En ayant vu qu’une campagne de presse soudaine était déclenchée – deux ans après sa sortie – contre le passionnant Métronome de Lorànt Deutsch, dans la plus pure tradition des tentatives de manipulation de l’opinion dont la gauche s’est fait une spécialité, je voulus en savoir davantage.
Quelle ne fut pas ma surprise quand j’appris que la référence principale de ladite campagne était un certain William Blanc, doctorant en histoire de 36 ans, dont les arguments sont aussi pauvres que les sourires.
Pour qui a un peu traîné ses basques sur le campus de Tolbiac (Paris 1) il y a une dizaine d’années, William Blanc est loin d’être un inconnu.
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