« La scène est impressionnante. Dans la nuit de jeudi à vendredi, le commissariat de Val-de-Reuil-Louviers (Eure), au sud de Rouen, a été pris d’assaut par une bande de jeunes. Aux alentours de deux heures du matin, une quinzaine d’individus cagoulés ont attaqué l’établissement en lançant des projectiles en nombre, tirant également des mortiers, selon les rapports de police. » (Source : Le Figaro)
Cela s’est passé dans la nuit du 27 au 28 juin 2019 au Val-de-Reuil, une ville de l’Eure dont voici le descriptif sur Twitter (on ne rit pas) :
@valdereuil_info
Ville nouvelle, ville moderne, plus jeune commune de France (République française, Haute-Normandie, Eure), Ville fleurie 3, Ville internet 5@
Analysez cette scène et imaginez là se dérouler dans un autre pays.
Au Bled, ils seraient déjà tous 6 pieds sous terre,
Aux USA, blessés et inculpés à de lourdes peines.
En France, rien. Deux heures pour faire cesser cette attaque et aucune arrestation.https://t.co/DYCa6E55TU— MEHDI AIFA (@Mehdi_Aifa_AJR) 29 juin 2019
La police de Castaner, si prompte à matraquer les Gilets jaunes, se fait soudain toute petite devant une poignée de racailles.
Un effet de 35 ans d’antiracisme ? Des ordres d’impunité venus d’en haut ? Un problème de sous-effectifs des commissariats des petites villes ? Le racisme antifrançais des racailles de cités ? La montée d’un islamisme hybride dans les banlieues ? Une justice qui regarde ailleurs, les mêmes faits ayant déjà eu lieu en juillet 2018 ?
Un peu de tout ça, probablement. Et après nos gouvernants se demandent pourquoi les Français admirent Poutine...
« Sur les images de vidéosurveillance que nous avons pu consulter, on aperçoit deux agents de garde tenter de contenir les tirs des assaillants à l’aide de boucliers. En chemisette, les fonctionnaires ne semblent pas du tout préparés à un tel assaut. Des fumigènes, des “éléments pyrotechniques” de toutes les couleurs ainsi que des pavés sont jetés sur les policiers.
Les individus semblent déterminés à pénétrer dans le commissariat. Leurs attaques durent pendant environ une demie heure, à la fois contre les fonctionnaires et le bâtiment. Ceux-ci répliquent à l’aide de gaz lacrymogènes, avant que des policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) et de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) n’arrivent en renfort. Vers 2 heures 30, le calme est finalement revenu. »
La France, gouvernée par des traîtres depuis Mai 68, ne se fait pas respecter sur son sol. Ce sont les flics, les profs, les pompiers qui en pâtissent. Mais il faut remonter à l’idéologie et à ceux qui la fabriquent pour comprendre comment une telle provocation est possible et ce, en toute impunité. Ce genre d’émeute ciblée affole les pays étrangers, qui n’ont pas une police aussi faible et une justice aussi corrompue par la franc-maçonnerie, qui justement produit l’idéologie mortifère qui permet ce genre d’actes. Qui les autorise, qui les provoque, qui les comprend, qui les pardonne.
Et si ces enfants mal élevés cherchaient la punition ?
Les 15 racailles, âgés de 15 à 20 ans, ont insulté les policiers pendant 30 minutes et personne n’a utilisé de grenade de désencerclement ni de LBD pour venir à bout de ces délinquants. Castaner est aux abonnés absents, et les racailles ont pu insulter les flics, les Français et la nation tranquillement pendant 30 longues minutes : « Allah Akbar », « Bande d’enculés de Français », « Venez sortez on va vous cramer ».
Une bonne occasion de répliquer au flash ball. On irait tranquillement cueillir les coupables aux urgences ophtalmiques le soir. https://t.co/S7gX1ukiSI
— Nicolas Moreau (@lordmahammer) 29 juin 2019
On trouvera sûrement des socialistes antiracistes et des membres de la DILCRAH (100 millions sur 3 ans pour lutter contre « l’antisémitisme ») pour expliquer qu’il s’agissait d’un 14 juillet un peu précoce, puisqu’on a retrouvé 115 projectiles au sol après l’attaque. Certes, personne n’est mort ni blessé. Mais si un flic avait éborgné un assaillant avec son flash-ball au lieu de se défendre avec son bouclier ? Et s’il en avait tué un ? Où est la limite posée par la République ?
Attaque du commissariat de Champigny en 2018 :
Un commissariat attaqué aux Ulis en 2017 :
Attaque d’un commissariat parisien à coups de feux d’artifice en 2013 :