Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Violation du secret de l’enquête et atteinte à la vie privée : quand le journal israélien Libération se croit en Palestine occupée !

Une obsession qui vire à la pathologie et qui n’est même plus d’actualité : Libé, sans prévenir mais mû par quelque force occulte, sort un article anti-Soral à propos de faits datant de 2020. C’est comme si on sortait aujourd’hui l’acte d’accusation de Véran, qui est pourtant beaucoup plus dangereux que Soral. Le premier l’est pour la santé des gens, l’autre pour l’idéologie du clan au pouvoir.

 

En lisant cette double page, on sent que les deux grands enquêteurs du canard israélien tenu par le duo Drahi-Alfon ont surtout touché un dossier clef en main. Il a dû glisser d’une sacoche des enquêteurs, et un informateur de Libé devait se trouver là, au bon moment, le 29 juillet 2020…

Paris, VIe arrondissement, le 28 juillet 2020. À 11 h 30, sous un ciel gris, un dispositif policier se déploie dans l’étroite rue Bernard-Palissy, à deux pas du très chic boulevard Saint-Germain. Les yeux des agents sont rivés sur la petite porte en bois et fer forgé d’un immeuble cossu, et sur les fenêtres du quatrième étage. Celui de l’appartement de leur cible. Après de longues heures d’attente, l’huis de l’immeuble s’ouvre à 15 h 55 sur un homme « ressemblant en tout point physique à l’individu recherché », qui sort d’un pas pressé. Les agents de la Brigade de répression de la délinquance aux personnes le suivent sur une centaine de mètres puis décident de le cueillir en douceur : Alain Soral, vétéran de la fachosphère et idéologue antisémite est interpellé et placé en garde à vue. Le sexagénaire déjà multicondamné pour ses diatribes haineuses pensait pourtant s’être soustrait à la justice française.

Les auxiliaires de police politique admettent qu’ils n’ont pas travaillé, mais hérité du dossier :

Libération a pu avoir accès au dossier d’enquête racontant la traque et la perquisition du domicile d’Alain Soral (Alain Bonnet de Soral, de son vrai nom), poursuivi dans cette affaire pour injure publique raciste et provocation publique à la haine raciale, en récidive. Presque une habitude pour cet homme. Mais, et c’est une première pour lui, cette enquête porte aussi sur des faits de « provocation publique non suivie d’effet à commettre l’un des crimes et délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ».

On ne voit pas de quels crimes ils veulent parler, ni en quoi les intérêts de la nation sont menacés, mais on a une idée de qui les incarne. Les propos tenus lors d’une vidéo sur l’arnaque du coronavirus, thèse qui est aujourd’hui validée scientifiquement mais que les médias mainstream, qui ont menti pendant quatre ans, ont du mal à reconnaître, mettait en miroir des Gilets jaunes non armés et un peuple américain armé. Des propos qui n’ont pas été suivis par la fourniture de centaines de milliers de M16 aux divisions de Gilets jaunes, mais cela suffira pour que la piétaille politico-médiatique aux ordres crie haro sur le baudet.

L’Intérieur mobilise alors ses meilleurs éléments pour sauver la République de qui vous savez d’une mort certaine. La révolution gronde, les Gilets jaunes sont surarmés, le bain de sang approche. Au lieu de ça, une traque des planques d’Alain Soral, c’est-à-dire de ses postes restantes et de son appartement parisien. Les enquêteurs découvrent alors un « confortable nid parisien » dans lequel trône un terrifiant portrait du locataire, pastiche de Magritte et intitulé Ceci n’est pas un antisémite. La dimension humoristique ayant échappé aux journalistes de Libération, la perquise visuelle se poursuit : un portrait de Céline et des statuettes viennent définitivement clore les débats. Ce sont des quenelles d’or gagnées auprès du « pseudo-humoriste » Dieudonné, selon Libé. Mais le pire est à venir : dans la bibliothèque, bien garnie, les sauveurs de la République découvrent l’horreur absolue : un exemplaire de Mein Kampf, le livre interdit ! Enfin, pas chez Gallimard, hein. Cependant, chez Soral, le livre est privé de « l’appareil critique » nécessaire à la distinction du bien et du mal !

Les deux gestapistes de Libé nous promettent une suite, puisqu’ils ont aussi hérité des carnets de l’écrivain. Tout en soulignant en fin d’article que leur cible est présumée innocente, on mesure, à travers cette intrusion dans l’intimité, la haine délirante et l’acharnement dans la persécution dont Alain Soral est l’objet.

Chez Soral, outre un lot de cartes de visite édifiant, parmi les cartes bancaires et sa carte d’abonnement SNCF sénior (aussi appelée « carte vermeil »), les enquêteurs ont saisi quantité de matériel informatique. Mais aussi découvert ses carnets de notes personnels. L’idéologue y couchait ses obsessions, griffonnant frénétiquement les pages de mots-clés ou de phrases témoins de sa haine antisémite. Une plongée dans son esprit torturé. Libé y consacre un prochain épisode de ces révélations.

Question : des carnets intimes non publiés peuvent-ils servir de pièces à conviction ? Une pensée non publiée est-elle condamnable ? Les journalistes de Libération aux ordres d’une puissance génocidaire étrangère sont-ils condamnables ?

 

Écrit sous bracelet électronique et disponible chez Kontre Kulture !

 

La première salve du journal israélien

 






Alerter

42 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • Le crime d’Alain Soral en est un de lèse peuple élu. Cet intellectuel hors norme a eu le courage, rare en Occident, de pointer les vrais décideurs et le vrai pouvoir. Un pouvoir occulte, souterrain, que seul une critique judicieuse qui sait tirer sur la cible peut faire sortir de son trou. Ce que Soral a fait.

     

    Répondre à ce message

  • "Cependant, chez Soral, le livre est privé de « l’appareil critique » nécessaire à la distinction du bien et du mal ! "

    Merde ! Comment Monsieur Soral peut-il distinguer le bien du mal sans cet "appareil critique" ? Je le savais, ce salaud prétend penser par lui même.

    J’ai aussi Mein Kampf dans ma bibliothèque, édition KK en plus ! Depuis cette lecture je suis devenu un monstre. Quand au potager, des légumes germent de travers, je les fous au compost et je ne garde que les plus beaux ! Hop, au compost les courgettes handicapées !

     

    Répondre à ce message

  • J ai acheté Libé pendant 25 ans . Et puis quand July est parti j ai arrête . Il n était pas si sectaire qu on le dit et il avait de sacrées plumes, comme Gérard Lefort . Aujourd’hui hui ce n est plus qu une flaque de merde sioniste .

     

    Répondre à ce message

  • #3466733

    Le « Maître du Logos » à son meilleur ! Et en plus qu’est-ce qu’il est drôle ! À pulvériser les contradictions à tous les niveaux de nos parasites stipendiés que sert le bétail sidéré auquel il se soumet aveuglément.

    En prenant le contrôle de tous les merdia à diffuser ces 2 heures, la France reprendrait des couleurs ; de bleu, de blanc, de lys ! La République Judéo-Maçonnique effondrée marquera enfin le retour de la France éternelle ! Rêvons, prions, combattons !

    « Qui pousse à la guerre, qui ? », ceux qu’il faudra NÉCESSAIREMENT éradiquer.

     

    Répondre à ce message

  • ".../... Les journalistes de Libération aux ordres d’une puissance génocidaire étrangère sont-ils condamnables ?"

    La réponse est oui sur le plan légal : "Aux termes de l’article 226-13 du Code pénal, la révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende."

    Mais dans un pays sous domina-sion, la législa-sion devient sans doute davantage sujette à cau-sion, et les peines encourues sujettes à diver-sion hystérique, voire même à divaga-sion pathologique pour cause de victimisa-sion !?

    Finalement, on se demande jusqu’où vont descendre ces pitoyables plumitifs de l’Aberration, mais a contrario, on peut être désormais absolument certains que A.S les fait bien ... transpirer !

    Une énième preuve de ce qu’il est un vrai Résistant, et peut-être devrait-il leur envoyer son dernier livre, mais bon, compte tenu de son titre et de certaines définitions savoureusement pertinentes, ils risquent de ne pas l’apprécier à sa juste valeur... ;-D

    J’en profite pour dire que ce livre est non seulement une source de réflexions, mais aussi de rires, ce qui par les temps qui courent n’est pas négligeable : merci à vous, monsieur Soral, et pour ce livre, et pour le site d’E&R, le véritable noyau de la vraie Résistance !!

     

    Répondre à ce message

  • ..." Dans la bibliothèque bien garnie les Sauveurs de République découvrent l’horreur absolue : un exemplaire de Mein Kampf le livre interdit".

    Débiles profondes.

    3-4 ans en arrière, j’ai vu et lu moi-même sur Twitter un tweet d’ Alain Jakubovitz. Tweet dans lequel il se vantait d’avoir acquis l’original de la première édition de Mein Kampf — photo à l’appui - iil tenait en main ce livre jaune-orange /
    Nouvelles Éditions Latines, première édition -1934.

    Pourtant ce torchon ne publiera jamais un article critiquant Jakubovitz pour l’achat et détention d’un livre nazi. Mais pour Soral, si. Pourquoi ce deux poids deux mesures, Messieurs Judapo ?

     

    Répondre à ce message

  • #3467231

    Dans son « confortable nid parisien », pardon, nous voulions écrire "nid d’aigle" mais Paris n’est malheureusement pas à 500 mètre de hauteur.

    "dans lequel trône un terrifiant portrait du locataire", mince ils ont retrouvé le portrait de Dorian Gray !

    "Une plongée dans son esprit torturé", pour Noel on a la version de l’auteur lui même, "plus con tu meurs", on se demande d’ailleurs si vous êtes encore en vie dans les bureaux de votre torche culs à force de jouer les auxiliaires de police, normalement ça c’est pour Médiapart.

    Du coup il manque juste à cet article les adjectifs incontournables "glaçant et nauséabond"

     

    Répondre à ce message

  • Ils sont les champions de l inversion accusatoire...Faire condamner un antiraciste nationaliste comme AS pour incitation à la haine, il faut le faire

    C est tout le Talmud dans sa splendeur...

     

    Répondre à ce message

  • Force à Soral. L’utilisation du mot "traque" est un peu exagérée. Quoiqu’il en soit il est déjà dans l’histoire.

    Courage à lui.

     

    Répondre à ce message

  • Quand on compare des journalistes à des prostituées, ce sont ces dernières qu’on insulte. Elles au moins font baisser la violence dans les rues, tandis que les plumitifs la font augmenter et hurlent à la guerre. Maudite engeance ! Mais pitié aussi, soyons chrétiens charitables, pour ces pauvres gens qui n’ont d’autre choix que prostituer leur plume ou chômer. La langue des crapauds n’attrape que des moucherons et n’atteint pas les blanches colombes ou les aigles majestueux. La caravane passe, les chiens aboient. Un sot trouve toujours un plus sot qui l’admire, etc. - J.

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents