Disons-le d’emblée, une partie de la « gauche » européiste et impérialiste française veut faire d’Hugo Chavez sa figure de proue, sa nouvelle estampe pour t-shirt d’antifas casseurs de nationalistes. Il est donc important de démontrer à ces stérilisateurs de figures révolutionnaires – ils ont neutralisé la figure du Che et veulent maintenant faire de même avec Chavez – que bien loin de leur appartenir, Hugo Chavez défendait des valeurs et des idées diamétralement opposées aux leurs et donc hautement révolutionnaires, y compris si elles se répandaient en France !
Il y aurait, selon cette « gauche » maastrichtienne récupératrice de révolutionnaires latino-américains, deux nationalismes : d’un côté le « bon nationalisme », celui d’Hugo Chavez par exemple, et de l’autre le « mauvais nationalisme », celui que les Français ne peuvent manifester sans se faire accuser de fascisme par tout le système médiatico-politique néo-féodal, fausse gauche en tête, Mélenchon en pointe. L’argument massue recyclé en permanence par ces culpabilisateurs professionnels est que nous, Français patriotes, serions des impérialistes-nés et que cet impérialisme serait en quelque sorte gravé à tout jamais dans nos gènes. Par conséquent, pour eux, notre amour pour notre pays serait forcément raciste et prendrait nécessairement la forme de missionnaires armés, prêts à en découdre avec le monde entier.
Ce raisonnement ultra-simpliste et insultant envers le peuple de France, il faut le détruire définitivement en affirmant que c’est au contraire parce que les Français ne ressentent plus la France dans leur chair, dans leurs « tripes », comme aimait à le dire Hugo Chavez, que celle-ci se trouve aujourd’hui à genoux devant l’empire, soumise à la volonté de nos élites apatrides et utilisée dans leurs funestes desseins.
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