A la situation des urgences...Vous verrez, quand le moment sera venu pour vous de chercher une place dans une maison de retraite pour un parents...

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Arrivé aux urgences d’AGEN à 08h00, passé à 14h00. Mon cas ne nécessitait pas d’urgence. J’ai eu le temps de prendre la température et de me faire ma propre idée. Le personnel est très pro, très bon mais l’affluence est-elle que la gestion devient critique. La question est comment le personnel parvient-il à gérer aussi bien dans la durée et faire le tri. La cadence est-elle qu’une erreur peut survenir sans que l’on puisse la qualifier de négligence. Je précise que les services de l’hopital d’AGEN sont excellents mis à part la gérontologie dirigée par une vieille chèvre. Les urgences ont sauvé mon père âgé de 95 ans à deux reprises grâce aux soins.qu’ils ont prodigués. C’est ma réalité. Les jeunes soignants sont pour la plupart très réactifs. C’est encourageant car quelque soit le niveau de nuisance à l’échelon supérieur, il reste du bon à la base. Le décès de ma mère suite à une chimio inutile m’a fait prendre conscience comme tout un chacun confronté à l’épreuve que l’on est jamais si bien soigné que par soi- même. Bien se nourrir est devenu une priorité, S’instruire sur internet et partout ailleurs ou l’enseignement alternatif est proposé. Il y a du très bon à prendre et s’est accessible. Plus on s’y intéresse, plus on découvre que le champs de nos propres connaissances est illimité et que nos médecins sont des distributeurs de SMARTIES, de tours gratuits au scanner mais qu’ils n’ont plus le temps de poser les bons diagnostics.

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Ma dernière visite aux urgences(1996) ma value trois ou quatre heures d’agonie (luxation de l’épaule),j’ai supplier un "pitrolo" de me donner un anti douleur,ce povre guignole n’osait pas (interne,externe ?),et là,oh miracle,alors que ce jeune type me voyant me tordre de douleur,décida de mettre fin à mon calvaire.Au meme moment, les portes battantes se sont ouvertes,et un petit coq (blouse blanche,col en l’air et stéthoscope autour du coup) ordonna à ce malheureux de ne rien faire ! J’ai fini dans une pièce,avec toute sa troupe d’élèves (ils étaient au moins 6 ou 8)et le cador,leurs expliquant comment résorber le problème ! Et là commença une séance de torture digne de la gestapo,cet abruti en chef,commentant ses exploits aux novices m’a literrallement défoncé,après un deuxiemme éssai (j’avais déjà eu ce problème,et un chiroprateur l’avait réglé en dix secondes)j’ai envoyer cet abruti ce faire foutre,lui disant que s’il ne savait pas le faire qu’il aille chercher un pro (je vous dis pas la honte devant ses élèves) ! Vu mon état,c’est un anesthésiste qui à prit le relais,et dans le coltard,ils ont remis mon épaule en place ! Depuis,je vous une haine vicérale au millieu hospitalier,certe,il y a des bons,meme de très bons mais aussi pas mal de tocards ! Ces dernières années,je me suis diagnostiqué pas mal de choses via google,histoire de gagner du temps et surtout d’éviter qu’un con de toubib se plante en beauté.Chaque fois mon pronostique était bon,comme quoi ! Il y a quelques temps,suite à un diagnostic complètement érroné,j’ai dis à un spécialiste (de mon cul) que la prochaine fois j’irai chez un vétérinaire histoire de piquer sont égo surdimenssioné ! Et dire que Dieudo à taper dans le mille avec son sketch sur le cancer !

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Heureusement, il peut y avoir des exceptions.
Urgences de Saintes pour ictus amnésique ce week-end.
J’ai zappé les 10 premières heures, mais apparemment prise en charge très correcte.
Personnel attentif, discret, attentionné, disponible. Diagnostic sérieux, box très propre, petit déjeuner et douche en prime.
Presque un bon souvenir...

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Nos gouvernements successifs depuis Sarkozy veulent la casse de l’hôpital public.
Le but étant d’alimenter les grosses cliniques financières privées et les mutuelles.

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Il le dit lui même = 2//3 de "vieux" (personnes agées)

Donc il aurait fallut doubler les capacités hospitalières (de soins)
pour 1 génération ? (celle de l’après-guerre..)

et avoir des hôpitaux vides dans 5 ans ou 10 ans ?

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Situation similaire au Québec. Expérience personnelle : accident de moto, fracture bassin-hanche (acétabulum), j’ai passé 5 jours sur une civière avant d’être opéré. En plus je suis intolérant à la morphine et ses dérivés mais le personnel soignant ne voulais pas me croire !!! Résultat aucun soulagement, mais des maux de têtes hallucinants et de la fièvre en plus... Après l’opération, j’ai carrément refusé les anti-douleurs, c’est la qu’ils se sont enfin posé des questions. Hormis mon cas personnel, ici aussi le système de soins à deux vitesses fait sa place tout doucement mais sûrement et les urgences débordent fréquemment avec leurs corolaires habituels.

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On sait pas gérer les zopitos mais on serait les champions du nucléaire !

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30 ans que ça dure..mais avec des cadres bien heureux d etres sortis du soin,bien payés,gestionnaires źélés de la loi, pour faire leurs petites croix .Qui plus est des organisations de travail qui n en strictement rien à faire du comment les êtres vivent leur travail puisqu ils ont choisi !
Et qui,"au mieux"externalisent à leur tour les prises en charge des soignants par des journées de formation genre "prises en charge des personnes angoissees,vaincre le stress,prévention de l épuisement professionnel,prendre soin de soi pour mieux soigner"...et autres joyeusetés qui ne sont que rustines pour souffler pendant 2 jours et se rassurer de ne pas être seuls à vivre ces difficultés.
Histoire d alimenter un sentiment d appartenance dans des galères communes...
Et qui permettent aux institutions d avoir la prétention de faire quelque chose.
Et elles s étonnent d avoir du mal à recruter ne serait ce qu en formation. !
A l image oui de la façon dont on considère le fait d avoir besoin des uns des autres,concrètement,au quotidien.
Alors même si j ai quitté le soin,je tire mon chapeau à celles et ceux qui ont les mains dedans tous les jours !

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Oui les coliques néphrétiques, c’est violent, je connais.
Sinon les suspensions du aux injections ont surement, une relation aussi, avec la mirée et les déserts médicaux, a mon sens.

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