commissaire aux Questions juives, Xavier Vallat, ou l’écrivain antisémite Lucien Rebatet,"
Maurice Bardèche n’a pas plié. Il n’a pas tergiversé.
"Comment l’islam est-il devenu un thème et un moteur de l’extrême droite ? L’affaire n’était pas acquise. L’un des principaux théoriciens de l’extrême droite française, Maurice Bardèche (1909-1998), avait fait l’apologie d’une religion et d’une civilisation dont il louait la virilité. A la suite de l’extrême droite radicale italienne, l’essentiel des nationalistes français a emboîté le pas à Alain de Benoist pour saluer la révolution khomeyniste (1979).
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