Il me semblait que ce qui caractérise l’ultra-violence (agressions physiques, viols, meurtres, fusillades, ratonnades, règlements de compte) relevait plutôt des banlieues, de Nantes, de Lyon, etc., mais je ne dois pas vivre dans le même pays que Telerama https://t.co/Ko2wURqsNJ
— Jordan Florentin (@JordanFlrtn) September 26, 2022
Avant de passer à 2022, faisons un détour par 2019, où l’ultra-gauche s’était déjà illustrée dans le centre de Nantes, ville de gauche s’il en est, et qui pâtit de l’impunité de ces groupes dont l’horizon politique se résume à casser des vitrines et accuser le fascisme.
L’ultra-gauche a besoin de martyrs. Elle prend prétexte de faits divers malheureux pour les politiser et déclencher des émeutes urbaines, qui ne mènent à rien, sinon à un renforcement de la répression. C’est comme si les antifas travaillaient, in fine, pour le durcissement de l’ordre social, pour la Banque.
Chaos, destructions, #violence envers les forces de l’ordre : l’ultra-gauche répète ses gammes à #Nantes avant #G7Biarritz
Triste manière de rendre un quelconque « hommage » (dont la famille s’est désolidarisé) à #SteveCanico dont personne ne connaît encore les causes de la mort https://t.co/eNsvE8uEyR— Thibault deMontbrial (@MontbrialAvocat) August 3, 2019
« À quand la dissolution des groupes d’extrême-gauche ultra-violents ? »
(Marion Maréchal en 2014)
La question de la dissolution se pose
"Je ne comprends pas pourquoi les mouvements d'ultra-gauche ne sont pas dissous.
Il y a un laxisme ou une défaillance de l'État.
[...]
La stratégie de la violence vient essentiellement de l'extrême gauche ..." - @AlexDevecchio#Acte44 #Nantes pic.twitter.com/l55C2hjIzD— Tancrède ن (@Tancrede_Crptrs) September 14, 2019
Le conseiller municipal LR Guillaume Richard a écrit une tribune dans Le Figaro à propos de la déliquescence de cette grande ville. Selon lui, l’autorité locale a été affaiblie par le discours immigrationniste ambiant et le soutien des écologistes aux opposants à la construction du second aéroport.
Il y a 10 ans, Nantes était la ville préférée des Français. Aujourd’hui, les Nantais sont en colère. Ils regrettent l’époque d’une ville merveilleuse, douce, entreprenante, accueillante.
Les kiosques locaux ne parlent plus que d’insécurité à Nantes. La presse nationale ne parle plus d’insécurité sans citer Nantes. Le 24 septembre, une femme de 41 ans a été violée par deux hommes soudanais. C’est pour les Nantais la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Chacun s’interroge et se demande comment nous en sommes arrivés là, aussi vite.
C’est vrai, comme dans toutes les grandes villes de France, l’insécurité progresse. Certes. Mais pourquoi Nantes a-t-elle basculé dans la violence ?
L’évolution naturelle de la ville en est une cause. Comme toute grande métropole de France, Nantes a vécu une importante poussée démographique. (...)Au moment de la crise migratoire, Johanna Rolland, maire de Nantes, prône un discours d’accueil inconditionnel. Elle est entendue. Plusieurs centaines de migrants traversent le pays pour directement s’installer à Nantes.
Résultat : aujourd’hui, en 2022, la situation est devenue ingérable, et absurde. On a les gauchistes ultra et les migrants, un sacré combo, qui plus est, intouchable. Par définition, la justice issue des loges ne touche pas à ces deux auxiliaires de police politique de rue qui instillent la peur chez les habitants, et qui les forcent à la « tranquillité » politique.
Grâce à ces deux milices bien protégées, rien ne change, ce qui est l’objectif des ingénieurs sociaux du Système.
Le laisser-faire du maire marque alors la première pierre dans la destruction de l’autorité locale : ne rien dire, ne rien faire. Les commerçants ne travaillent plus le samedi, ils barricadent leurs commerces de planches de bois. Les banques et assurances transforment leurs agences en bunker.
Et la majorité municipale, de son côté, peine toujours à condamner les débordements. « Ce sont ceux qui parlent d’insécurité qui créent le sentiment d’insécurité. » La ville continue d’être cassée. Mais ce n’est qu’un sentiment.
Nantes : la spirale de la violence pic.twitter.com/GS69HDTINP
— BFMTV (@BFMTV) September 26, 2022
Marcel D. a commenté la solution de Johanna Rolland
Nantes n’a pas à se plaindre : Rennes en prend aussi pour son grade
Pour illustrer cette tribune, des éléments d’ultra-gauche locaux ont organisé une petite fête au centre-ville le 29 septembre 2022. C’était jour de grande grève, qui a un peu floppé au niveau national. Heureusement, il reste de quoi casser, en France !
Première émeute urbaine de la rentrée 2022. Le début d'une nouvelle série ? C'est à craindre ...
Encore une fois la violence est au cœur de Rennes. Des violences inadmissibles ! L’ultra gauche est un véritable fléau dans notre ville. #Rennes https://t.co/pnMlcSr9aj— Charles Compagnon (@Ch_Compagnon) September 30, 2022
Depuis 1789 et la prise de pouvoir de la bourgeoisie d’affaires via les loges maçonniques, les jeunes Français de basse extraction aiment jouer à la révolution avec des pétards.
Cette révolution serait plus efficace, s’ils veulent vraiment viser la tête du Système, s’ils la faisaient d’abord dans leur propre tête, remplie d’une colère bien légitime mais que les médias aux ordres de l’oligarchie ont truffée de déviations habiles.
La colère détournée, c’est ce dont souffre le gauchiste, une maladie qui empêche tout changement politique réel, pour soi et pour la société. Mais ça, quand on est intoxiqué, c’est par définition presque impossible à comprendre. Sauf si on grandit.