ERFM | Août 2019 |13 | Culture |
Il était une fois est l’une des nombreuses émissions d’ERFM. Cette petite émission musicale vous conte une histoire à sa manière. Matériel requis : enceintes haute fidélité, lumière tamisée, fauteuil club et verre de whisky. Bonne écoute ! Pour ce quinzième épisode, nous partons à la redécouverte du dialoguiste, scénariste et réalisateur français de cinéma, également écrivain et chroniqueur de presse, (...)
medias-presse.info | Août 2015 |29 | CommunautésCultureHistoire |
Un ami m’a offert un vieux magazine. Il s’agit d’un mensuel belge intitulé Le Nouvel Europe Magazine datant de décembre 1980. Quel intérêt ? Il contenait un entretien exclusif avec l’inénarrable Michel Audiard. Le dialoguiste et réalisateur inoubliable s’y livre à un discours politiquement incorrect, qu’il serait impensable de prononcer de la sorte aujourd’hui. Attention, ça décoiffe ! Michel Audiard (...)
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J’ai vécu à Paris 14 de 1976 à 2010.
J’ai vu ce quartier changer du tout au tout.
La rue Raymond Losserand avec ses vieux immeubles qui ne tenaient plus debout (j’allais acheter mes bonbons et mes paquets de pétards dans une échoppe de cette rue), son squat juste avant d’arriver avenue du Maine, cerné par les CRS dans les années 80 puis détruit pour y construire une grosse daube d’immeuble sans esprit.
Cette place de Catalogne énorme et laide comme un cul, dans les locaux qui surplombaient la gare Montparnasse avec un pote on avait trouvé le moyens d’entrer et on faisait du skate dans des couloirs super longs et lisses comme du marbre et parfois on se faisait courser par des keufs qui avaient été appelés.
Y avait et y a toujours la rue piétonne avec tous ses commerçants, le fromager, le poissonnier, le boucher, et le caviste y avait tout et de la super came, c’était génial.
Et puis j’ai dit adieu à mon Amour dans cette putain d’église, place Victor Basch où j’ai promis de ne plus jamais y refoutre les pieds. J’étais là aussi ce lundi tout gris ou on a enterré Gainsbourg et moi je suis passé à côté pour aller au bahut et je pleurais (parce que j’étais fan de cet artiste). J’avais rencontré Charlotte G. à un magasin d’informatique où elle achetait ses jeux avec le fils Dutronc (que j’ai toujours trouvé super naze).
Bref, là bas, j’y ai laissé un morceau de mon histoire, un bout de mon coeur et en compagnie d’Audiard là grace à cette vidéo, j’y ai retrouvé un coin de sourire...
ça fout le cafard de constater ce qu’est devenu Paris, et plus généralement la France. En si peu de temps, un naufrage. Moi, revoir ce genre d’images me déprime, et en même temps me met en colère.
On en est tous là ! Une colère qui se termine en eau de boudin, en frustration, jusqu’au prochain coup de blues... Et encore il reste des Blancs ! Bientôt ce ne sera plus le cas.
Ils ne veulent pas déconfiner totalement, ils ont même annulé le 14 juillet, c’est parce qu’ils ont peur en haut que cette colère d’en bas explose, et y’a de quoi.
La France sera plus jamais ce qu’elle a été c’est un crève coeur, je partage votre sentiment.
Mais on a la chance d’avoir une bibliothèque monstrueuse, des films géniaux jusqu’au début des années 80’s.
Et grâce à Soral, on redécouvre le plaisir de lire, on découvre des Pierre Hillard, des Monsieur K, des gens qui perpétue le génie Français.
On peut encore se relever, même si on retrouvera jamais le charme de la France des années 60’s, on peut encore faire vivre l’esprit Français.
Entièrement d’accord hélas !...
Mais il ne tient qu’à nous, les vrais Français, j’entends par là ceux qui aiment la France quelque soit la couleur de peau et l’ origine, de relever notre beau Paris populaire, grande gueule mais tolérant et généreux, tout ce que le mondialisme et la modernité a foutu par terre...
Nostalgie, fatalisme, ok les gars c’est bien de faire le constat mais ensuite, comme disent les anglais, il faut penser au So what ? donc on fait quoi...on continue à subir ou on se réveille et on dit stop ?!
Retroussons nous les manches et prenons exemple sur le cas de l’Allemagne au début des années 30. C’est seulement quand nous aurons clairement identifiés l’ennemi qu’un changement radical aura lieu !
Souvenons nous du baptême de Clovis : il est dit que la France sera une très grande nation mais qu’elle sera rudement châtiée pour ses errances, je crois que le temps de la fin des châtiments est venue (c’est peu dire vu comme on a morflé !) et que le bon Dieu peut nous venir en aide. Amen.
J’ai toujours aimé Audiard, mais je ne savais pas que nous avions ce point commun concernant le 14ème ou j’ai travaillé et vécu de 1984 à 2014, soit dit en passant il n’a pas mentionné les catacombes place Denfert Rochereau, mais peut-être n’était ce pas encore exploité à son époque.
Le 5ème arrondissement quant à lui, fut le quartier de mon enfance en 1970 et comportait un quartier populaire à l’époque la place Maubert avec son Marché c’était également le lieu de rassemblement des Clochards authentique, moi j’habitais rue Maître Albert parallèle à la rue de Bièvre bien avant que Mitterrand ne vienne squatter pour se donner des airs de popularité :)
Salut, on aurait pu se croiser ;)
Si les catacombes "officielles" étaient déjà ouvertes depuis belle lurette.
Perso, j’ai eu la chance d’aller dans les autres catacombes, avec des potes on entrait par un boyaux pratiquée à la pioche dans une ouverture bétonnée, c’était dans un tunnel qui passait sous le parc Mont-souris.
Coluche habitait une maison juste en face de ce parc...
J’ai connu aussi la rue d’Alésia à l’époque où il y avait plein de boutiques différentes on y trouvait un antiquaire, un magasin de Hi-Fi, un magasin d’aquarium, des librairies et puis dans les années 90-2000 tout a été racheté par des magasins de fringues à chier, que ça sur toute la longueur depuis la place Victor Basch jusqu’au croisement avec la rue Didot si chère à Brassens et que j’ai eu la chance de connaître étant tout gosse car élevé un temps par Yvan R., le fils de la compagne de Georges.
J’ai vraiment adoré ce quartier et j’y vivrais encore si Paris n’était pas devenu ce mouroir idéologique malsain.
Aux dernières nouvelles l’UE va augmenter l’immigration légale et illégale.
J’ai habité à Paris de 2010 à 2012. J’y suis retourné cette année (par obligation). Je n’en reviens pas du changement. Il n’y a tout simplement plus de France même dans des arrondissements jadis assez tranquilles comme le 12ème ou le 15ème. Dans ma jeunesse l’immigration c’était des noirs, des arabes et quelques asiatiques du sud. Désormais le monde entier squatte ici. Les vannes du replacement sont ouvertes au maximum. Les pays comme la France sont en train de devenir une menace pour l’Europe toute entière.
La France fait partie des pays qui ont capitulé face aux mondialistes. Tueurs de nations, genocideurs de peuples. Désormais ils passent en force et en l’absence de résistance ça passe comme dans du beurre.
C’est un crime contre l’humanité.
J’ai connu les 60’s, et la différence est énorme, totale, sur tous les points.
Paris ville Lumière est devenue Paris ville pisse.
Tout le monde parle des allogènes, et c’est le problème N°1, ok, mais je vous garantis que les francais de souche sont devenus des nazes ultimes, complètement cons, n’ayant rien à voir avec leurs aieux.
Toute la poésie parisienne et française, et européenne, est morte. Si vous enlevez les blédars, vous aurez l’odeur de pisse en moins (c’est déjà ça), mais le pays serait foutu quand même, l’architecture massacrée par les modernistes, et la débilité à la place de l’art et de la culture, il ne resterait rien de bon de toute façon.
C’est du boulot d’athée, tout ça, n’oubliez pas. Avant de disparaitre, il faut bien comprendre qui a fait ça et quelle est la philo de merde qui détruit tout en 5 mn.
Ouais comme vous j’ai eu droit a un circuit entre potes dans les catacombes, avec le risque de ne plus pouvoir sortir du labyrynthe.
J’arrivais du Val de Marne, des meetings de Marchais, de la banlieue rouge où nous n’avions pas tout celà !
Étant alors étudiant, on descendait en passant par un puits d’accès dans un jardinet privé, dans le 14e je crois..et on ressortait de l’autre côté vers le 7eme, en pleine avenue (quasi-déserte la nuit). Il n’y avait pas de portables, ordis, caméras, de flics de la Bac, de Covid et de quarantaines bidon, pas besoin de badges, d’autorisations de sortie.. ! On faisait tout ça ’’..à la carte !’’.. tranquilles, sans méchanceté...méme les petits larçins irréfléchis comme ramener les plaques émaillées des stations de métro..
Merci !!!!
Gaulois né dans le 17e en 1975.
Dès 3 ans dans le 14e, Boulevard Brune.
Collège rue du Moulin vert vert comme Mr Audiard.
Communion à l’église St Pierre d’Alésia.
Et puis à 14 ans, direction banlieue sud pour laisser le 14e aux bobos.
Et après ils s’étonnent qu’on ait la haine contre les élites parisiennes ...