Il était clair que les services secrets français, pris en flagrant délit de tentative de réactivation des cellules terroristes islamistes en Algérie, n’allaient pas s’avouer vaincus et n’allaient pas baisser les bras. Il ne fallait pas s’attendre à ce que la DGSE ou ses commanditaires battent leur coulpe.
Au contraire, leur réaction allait naturellement consister en une nouvelle offensive pour camoufler l’échec cuisant de leur opération qui a fait pschitt face à la vigilance des services algériens du contre-espionnage qui les ont épinglés comme des bleus.
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Inventant un slogan aussi idiot que ses initiateurs, le Makhzen, la France et Israël ont cru pouvoir pousser les Algériens à manifester en distillant un message selon lequel l’Algérie vivrait les mêmes conditions que la Syrie et qu’il serait donc temps de profiter de la chute de Bachar Al-Assad pour allumer la mèche de la discorde et semer le chaos. Mais les instigateurs de cette machination stupide se sont fracassés contre la réaction d’une opinion publique algérienne éveillée qui ne pouvait pas tomber dans le panneau. La campagne a, dès lors, capoté grâce à une contre-campagne mettant en avant la loyauté des Algériens à leur pays et leur fidélité à la mémoire des martyrs.
Ce nouvel échec du trio toxique France-Israël-Maroc a conduit les services secrets de ces trois pays à la dérive à actionner la poignée de clairons marocains et israéliens et les mercenaires algériens installés en France à peindre une image apocalyptique de la situation économique et sociale en Algérie. Pendant ce temps, des dizaines de milliers d’Algériens, profitant des vacances scolaires d’hiver, se ruent vers le poste frontalier d’Oum Teboul, non pas pour fuir le pays, mais pour prendre un bol d’air chez nos frères tunisiens, tandis que d’autres ont choisi d’autres destinations pour dépenser leur argent. Ce qu’une écrasante majorité de Marocains, miséreux et humiliés par un régime moyenâgeux fait de baisemain et de prosternation, sont incapables de faire.
Et, ni en France ni en Israël, la situation n’est meilleure. Dans la première citée, le Président foule aux pieds la démocratie en imposant, par deux fois, un gouvernement non issu des partis politiques vainqueurs lors des dernières législatives ; dans le second, le Premier ministre criminel fait un bras d’honneur à la justice de son pays et massacre les Palestiniens pour justifier son maintien au pouvoir.
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