Christian Estrosi, président de la région PACA, était invité sur franceinfo.fr le 20 octobre 2016, où il a réagi aux propos de Jean-Frédéric Poisson sur le lobby sioniste :
« Je demande à tous les autres candidats de la primaire de dénoncer aujourd’hui les propos de Monsieur Poisson. [...] En ce qui me concerne si Monsieur Poisson ne dit pas “Je me suis trompé, ma langue a fourché, je ne le pense pas du tout, je le regrette, je m’autocondamne moi-même”, il n’a plus sa place dans la primaire. »
J-F #Poisson /"lobbies sionistes" : "S'il ne dit pas "je regrette" il n'a plus sa place dans la primaire" #8h30Aphatie pic.twitter.com/rrw2fyQArN
— franceinfo (@franceinfo) 21 octobre 2016
Dans un style plus retenu, Thierry Solère a également appelé Jean-Frédéric Poisson à s’expliquer sur cette polémique.
Question intéressante de la journaliste :
« Jean-Frédéric Poisson explique qu’il n’y avait aucune intention malicieuse dans ses propos, il se dit désolé, il explique son amitié pour Israël et le peuple juif, c’est pas suffisant ? Il faut des excuses ? »
"Lobbies sionistes" : J-F #Poisson doit réaffirmer son adhésion aux valeurs de la droite et du centre (T. Solère) https://t.co/r8Wh9XMw6r
— franceinfo (@franceinfo) 21 octobre 2016
Nathalie Kosciusko-Morizet, elle, a préféré écrire directement une lettre de délation à l’instance chargée de la primaire à droite :
Ma lettre adressée ce jour à @alevade pour que la Haute Autorité détermine si les propos de JF Poisson respectent la charte de la #Primaire pic.twitter.com/jQ15z8lmPq
— N. Kosciusko-Morizet (@nk_m) 21 octobre 2016