Sage parole. - Effectivement, il ne s’agit pas de rentrer dans une riposte de vengeance biblique qui allumerait un brasier où la première victime sera l’innocence. Mais, nous ne devons pas devenir des aliénés, à une manipulation télécommandée de l’extérieur et de l’intérieur. Il s’agit de se défendre légitimement. Tout cela, repose avant-tout sur deux colonnes primordiales que sont : La politique et la justice. Notre société va mal dans son vivre ensemble, dans sa liberté d’expression, dans son pathos individuel, parce que notre politique et notre justice ont perdu une chose primordiale qui s’appelle le bon sens. Nous le savons ces deux tuteurs primordiaux vacillent d’une épicerie de détails qui sapent l’édifice. Une corruption intellectuelle règne sur ces outils de régulation où l’on est ébaubi par l’arbitraire et l’artificiel de leurs exercices. Politique et justice ne nous défendent plus ; elles théâtralisent les causes et jouent des conséquences en pleureuses compassionnelles. On le sait pour le vivre, une malignité corruptrice opère derrière le pouvoir politique et judiciaire qui a sacrifié souveraineté et indépendance pour dépendance et inanité. Qui peut avoir confiance dans le politique et la justice aujourd’hui ? La politique est devenue détestable comme une sono criarde. Elle a remplacé une richesse d’assemblages et un équilibre par un principe d’égalité et de droits sans devoirs où la diversité est devenue une unicité fonctionnelle marchande. Ce qui est important de nos jours, ce n’est plus le sexe, le genre, la race, l’identité mais bel et bien ce que l’on achète et ce que l’on consomme. Le salut existe. Il convient de recouvrer le sens, que nous voulons donner à l’homme et à notre société. Pour cela, il faut chasser électoralement la corruption politique et judiciaire, la condamner fermement et prendre la voie démocratique que nous n’avons jamais connue dans notre redondante République.
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