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Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

C’est l’affaire qui va faire mal aux féministes, qui hurlent au féminicide dès qu’une femme meurt, même de vieillesse, même en tombant de l’escalier. Ce fait divers, aussi caricatural que dramatique, résume parfaitement l’état d’esprit de nombreuses filles d’aujourd’hui, fait de matérialisme, d’individualisme et de féminisme déviant, un mélange qui peut aller jusqu’à la folie.

 

Le 6 décembre 2021, les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon débarquent à Oiselay-et-Grachaux, un modeste village de Haute-Saône bordé de champs et traversé par une départementale. Les policiers se rendent dans l’appartement de Camille Anguenot, une jeune fille de 18 ans qui vit seule. En ouvrant un placard dans le séjour, un policier découvre l’impensable : un corps enveloppé dans des sacs-poubelle scotchés. Le cadavre porte encore un t-shirt déchiré et taché de sang. La victime est rapidement identifiée : il s’agit de Théo Decouchant, un jeune homme de 23 ans qui n’avait plus donné signe de vie depuis le 30 novembre. (Le Figaro)

 

Les rapports humains sont désormais une source potentielle de revenus ; les hommes, de vulgaires distributeurs de billets ; les sentiments, inutiles, voire, dérangeants ; le calcul, minable ; et le résultat, terrible. C’est l’ultralibéralisme appliqué aux rapports hommes-femmes, ou filles-garçons, vu le degré d’immaturité. Le féminisme, qui se justifie et qui justifie tout – même l’injustice ! – par la violence présupposée des hommes, donne alors le droit de tuer, moralement ou physiquement.

Le féminisme a fourni à la femme une arme, son sexe, qui lui permet de jouer avec ses faveurs et d’obtenir des faveurs. Le féminisme autorise et encourage les femmes à se servir de cette arme contre les hommes. L’amour et les sentiments s’effacent alors pour laisser place à des rapports de pouvoir, avec un système de chantage récompense-punition. La manipulation du désir du mâle faisait partie du jeu de l’amour, elle est aujourd’hui érigée en système de domination destructeur de l’amour, du couple, et de la famille.

Narcissisme pervers (NP) ou la dérive des filles Insta

Sur les réseaux sociaux et dans la rue, les filles qui ont compris ce programme se changent en putes, non pas pour faire couple ou trouver l’amour, la fin (trouver l’homme idéal) justifiant les moyens (la séduction), mais pour ferrer le pigeon idéal qui leur donnera tout sans rien exiger en retour. Obtenir le maximum de faveurs en donnant le minimum de son sexe. Dans ce schéma, le pigeon idéal c’est le garçon solvable gentil, timide, sans expérience, prêt à tout pour plaire à sa pseudo-princesse (Camille faisait du cheval), qui va utiliser ses charmes comme une araignée sa toile.

Face aux enquêteurs, la jeune fille assure avoir tué Théo par peur et par colère à la suite des agressions sexuelles qu’elle aurait subies. C’était « la seule solution pour que cela s’arrête », justifie-t-elle en garde à vue, décrivant Théo comme « insistant » avec les filles. Interrogée dans le cadre de l’instruction, l’ex-petite amie de Théo dépeint une toute autre personne. Elle déclare qu’il a toujours respecté son choix de ne pas avoir de relation sexuelle et qu’il n’a « jamais tenté de la toucher » quand ils ont dormi ensemble. La meilleure amie de la victime, de son côté, décrit Théo comme « timide, attentionné et respectueux avec les filles ». 

C’est ce qui est arrivé à ce pauvre Théo Decouchant, la mouche confiante qui finira dévorée par l’araignée. La pétasse est bien un monstre, malade de cette perversion narcissique qui est la conséquence du féminisme sur les jeunes filles fragiles, ou déstructurées. Les enfants sordides de la crise économique, de la crise des valeurs et de la tentation capitaliste du profit rapide.

Camille, qui aurait voulu être belle et riche, n’était qu’un pauvre boudin sans âme : il ne lui restait plus que son sexe et sa haine pour se hisser socialement d’un petit cran. Là, elle va chuter lourdement, dévisser de plusieurs crans.

 

 

On comprend que le féminisme est la branche sexuée du libéralisme et qu’il est aussi destructeur pour les hommes que pour les femmes. Camille est le produit de la promotion des antivaleurs – les valeurs antichrétiennes – par les médias et le politique, tous deux sous influence de forces occultes.

 

 

La cérémonie d’ouverture des JO a donné le ton et envoyé un message universel, bien capté par les perdants du jeu social : n’importe qui a droit au plaisir, quelles qu’en soient les conséquences sur les autres, dans le pur esprit du marquis de Sade. « Je chie sur les autres » est la devise de cette nouvelle espèce (in)humaine. Les autres ne sont que les objets de mon plaisir, perdant leur statut de sujet, d’égal à respecter.

Profiter de la faiblesse des hommes : c’est tout bonnement une culture du viol que le féminisme promeut et ne veut pas voir. Dans l’esprit des filles fragilisées par une éducation défaillante et une instruction minimaliste, cette culture a pourtant des conséquence directes, violentes, ignobles.

La matrice des antivaleurs

 






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  • #3422177

    Le procès des viols de Mazan s’ouvre en même temps. De là à imaginer que c’est fait exprès pour camoufler ou noyer cette affaire, nous nous ne permettrions pas...

     

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  • #3422181
    Le 13 septembre à 14:05 par Toutétrukiste
    Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

    Lestrémedroate qu’on vous dit .

     

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  • #3422190
    Le 13 septembre à 14:22 par Liberal conservateur
    Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

    C’est atroce. Par contre, je ne vois pas le rapport avec le libéralisme qu’on accuse aujourd’hui de tous les maux. Le libéralisme professe simplement que le diptyque liberté-responsabilité individuelle est la bonne philosophie sociale. Libre et responsable. Ni plus ni moins. Aujourd’hui on enseigne à être libre sans être responsable. Ce n’est pas du libéralisme. Evidemment, cela conduit à l’asservissement.

    Cette conception utilitaire des rapports sexuels est de l’utilitarisme. Et le féminisme victimaire est du socialisme ("c’est la faute à la société, je suis irresponsable, j’ai le droit à des compensations"). Au contraire, le libéralisme repose sur la délibération individuelle et conçoit donc une dignité de l’individu délibératif.

    Il est vrai que certaines femmes pratiquent un sexe utilitariste. Mais il est aussi vrai que trop d’hommes ne maîtrisent pas leur désir, et se laissent posséder par leur désir. Si n’importe quelle allumeuse peut disposer de moi et me faire perdre la tête, alors je ne suis pas libre. Ce n’est pas de la pudibonderie mais une école de la souveraineté. Il faut enseigner aux jeunes hommes la maîtrise d’eux-mêmes et de leur frustration. Ils seront bien plus virils ainsi qu’à se languir devant la moindre succube névrosée.

     

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    • #3422405
      Le 14 septembre à 02:23 par Le grand ménage
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      Le libéralisme philosophique tu comprends ce que c’est ou bien ? La destruction des structures traditionnelles, le relativisme moral. C’est pourtant pas compliqué hein ?

       
    • #3422518
      Le 14 septembre à 09:50 par Il s’appelle le Freeman
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      "Si n’importe quelle allumeuse peut disposer de moi et me faire perdre la tête, alors je ne suis pas libre."

      C’est ton point de vue, et tu n’es pas très "libéral" pour penser qu’il est le seul.

      On va être clair : la liberté c’est la liberté. Si je suis libre, alors je suis libre de me donner à n’importe quelle allumeuse, et je suis aussi libre de bien pire. Et cette liberté ne s’arrêtera pas là où commence celle de l’autre... elle ira jusqu’où l’autre me laissera aller, voir aussi loin que je peux emmener l’autre contre son gré. C’est ça, la liberté, la vraie liberté j’entends.

      La liberté, c’est comme l’amour ou la justice : c’est des grands concepts éclatés du cul qui change en permanence et qui, une fois sur deux, sont fait pour justifier le droit d’enculer les autres.
      Avec la liberté, on fait ce qu’on veut et on se retrouve avec des JO-Gaypride et des élites corrompus à tous les vices, parce qu’elles sont précisément "libres". Avec la liberté, on pousse des enfants à l’âge adulte sans les y avoir préparé et on les laisse divaguer à l’adolescence.
      Et la liberté, c’est aussi le droit d’être irresponsable en soi. Si j’ai de l’argent pour payer des gens qui me torcheront le cul et me feront à bouffer, pourquoi je me priverai de devenir un petit irresponsable dans sa cage dorée ?
      Petite remarque : la liberté est d’ailleurs quasiment TOUJOURS conditionné à votre niveau de richesse, donc on devrait plutôt parler de "potentiel d’achat" ou "pouvoir de liberté" que de "liberté" véritable...

      Plus sérieusement : la liberté dont tu parles, c’est celle d’un homme doit qui aurait choisi ses chaînes et qui les porterait au nom de ses convictions. Or c’est pas le cas de l’écrasante majorité des hommes, va falloir s’y faire. Tu es trop noble pour ce monde, camarade, tu devrais aller vivre dans un manga de samouraï, t’y serais mieux.

       
    • #3422759
      Le 14 septembre à 19:00 par Liberal conservateur
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      @ Le grand ménage : le libéralisme c’est le principe liberté-responsabilité. Je ne vois pas en quoi ça détruit les structures traditionnelles ; au contraire ça les rétablit en bonne partie ("tu fais des erreurs, tu payes ; tu réalises de bonnes choses, tu en touches les fruits"). Le libéralisme est le contraire du relativisme, c’est au contraire la quête de ce qui est juste. Le problème naît précisément quand on supprime la responsabilité, et que les méfaits retombent sur autrui (racailles d’en-haut et racailles d’en-bas).

      @ Il s’appelle le Freeman : en effet, chacun est libre et responsable. Si tu veux perdre la tête avec des chaudasses, alors tu assumes. Je n’en fais le reproche à personne, et je l’ai vécu par le passé. Mais on ne peut pas à la fois courir la gueuse et se plaindre de tomber sur des salopes. De même que les chaudasses tombent souvent sur des pervers et des escrocs. On est libre et responsable. Au lieu de me plaindre des salopes, j’ai fini par comprendre qu’il ne tenait qu’à moi de mieux choisir mes relations. Mais ça demande en effet une forme de maîtrise de soi. Ce qui, au passage, est enseigné par de nombreuses sagesses traditionnelles.

      L’usage par les dirigeants politiques de l’argent public et de l’état pour promouvoir leur doctrine est contraire au libéralisme. Le fait de ne pas préparer (ou de manipuler) les enfants est contraire au libéralisme, car l’éducation doit conduire l’adulte à être capable de se gouverner. Que les jeunes majeurs divaguent est de leur responsabilité individuelle ; tout au plus, leurs parents ou leurs proches devraient les encourager à une vie active et vertueuse.

      Celui qui est "irresponsable" dans sa cage doré ne reste pas longtemps riche. Il dépense son argent à son gré (dans les limites de la loi). Oui, la liberté ici-bas est en partie proportionnée à la richesse, car cela conditionne le pouvoir d’achat. Mais la richesse n’est pas malhonnête en soi. On travaille pour pouvoir s’offrir des choses. Cependant, la poésie, l’amour, l’amitié, la spiritualité, l’art, la pensée, la contemplation, la prière sont des horizons gratuits et sans limites.

      Voilà. C’est juste mon point-de-vue. Apparemment la meurtrière a pris 30 ans. Dans un régime libéral-conservateur elle aurait peut-être pris la peine de mort avec le jury populaire. Le régime de liberté n’est pas un régime d’irresponsabilité.

       
  • #3422226
    Le 13 septembre à 15:33 par Mon nom est personne
    Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

    Il y a quand même un fait qui limite ce pouvoir féminin exacerbé par le libéralisme et le wokisme : c’est la vieillesse. La femme vieillit comme le lait ( en tout cas selon les critères de putasserie via les réseaux ). Et le mur qu’elle se prend dans la tronche quand elle voit que plus personne ne cède à ses caprices, qu’elle est inexistante, fait mal. L’enfer des femmes, c est la vieillesse.
    Elles dilapident leur capital naturel de fraîcheur et de beauté dans le bonheur illusoire.
    4 anecdotes : - une ex russe prototype de l’aventurière qui m’avait confié qu’elle était déclassée à 32 ans à Monaco face aux petites putes virginales.
    - une fille qui m’avait dit que sa copine face à un mec qui était déconcentré par un chat pendant leurs ébats, lui avait dit « soit tu bandes soit tu te casses » ( ou l’agressivité utilitariste féminine encouragée par le système : un Delon ou Bond lui aurait de façon préventive mis deux beignes )
    - une jeune bénévole de 18 ans en discutant avec elle sur son mal être ( elle portait un t shirt « strong girl « alors qu elle était dépressive et anorexique) et ses causes me recrachait son quantique féministo- victimaire, alors que de son propre aveu famille bourgeoise, père qui bosse, fait les courses, parfois le ménage… mais selon elle pas assez la vaisselle… elle revenait d internement psychiatrique 4 mois. Elle s accrochait au malheur qu’on lui avait décrit.
    - Une connaissance : sa fille ado venait de se faire opérer pour devenir homme ( nichons coupés etc ) aux frais de la princesse, elle me disait que c’est compliqué de parler politique car iel ( ah ah ) objectait toujours les mantras wokes copié collés.
    Le pire est que l’autisme, dû à des causes épigénétiques ( pollution, perturbateurs endocriniens, injections ) est une pandémie, urgence de santé publique ( 1 enfant sur 36 aux US, ici a peine moins ) et au lieu d’agir pour ça on finance la mutilation des cerveaux faibles.
    Et pour être célibataire sur les appli de rencontre je peux dire que la majorité des femmes sont des putes, monnayent leur attention, sont méprisantes et grossières.
    Jadis où la dignité masculine était légale jamais elles ne se seraient permis d’agir ainsi : sans honte ni peur ni pudeur.
    Enfin de plus en plus de trans, un je lui demande mais tu as un vagin ou un pénis il me dit « ca importe peu ». Je lui dit si, on peut ne pas être attiré par l un ou l autre encore ou c est transphobe ? ( suis taquin). Blocage. Dans leur tête tout vaut tout.

     

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    • #3422372

      "je peux dire que la majorité des femmes sont des putes, monnayent leur attention, sont méprisantes et grossières.
      La majorité des femmes sur les applis de rencontre.
      Faut pas y aller, c’est tout, sur ces applis.

       
    • #3422413

      Je vois aussi autre chose dans la limitation de l impact de la manipulation du désir masculin=une emergence sur les rs (oû il y a quand meme de sacrées candidates ayant mal négocié certains virages...)de la notion de maîtrise de ce désir chez les hommes,abordée comme vertu et discipline .
      Ce qui en soi est louable et va dans le sens de ne pas gaspiller son énergie ,au sens de n avoir que comme seul objectif de transformer son trois pièces cuisine en mitraillette.
      Que les femmes commencent à tomber de leur piédestal (surtout celles n ayant eu que la seduction comme moyen de se sentir vivante ,d avoir une bonne estime d elle même )et que les hommes intègrent la responsabilité d admettre que se laisse aussi avoir qui veut ,à se comporter comme un clébard sans aucune garantie de retour d attention à leur egard,est plutôt une bonne chose.
      Qui sait,finira t on aussi par admettre que l amour et la force d un père est aussi structurant et complémentaire de celui d une mère,sans que cela disqualifie l un comme l autre.
      En tout cas,je ne pensais pas voir de mon vivant ces basculements des rapports humains,-limite relevant de la psychiatrie dans cette negation de l humanite de l autre)cocktail d ideologie et d effondrement d éducation
      Salutations.

       
    • #3422450
      Le 14 septembre à 07:29 par Mon nom est personne
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      A vv

      Pour avoir étudié le sujet à travers des articles et avis, et mon experience, le sujet des applis est inévitable, à part si on veut rester avec sa main.
      Aujourd’hui c’est par les appli que se font les couples la plupart du temps, c est devenu le moyen de rencontre n 1 quasi égalité avec le lieu de travail.
      Or je pense qu’il faut apprendre à vivre avec son temps, sinon on meurt un peu.
      Le féminisme et metoo font qu’il est périlleux d’aborder irl. Et perso je déteste les pubs/ boites.
      Il y a des femmes convenables heureusement, du choix, je dis juste que c’est rare : beaucoup de femmes cosmopolites haut diplôme qui virevoltent d’un pays à l’autre ( agentes du libéralisme mondialiste), bcp de demi mondaines qui se font un 13 e voire 14, 15 e mois à se faire courtiser, bcp de trans, etc.
      Perso si j’arrive à séduire et me prémunir des pièges des algorithmes ( faire payer des options, certains sites qui organisent votre invisibilité/ frustration, clauses féministes) sans payer, j’ai mis du temps à comprendre tout le vice ambiant.
      Et je maintiens mon propos qui peut dire qu’en France il est naturel de croiser une française non bouffée jusqu’au trognon de psychologisme féministo-revanchard, d’agressivité gauchiasse- immigrationniste, névrotique, matérialiste, grossière, stérile d’âme et de coeur, qui vit sans chien/ chat ? C’est rare.
      Ce qui est laid c’est que la séduction, l’amour, sont morts. La joie et la sensibilité sont devenus des gros mots, ridiculisés. Et voir que les femmes s’accommodent de ça, trahit qu’elles ont toujours singé l’amour, dans l’affectation. Tout ce qui les intéresse c’est la validation narcissique ( likes, hommages) et les distractions émotionnelles ( divertissements, surprises ).
      C’est affligeant de connerie.
      La Femme est l’avenir de l’Homme mon cul.
      La Femme telle quelle aujourd’hui est l’avenir du Suicide de l’Humanité. Son symbole le plus pur : stérile, futile, déracinée, immature, jouisseuse, consumériste, Traitresse, ingrate, bref les Anciens avaient la sagesse de la laisser à la cuisine et au gynécée. Et il y a une dette considérable de baffes et fessées qui se perd.

       
    • #3422460
      Le 14 septembre à 07:50 par Mon nom est personne
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      A Fred

      Perso je n’ai pas la prétention d’être un saint. Je pense assumer mon côté séducteur, j’aime les femmes, je les pratique, c’est aussi un héritage français le marivaudage, la galanterie. Mais je déplore qu’en face il n y ait pas de répondant au niveau du respect, de la joie, de la légèreté, on peut jouer à séduire et être dans le jeu, la bienveillance, valoriser l’autre, rire etc.
      La Femme dans sa pratique est un sport extrême, qui peut mener aux sommets comme à la déchéance, en tout cas on développe des ressources précieuses ( langue étrangère, prendre soin de son potentiel, observation, assurance, etc).
      Même si on n’a pas vocation à rencontrer pour se marier ( j’ai déjà un enfant ) ou faire des enfants, on devrait pouvoir vivre la séduction comme quelque chose de beau, de valorisant réciproquement ( comme une danse ) ; or là c’est souvent dégueulasse.
      Je ne suis pas pour l’abstinence ou le no fap, sorte d’autoflagellation qui de mon point de vue est le choix d’ajouter à sa frustration de la rigueur personnelle pour avoir l’illusion du libre arbitre dans sa misère sexuelle et affective : je revendique que l’homme a besoin d’aventure, conquérir, se vider les couilles, pecher, sinon quoi, on va devenir tous des incels et fragiles retrouvés momifiés un missel en main ?
      Si on laisse la Sexualité aux femmes, ce qui est en passe de se faire, il ne faut pas se plaindre qu’elles aillent voir mamadou ou qu’elles ne voient dans l’homme moderne qu’une fio…, un pé…, merde on peut plus rien dire… une lop… enfin un émasculé quoi.

       
    • #3422788

      "L’enfer des femmes c’est la vieillesse", oui... ou tout simplement le fait d’être moche ! Quoi qu’on en dise, ce n’est pas une affaire "de goûts", car ce n’est pas un hasard si une femme plaît à une grande majorité, ou laisse la même majorité indifférente à son apparence. Il y a une vérité objective dans la beauté ou la laideur. L’affaire des "gouts" et de la "subjectivité", c’est un construction de compensation, ça rassure la victime.
      Quant à vous, "féministes" pensant prendre les hommes "dans vos filets", ne vous en faites pas : les plus malins d’entre nous savent qu’il suffit de vous être indifférents, pour vous miner le moral. Malgré les apparences, la femme souffre de ne pas être regardée, s’empêtrant constamment dans le doute du "pas regardée" ou "pas regardable"... L’indifférence est bien pire que l’insulte. Donc cessez vos comédies.

       
    • #3422920
      Le 15 septembre à 07:22 par Mon nom est personne
      Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

      A Titi

      Oui, la nature féminine est comme un gouffre d’incertitude, une vacuité qui a un besoin de se faire remplir sans cesse de validation, d’attention, d’approbation.
      Pourtant aujourd’hui même le moindre boudin sur les appli peut avoir à défaut de l’embarras du choix, le choix de l’embarras, alors que les hommes tout à fait convenables sont invisibles ; cet état fait relativise l’impact sur elles de l’indifférence masculine punitive, bien que, souvent, les femmes sont punies par leur propre nature qui consiste à vouloir toujours ce qu’elles ne peuvent avoir.

      Celles qui nourrissent des passions, des centres d’intérêts, qui sont remplies déjà de quelque chose par une vie intérieure, sont plus libres dans le vrai sens du terme.

      Par contre si je vous rejoins sur la beauté objective, je remarque autour de moi beaucoup de couples où la femme est physiquement épaisse, moche, quelconque, le mec bien fait, et ils ont l’air harmonieux, enfants etc ; souvent même ces femmes sont dirigistes, maternantes, engagées, bonnes mères je suppose, et beaucoup d’hommes aiment ces femmes pour peu qu’elles aient des vertus affectives et de foyer.
      D’ailleurs on ne dit pas assez que beaucoup d’hommes laissent leur femme porter la culotte à l’intérieur ; c est pour ça que c’est grotesque de laisser aux femmes le pouvoir aussi à l’extérieur.
      Les qualités de coeur sont valorisées par les hommes plus qu’elles ne le croient, donc mesdames les ingrates physiquement, oubliez que vous n’avez aucune chance, foncez, sur un malentendu, ça peut marcher…
      De toute façon l’amour est toujours un malentendu.

       
    • #3423025

      C’est la qu’ intervient le mariage. Le premier atout de la femme, ce n’est pas son Master de marketing, c’est sa beauté. Elle le sait au moins inconsciemment, car elle passe 30min chaque matin à se pouponner. Elle passe 1h chaque jour à potasser les fringues sur les boutiques en ligne.
      Elle a besoin de se faire belle pour attirer l’attention des hommes.
      Bref, elle ne doit pas se contenter d’avoir un max de mecs qui la mattent, par narcissisme. Elle doit vite concrétiser, car son capital beauté s’errode vite avec le temps. Elle doit faire un pari sur l’avenir. Elle identifie celui qui lui semble être un bon mari/père, au moment de sa vie où il y a le plus de prétendants (entre 18 et 30 ans). Le mariage sert à ce que le bonhomme reste avec, passé 35 ans, un moment où elle n’intéresse plus beaucoup d’hommes. Sinon, bah, elle est condamnée à vivre seule avec un chat, plus des coups d’un soir qui se succèdent.

      Puisque le premier atout est sa beauté, on peut lister ce qui apparaît comme des drapeaux rouges (red flag) : embonpoint, tatouages, piercings, tenue vestimentaire négligée, attitude négligée.
      Aussi un truc essentiel à observer très tôt : son rapport à son père. Si elle ne le respecte pas, si son père était absent : red flag. Il y a des chances que ce soit une femme à problèmes. Même si ce n’est pas de sa faute. Si elle respecte et aime son père, très bon signe.

       
  • #3422235

    Quand Thomas Joly, qui ressemble à stephane Bern, lâche la bride à ses pénibles manières de tante.

     

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  • #3422278

    C’est là qu’on se rend compte que le féminisme est diabolique.

     

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  • #3422494

    Pauvre Théo ! Malheureusement nous les hommes, sommes plusieurs à nous faire avoir par des embobineuses. L’inverse existe aussi. Mais la finalité pour Théo est cruelle. Paix à son âme.

    Cette meurtrière à tout d’une coupable, je ne crois pas du tout au viol.
    Et d’écrivains pas le mot pute à toutes les sauces. C’est contre-productif et inapproprié.
    J’ai bien plus de respect pour les putes que pour les salopes !!

     

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  • #3422540

    30 ans... Avec remise de peine elle ne fera pas plus de 20 ans.
    Peut-être moins. (sans compter la sortie probatoire je crois, à confirmer)

    Quand elle sortira elle aura donc 38 ans ou moins. Toute la vie devant elle.

    Tandis que la vie d’une jeune garçon bien sous tout rapport s’est terminée à 23 ans. Le tout avec un crime misérable sans aucune justification, tué par un gros infâme gros thon.
    Et on ose appeler ça de la justice.

    On connait tous la peine qu’elle aurait mérité...

     

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  • #3422569

    Voici le sort que les féministes réservent aux hommes "déconstruits "

     

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  • #3422952
    Le 15 septembre à 08:29 par miles davis
    Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme

    Ce n’est pas la "meuf" qui a tué ce gars, c’est la poésie et la solitude...

     

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