Macron a reperdu ce que Hollande avait déjà perdu : la police et l’armée.
Le régime croit encore les tenir par le quadrillage maçonné de leurs hiérarchies, mais dans la formule, il y a tout le tragique d ela situation :
une poignée de géroncrates croit encore tenir la police et l’armée qu’on leur a donné à tenir et non à diriger ou commander,
mais la police et l’armée ne reconnaissent plus ces géroncrates comme leurs chefs et ne soutiennent plus le régime qui les a nommés : ils n’ obéissent aux premiers que sous la cravache et ne mordent pas le second que pour la pâtée.
Bientôt le régime submergé par ses dettes et ses mensonges ne pourra même plus payer ses géroncrates et déjà il met au pain sec la troupe.
Grave erreur : le moral et la discipline de la police et de l’armée sont dans la gamelle.
Grave erreur et même arrogance : c’est parce que la Monarchie a fait venir les regiments de gardes françaises sur Paris que les gardes françaises ont rejoint la révolution ; et c’est parce que l’armée a rejoint la révolution que la révolution fut victorieuse.
Les femmes ont manifesté ?
Mais c’est parce que les femmes ont manifesté (encore et toujours aux Invalides) que leurs hommes ont marché avec et derrière elles sur Versailles en octobre 89.
Macron et ses petits marquis à talons rouges de l’E.N.A. et des clubs du siècle et d’autres inavouables croient "tenir" Paris et croient en plus que tenir Paris c’est tenir la France.
Mais ils ne tiennent plus rien : ni la police, ni l’armée, ni leurs épouses, ni Paris, ni la France qui, lorsqu’ils feront leur jonction idéologique, laquelle est EN COURS, se ligueront contre eux pour les dévaster.
Ils ne tiennent plus rien car ils ne tiennent plus la dette, c’est la dette qui les tient.
Et qu’auront-ils à nous opposer : trois géroncrates, comme hier Louis XVI avait entre les révolutionnaires et lui trois maitres d’Hôtel ? Les autres avaient fui !
C’est un message de la protection civile :
Mettez vos casques, ils vont s’effondrer façon Twin towers.
Nous allons mettre fin par et avec nos chéries à 250 ans de tyrannie.
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