Ivres du pouvoir que l’exécutif leur a donné, les officines antiracistes sont devenues dingues. Elles voient du racisme partout, même quand il n’y en a pas, car c’est leur raison de vivre.
Et plus elles auront besoin de (notre) fric – l’argent sale des petits Blancs –, plus elles verront du racisme, pour finir par accuser chaque Français de racisme viscéral, structurel, afin de toucher une rente à vie sur cette accusation.
La France est bien malade de ce maccarthysme-là, et comme tout délire paranoïaque du pouvoir, qu’il soit profond ou pas, il s’effondrera sur lui-même dans un grand dégagement de fumée noirâtre et l’odeur pestilentielle du mensonge autophage.
En attendant, il faudra encore entendre ces parasites de la Nation baver leur haine sur tout ce qui dérange leur petit pouvoir.
Emmanuel Macron a défendu jeudi l’écrivain Pierre Loti, en estimant que son œuvre n’était « pas réductible » à la polémique lancée par des associations antiracistes qui réclament de retirer du « Loto du patrimoine » la rénovation de sa maison natale.
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Plusieurs associations, dont le Conseil de coordination des organisations arméniennes de France, l’Union des étudiants juifs de France ou SOS-Racisme, ont demandé que cette habitation soit retirée de la liste des monuments en péril devant bénéficier du « Loto du patrimoine », qui sera lancé en septembre à l’occasion des Journées du Patrimoine.
Elles accusent l’auteur de Pêcheur d’Islande de nourrir « une haine d’une violence inouïe à l’égard des Arméniens et des juifs » dans certains écrits.
- Salon renaissance dans la maison de Pierre Loti à Rochefort, transformée en musée
Mais, pour le président, « il y a dans l’oeuvre de Pierre Loti des pages magnifiques » et « des propos qui seraient condamnables s’ils étaient tenus dans le débat public contemporain ». « Il ne faut pas avoir des combats anachroniques », a-t-il ajouté, en estimant que la littérature de Loti n’était « pas réductible à la polémique qui lui a été faite ».
Emmanuel Macron a visité la maison, fermée depuis 2012, en compagnie de Stéphane Bern, chargé d’une mission sur le patrimoine, et de la ministre de la Culture Françoise Nyssen, qui ont également défendu l’écrivain.
Le « Loto du patrimoine » doit consacrer environ 400.000 euros à cette maison que Pierre Loti (1850-1923) avait décorée à l’orientale, avec un salon turc, du mobilier chinois ou une chambre arabe.
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