Rapport d’expertise remis par l’écrivain Jacob Cohen à Maître Damien Viguier, avocat d’Alain Soral, dans l’affaire de l’affiche intitulée Pornographie mémorielle.
Rapport
Nous sommes devant une affiche contre laquelle les autorités compétentes dites « françaises » intentent des actions diverses pour la faire interdire et surtout faire payer au présumé auteur des sommes conséquentes à des parties civiles dont l’honneur et les principes se monnaient en espèces sonnantes et trébuchantes.
Ces autorités ne sont, à mon sens, que formellement « françaises », puisqu’elles ont renoncé aux principes de la République, entre autres la justice et l’égalité, au profit d’une communauté spécifique qui n’agit que dans l’intérêt d’un pays étranger, et que je qualifierai de « judéo-sioniste ».
Il faudrait un livre noir spécifique pour décrire les turpitudes de ce lobby et la complaisance pusillanime des autorités « françaises » à son endroit. Pour rappel, j’ai subi deux agressions en bande organisée par la LDJ, sur lesquelles la justice dite « française » a jeté un voile pudique en les classant « sans suite ».
Si cette « justice » voit de la haine raciale dans cette affiche, que n’eut-elle des yeux pour regarder les « unes » de Charlie Hebdo sur l’islam et le catholicisme, ou des oreilles pour écouter Philippe Tesson déclarer à la télévision : « Ce sont les musulmans qui amènent la merde en France » ?
Parmi ses armes de dissuasion massive, figure en première place la « religion de la Shoah », érigée au-dessus de toutes les religions et de tous autres principes juridiques, politiques, constitutionnels, sociaux, culturels, et j’en passe. Conformément à cette nouvelle religion, devant laquelle la France officielle rampe jusqu’à oublier toute dignité, toute critique, toute allusion ou toute remarque qui aurait le malheur de déplaire au Grand Prêtre de la nouvelle religion, cela pourrait être le président du CRIF, doit être marquée du sceau de l’infamie, du blasphème, et condamnée avec la plus extrême sévérité. Sans oublier les dommages et intérêts : l’aspect financier reste essentiel.
Je ne discuterai pas du fond de l’affiche – on peut ne pas avoir le même sens de l’humour – car le procès est déjà joué. Plus prosaïquement, les dés sont pipés. Je voudrais seulement dire ceci : l’obsession de la Shoah, le martèlement, la diffusion ad nauseam des « documentaires », la traque de toute critique ou recherche historique déviante, l’instrumentalisation de la justice, le chantage permanent, l’extorsion de fonds, oui, tout cela ressemble fort à une espèce de pornographie d’une mémoire arrangée pour servir des objectifs inavouables.
Pornographie, selon le Robert, par extension « obscénité ». En voici la dernière : le parquet de Kiel a décidé de renvoyer devant la justice des mineurs une ancienne télégraphiste allemande qui a officié à Auschwitz d’avril à juillet 1944. Ces trois mois lui valent aujourd’hui un jugement pour « complicité de crimes contre l’humanité ». Mais son procès se tiendra devant un tribunal pour mineurs puisque la nonagénaire avait alors 20 ans et que la majorité étant fixée à 21 ans durant le Troisième Reich. Elle a 91 ans et est en fauteuil roulant.
Petite précision : malgré les milliards récoltés, la majorité des rescapés de la Shoah habitant en Israël vivent en dessous du seuil de pauvreté et n’ont même pas de quoi acheter leurs médicaments.
Je vous renvoie – façon de parler car notre « justice » ne va pas se perdre dans la lecture de documents pertinents et inattaquables – au livre de Norman Finkelstein (universitaire juif américain dont les parents étaient des rescapés de la Shoah), L’Industrie de l’Holocauste. Réflexions sur l’exploitation de la souffrance des juifs. On ne peut pas trop demander aux magistrats qui doivent d’abord penser à leur carrière, n’est-ce pas ?
Je finirai avec les travaux de Idith Zertal, historienne et journaliste israélienne, professeur d’histoire moderne à l’université hébraïque de Jérusalem. Son livre : La Nation et la mort. La Shoah dans le discours et la politique d’Israël. Il est trop dense pour en extraire une citation. Mais il n’est pas inutile de constater que cette obsession sévit dans le monde entier.
Il est juste désespérant d’assister au naufrage d’une grande nation, la France, et de la déliquescence de l’une de ses principales institutions, la justice.