Moi j’y suis allé plusieurs fois au tout début des années 90. Et mon souvenir ce sont plutôt les meilleurs riz de veau aux morilles que je n’ai jamais mangé. Le décor et la boite étaient marrants, le service aussi.

Surement après le tournage du film "Entretien avec un vampire" (1994) dans lequel il se fait tenter puis transformer en vampire justement, par Tom Cruise ?
Au cas où... Je plaisante.

Si tous le monde était comme vous, je suis preneur.

Je suis absolument d’accord, j’y vois rien de plus...

C’est peut-être effectivement le cas. C’est la raison pour laquelle il faut revenir à la religion de nos pères qui proposait autre chose que des valeurs à la carte mais un tronc commun moral accepté et plus ou moins intériorisé par tous n’est-ce pas ?

@Mr Guyénot
Il s’agit du libre arbitre. Dieu nous donne le choix avec pour chacun cette boussole intérieure qu’est la notion du bien et du mal.
Le diable, c’est autre chose, on constate qu’il s’active intensément pour mener l’humanité à sa perte : la haine de l’homme.
Les « survivantes » qui dénoncent les activités des réseaux qui s’adonnent au satanisme, surtout dans les élites, nous décrivent des individus maléfiques ayant volontairement perdu cette boussole donnée par Dieu, au stade final de la laideur et de l’horreur absolues.
Que ces monstres se rejoignent dans le culte à satan et cherchent à normaliser leurs déviances( ex : la cérémonie des JO) doit nous amener à nous poser sérieusement cette question :
Que devient un monde sans Dieu : l’enfer.
C’est actuellement et sous nos yeux.

Et on a aussi tous quelque chose en nous de Tennessee

@One step beyond
Commentaire extrêmement sensé ! Et le Christ l’explique fort bien dans la parabole de l’enfant prodigue : après être parti et avoir tout gaspillé, celui-ci tomba sous la coupe d’un maître méchant (les forces nocives symbolisées par Satan) et il en vint même à espérer manger la nourriture des porcs : une façon très explicite de dire que la prime dignité d’héritier est totalement dégradée...
L’illusion d’un bonheur qui ne se trouve que dans la plus totale indépendance, dans le "fais ce qu’il te plaît" (sous-entendu "sans te soucier de qui que ce soit" ), dans le "ici et maintenant pour toi seul" : voilà la teneur même de la malfaisance sous sa forme la plus raffinée… Le fameux (fumeux) culte de la liberté totale est un leurre aussi hypnotique que ridicule ! En outre, la chose ôte l’inéluctable nécessité d’un combat intérieur, et insiste sur la douceur supposée d’une satisfaction personnelle, fut ce au mépris des autres et du Bien général, qui seule saurait compter. L’égoïsme stimulé par l’ignorance mène, au bout du chemin, à l’aberration et possiblement à l’abomination. Les barrière naturelles sautant (comme c’est le cas des véritables pactes), il est logique, évident et raisonnable qu’en se situant "au dessus de la mêlée" (la plèbe ignorante considérée comme inférieure), en ayant brisé l’ensemble des contraintes morales, tout est possible : surtout le pire puisque les sensations nécessitent au mieux d’être répétées voire intensifiées...
Quant au chanteur ici sujet, Johnny était un suiveur de modes et, à un certain moment (années ’60, ’70), il était de bon ton de se dire dépendant d’un pacte satanique. Toutefois, pour qui le sait, une des conditions de ce type "d’échange de services" impose également la mise en oeuvre, à l’attention du plus grand nombre, d’une idéologie très spécifique mettant très visiblement en exergue de multiples facettes sensibilisant à cette doctrine nihiliste. Sauf preuves du contraire, il ne me semble pas que ce fut le cas de Johnny. Ce qui n’enlève cependant rien à la réalité, pleine et entière, de ce type de contrat...

Tous ces chanteurs, acteurs ont servi la soupe pour l’idéologie dominante.
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