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Une plainte dangereuse

Depuis 2021, le couple Macron est l’objet de toutes les attentions, de tous les fantasmes et de toutes les interrogations. Pour ce qui concerne Emmanuel, cela date de 2014, au moment de son noyautage de la Hollandie. Pour ce qui concerne Brigitte, cela date de 2021, au moment des recherches journalistiques sur son mystérieux passé.

 

 

De ce fait, et de ces interrogations, la littérature macronienne est abondante. Elle a d’abord été lancée par des journalistes mainstream, qui ont tenté de faire un coup classique, mais les enquêtes n’ont pas été bien loin, ou se sont arrêtées devant une porte blindée, on peut dire un coffre. C’est sur Faits & Documents, énormément repris sur les réseaux sociaux (RS), que la véritable enquête s’est prolongée.

À l’orée de cette année 2025, riche de promesses et de menaces pour la France et le monde, le couple présidentiel n’a jamais été aussi fragilisé : chaque apparition du Président est hachée menue par les artilleurs de la presse mainstream et du Net, sa politique intérieure et extérieure est illisible, et son degré de popularité pas loin du zéro absolu.

Les journalistes-Système n’ayant pas le droit d’enquêter plus loin, ce sont les nouveaux investigateurs du Net qui ont repris le flambeau, et, sans vraiment disposer de moyens, poussé les feux. Si la presse mainstream continue, on suppose sur ordre, à tirer à boulets rouges sur cette concurrence aussi sauvage qu’efficace, cela n’empêche nullement la déflagration, qui a depuis contaminé les USA, via Candace Owens, proche idéologiquement de Donald Trump. Sa dernière intervention a été traduite par La Voix de la Louisiane :

 

 

De là à dire que l’entourage du 47e président des USA est en train d’accélérer la chute des Macron, il n’y a qu’un pas, franchi par les observateurs francs de la vie politique, surtout quand on voit les OPA de Musk sur le pouvoir britannique et le pouvoir allemand. Visiblement, le tueur de coûts et de sociaux-démocrates pour le compte de Donald Trump est en mission.

Pour Starmer, le Premier ministre britannique, l’angle d’attaque est la faiblesse coupable de la gauche anglaise dans la terrible affaire des viols pédocriminels massifs de Telford et Rotherham. Pour Scholz, l’affaire est déjà réglée : les sociaux-dém perdront le pouvoir le 23 février. Le recul industriel, l’immigration incontrôlée et les choix énergétiques suicidaires de la coalition ne seront pas pardonnés.

En France, les anti-Macron profitent de ce renouveau nationaliste occidental, sous l’égide encore une fois des Américains (ils appellent ça jeter les dés contre le mur) : même La France insoumise de Mélenchon cherche à se placer dans la course à la présidence, tablant sur une sempiternelle peur du fascisme chez l’électeur moyen. Il n’est pas sûr que le truc marche encore, surtout en pleine montée des dits fascismes !

On le sait, que ce soit dans la nature ou la vie politique, tout ce qui est faible est écrasé, et tout ce qui est fort renforcé. En 1944, les Français sont passés sans scrupules de Pétain à de Gaulle. La politique est un système de prédations – ou d’échanges énergétiques – permanent. Aujourd’hui, le Président est dans le caniveau, c’est pourquoi les acheveurs vont se multiplier. Les attaques tombent de partout, même de la part de citoyens.

C’est le cas de Christian Cotten, qui mise carrément sur la justice pour faire tomber les Macron, à l’image de Louis XVI et Marie-Antoinette. Heureusement, la guillotine n’existe plus depuis 1977, l’année de naissance d’Emmanuel. Pour les uns, Cotten est un complotiste de la pire espèce, qui a l’honneur d’un long portrait sur le site Conspiracy Watch. Le problème, c’est que cette officine de délation est très communautaire, et qu’en plus son dirigeant est surnommé Rudy rends l’argent Reichstadt à cause de dizaines de milliers d’euros détournés dans l’affaire du fonds Marianne.
Pour les autres, Cotten exerce son droit démocratique de remettre le pouvoir en question.

 

 

Pour la presse mainstream, les zones d’ombre du couple Macron ne sont que désinformation et fake news, mais elle n’est pas indépendante puisqu’elle tire ses revenus de ses propriétaires, des milliardaires liés au pouvoir, et de l’État, sous la forme de subventions qui compensent la chute du lectorat, parti sur le Net.

L’enjeu est crucial, non seulement pour les emblématiques Macron, mais pour tout le Système médiatico-politique, qui ne tient que sur la coercition et un entre-soi antidémocratique. Le jeune Glucksmann, qui est appelé à de hautes fonctions par le pouvoir profond – qui est peut-être en train de lâcher Macron, carbonisé par ses sorties délirantes indignes d’un président –, exprime toute la peur de la classe dirigeante artificielle, coupée du peuple, et même ennemie du peuple.

Pour des raisons extérieures – le changement de régime aux USA et la montée des nationalismes – et intérieures – le contrepouvoir des RS et une tyrannie vermoulue devenue toute seule un Ancien Régime vomi par le peuple –, le couple Macron, qui symbolise de manière éclatante l’injustice française, se retrouve non plus entre le chien et l’os, mais entre chien et chien, et plutôt enragés.

On espère tous que ce regime change à la française se fera sans casse, surtout pour le peuple qui est en train de payer très cher une politique qui ne profite qu’à l’oligarchie. Les libertés ne sont même plus menacées, elles sont réduites, une par une, et la ponction oligarchique sur le travail est devenue trop lourde. Nous sommes dans une situation prérévolutionnaire, comme il y a 250 ans. C’est pourquoi le pouvoir court à la guerre.

 

 

Le grand chambardement

 






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32 Commentaires

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  • #3479117
    Le 14 janvier à 12:02 par Koussikoussa
    Une plainte dangereuse

    C’est la démocratie elle-même qui engendre le déclin d’une civilisation, non pas par le chaos qu’elle prétend contenir, mais par l’affaiblissement des idéaux qui autrefois étaient son flambeau : liberté et responsabilité. Elle est née dans une époque où l’État était une ombre parmi les hommes libres. Et pourtant, elle a enfanté l’ogre qu’elle voulait dompter, donnant à l’État des crocs acérés et des griffes toujours plus longues.

    Un siècle et demi de cette mascarade a conduit non seulement à l’expansion tentaculaire de l’État dans toutes les nations démocratiques, mais aussi à une inversion perverse de la peur : nous tremblons autant devant nos concitoyens que devant les institutions elles-mêmes. Car par les urnes, ces mêmes concitoyens peuvent devenir nos geôliers, asservissant nos volontés individuelles au joug de la majorité, cette idole moderne.

    Si seulement la démocratie était ce qu’elle prétend être — un bastion de libertés individuelles, un refuge pour les âmes souveraines — alors elle serait digne de louanges. Mais hélas, elle n’est qu’un leurre. Non pas la garante d’une liberté compatible avec l’ordre social, mais bien la matrice d’une servitude tolérable, assez douce pour ne pas révolter, assez oppressante pour étouffer.

    Ce culte aveugle de la démocratie est une foi récente, fragile comme une flamme vacillante. Les pères fondateurs des États-Unis — Franklin, Jefferson, Adams — méprisaient cette chimère, la dénonçant comme un outil d’oppression déguisé. Benjamin Constant, Say, Bastiat, ces esprits éclairés, appelaient à une république constitutionnelle restreinte, délimitée à une seule fonction : protéger les droits individuels. La majorité, dans cette vision, n’avait aucun droit de toucher aux principes fondamentaux ou de bafouer les droits des autres.

    Au commencement, les institutions démocratiques avaient pour rôle de contenir le Léviathan de l’État. Mais cette fonction a été pervertie. La démocratie moderne ne limite plus, elle s’infiltre. Elle n’observe plus les frontières entre le public et le privé, elle les gomme. Ainsi, le totalitarisme du XXe siècle, brutal et sanglant, a laissé place à une version plus subtile au XXIe : un totalitarisme doux, imperceptible, mais tout aussi dévorant.

    Il ne nous impose pas de chaînes visibles ; il nous couvre de confort et nous endort. Ce n’est pas l’oppression qui blesse, mais l’illusion de sécurité qu’elle procure.

     

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    • #3479258
      Le 14 janvier à 18:47 par Servitude volontaire
      Une plainte dangereuse

      C’est tout à fait cela, un totalitarisme doux, une servitude volontaire, où la liberté est sacrifiée pour un peu de sécurité et de confort.

       
  • #3479123
    Le 14 janvier à 12:35 par Francois Desvignes
    Une plainte dangereuse

    La plainte de COTTEN est irrecevable : nul ne plaide par procureur.

    Il n’est pas la victime directe (immédiate) des infraction invoquées : Usurpation d’identité, faux par représentant de l’État, usage de faux, atteinte sexuelle et viol sur mineur par personne ayant autorité, mariage illégal, usurpation de fonctions, escroquerie au jugement, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

    En effet,

    - Il ne s’appelle pas Brigitte Trogneux.
    - Il n’est pas officier de l’Etat civil
    - Il n’est pas victime du faux prétendu
    - Il n’est pas le mineur victime du viol allégué
    - Il n’est pas marié à X
    - Il n’est pas le dépositaire des fonctions usurpées
    - il n’est pas membre du Tribunal escroqué ni membre de l’Institution judiciaire bafouée.
    - Il n’est pas juge de l’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

    "X" va dire que COTTEN n’est qu’un agitateur !
    Une merde qui veut se faire de la pub sur le dos de X.

    Pourtant, COTTEN va gagner :

    - Maintenant, il va être célèbre
    - Et même si tout ce qu’il a dit est faux, tout ce qu’il a dit sera tenu pour vrai.
    - Et la Justice va être jugée complice du faux (des faux) à cause de son silence et sa passivité depuis....30 ans

    33 ans exactement.

     

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  • #3479127
    Le 14 janvier à 12:52 par Pierre
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    Est-ce que le jeune Glucksmann envisage d’essayer de détruire le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique depuis New York ? depuis Berlin ? depuis Paris ?

     

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    • #3479239
      Le 14 janvier à 18:10 par Figaro68
      Une plainte dangereuse

      @Pierre

      Glucksmann prêche pour sa chapelle et se fait prendre en flagrant délit !

      Sa chapelle, c’est le mondialisme que l’on peut aussi qualifier de sionisme, de néo-conservatisme ou de communisme voire de socialisme. Il est soso..cialiste déclaré, n’est ce pas ?

      Nous savons qu’il est aussi un agent de la CIA (Georgie, Ukraine) et donc un promoteur du projet du gouvernement mondial, de la dépopulation par tous les moyens. Il semble donc logique qu’il soit pour le mensonge, la censure et la propagande...

      Tabarnak, c’est pas ma faute si en plus il est juif !!! Tout est raccord !

       
  • #3479135
    Le 14 janvier à 13:11 par L’affranchi
    Une plainte dangereuse

    Candace Owens, un merveilleux maître quenellier. Nous nous en délectons !

     

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  • #3479155
    Le 14 janvier à 14:18 par ed
    Une plainte dangereuse

    80 balais aux cerises...Un monument à la gloire du ’’maquillage’’. Finalement tout à fait emblématique comme marqueur d’escroquerie du régime pourri dans lequel il sévit. Au final simplement un mensonge de plus. Qui ces cerveaux malades prétendent-ils tromper ? Comment s’imaginent-ils que cela va se terminer ?

     

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  • #3479180
    Le 14 janvier à 15:36 par tabouret1789
    Une plainte dangereuse

    si nous respections nos propres lois, le traité de Lisbonne ayrait été rejeté, et ce n’ est qu’ un exemple...

     

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  • #3479183
    Le 14 janvier à 15:40 par yann
    Une plainte dangereuse

    D’un autre coté, les caprices de type dissolution de l’assemblée sont peut-être dus à un problème de ménopause.
    Puisqu’on en est à verifier l’identité de genre du couple présidentiel, autant pas faire les choses à moitié.

     

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  • #3479203
    Le 14 janvier à 16:48 par adana
    Une plainte dangereuse

    Danger, la lionne est enceinte !

     

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  • #3479228
    Le 14 janvier à 17:50 par Lili
    Une plainte dangereuse

    C’est Nicolas et Pimprenelle et le marchand de sable, qu’ils déversent devant nos yeux incrédules à défaut d’être émerveillés. Ils savent parfaitement que leur histoire est incroyable mais c’est justement à ça qu’elle sert, à ne jamais trouver de résolution. Cette histoire est là pour alimenter constamment le show. Pendant ce temps ils bossent à leur Projet. Çest un peu comme Israël et Palestine, il ne faut pas trouver de solution....

     

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  • #3479272
    Le 14 janvier à 19:28 par Mister Mayo
    Une plainte dangereuse

    Cette lettre ressemble à un suicide...

     

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