Pour répondre à Jojo,
C’est de la pensée magique car une erreur, un dérangement de l’organisme, ne peut être réparée qu’en supprimant ses causes, ou en laissant à l’organisme le temps de se rétablir en éliminant ce qui le gêne. Prendre un médicament, s’il agit, ne peut que créer une nouvelle situation plus grave, qui peut sembler au début guérir la maladie.
Les maladies ordinaires ne sont pas, par exemple, les maladies dégénératives dues à l’empoisonnement au mercure ou à l’aluminium que contiennent les vaccins. Ces maladies imposent de prendre de puissants médicaments chélateurs.
Les maladies ordinaires sont, par exemple, attraper la grippe ou un rhume parce qu’on a mangé trop de farineux, et que l’organisme doit évacuer le gluten qui l’encombre. Une situation courante en période de fêtes.
Oui on touche le fond (du problème). La biologie enseignée est fausse, comme d’autres sciences, d’ailleurs.
La véritable biologie a été enseignée par Antoine Béchamp à l’époque de Louis Pasteur. Et les seules conclusions rationnelles que l’on puisse en tirer, c’est : 1) que nous vivons en symbiose avec notre environnement microbien, qui nous maintient en très bonne santé si on ne l’emmerde pas ; 2) qu’il ne faut jamais ingérer d’antibiotiques car ils font des dégâts irréversibles à notre flore microbienne intestinale ; 3) que pour garder la santé il faut avoir une alimentation permettant de maintenir alcalin le terrain (milieu intercellulaire).
Selon Béchamp, le point 3) est capital, car la flore microbienne qui participe à notre bon fonctionnement évolue en fonction du pH de l’organisme. Si le terrain devient trop acide, la flore microbienne peut penser que son hôte est crevé et qu’il est temps de démonter les installations. Les bactéries utiles se transforment alors en agents destructeurs et la maladie ou la mort s’installe...
et 
!
