Véritables girouettes de l’histoire, les gens de la tribu de Goldnadel ont su manipuler - au grès de leurs besoins et de leurs aspirations - les peuples et les nations. Et ce, de tout temps ! Confer leur volonté d’émanciper le peuple algérien - via Léon Blum - ou Marocain - via Pierre Mendes France - alors qu’en pleine période de décolonisation, ces derniers - sionistes - aidaient à l’installation des leurs en Israël !
Après avoir fait l’apologie du métissage en France - en permettant à une frange importante de maghrébins et d’Africains musulman de venir s’installer dans l’Hexagone - afin de servir leurs hégémonie - Goldnadel et les siens - sentant le vent de l’histoire tourner - ont décidé de revenir se réfugier dans le giron de la République, d’où l’intitulé de son livre ou de la pléiade de ceux édités aux "Milles et une Nuit", collection rédigée et/ou dirigée sous la houlette de Pierre-André Taguieff.
En France, leur subterfuge n’a - de toute évidence - pas fonctionné, pas plus d’ailleurs qu’aux USA, pays dans lequel les dissensions raciales les plus conflictuelles se déroulent entre les communautés juive et afro-américaine, au grand désespoir des membres des premiers qui ont pourtant aidés les seconds à s’émanciper !
Effectuant de nombreux séjours en prison - à défaut d’avoir les moyens de voyager hors du territoire américain - ces derniers ont trouvé leur "chemin de Damas" et se sont convertis "intra-muros" et en masse à l’Islam ! D’où des problématiques inter-ethniques et religieuses, mais aussi économiques - les premiers s’élevant dans la hiérarchie de la société, tandis que les seconds végètent ou régressent, la crise aidant et s’aggravant !
Minoritaires et terriblement manipulateurs (cela confine à la disposition génétique), le "peuple élu" a toujours besoin du recours d’autres minorités - quelles soient religieuses (nos "frères musulmans et de couleur"), sexuelle ("nos amis de la communauté gay et lesbienne", "les femmes exploitées par leur affreux époux réactionnaires") ou autres ("les adeptes de la bicyclette en milieu urbain") - pour créer l’agitation et l’évènement, afin de faire avancer plus facilement leurs pions personnels sur l’échiquier économico-politique.
Le revirement intempestif et le coup de couteau dans le dos sont toujours de mise, lorsque les marionnettes ne servent plus les desseins de leurs maîtres (cf. le cas "Dieudonné", "esclave échappé du champ de coton" et devenu incontrôlable). Leur survie et leur bien-être au sein des sociétés dépend de ce comportement exclusif, qui ferait saliver d’envie le plus pernicieux des caméléons !
Répondre à ce message