L Fouché à tort de penser que le mal réside dans des entités extérieures. Le mal est en nous,, parce qu’il est installé dans nos conscience qui sont gouvernées par le collectif, qui lui-même est déterminé par un cercle de quelques individus qui orientent la conscience du corps social. Les consciences ont été tellement collectivisées, que l’individu n’arrive plus à penser par lui-même, selon son être propre en lien avec l’ordre naturel et la sagesse divine. Désormais c’est le corps social qui détient le mystère de l’être et oriente l’agir collectif en fonction de ses représentations. Du temps du collectivisme militant, le Part était détenteur de la vérité. C’est lui qui faisait la réalité, en fonction des orientations mentales requises par les maîtres à penser du système. Ce qui était blanc un jour devenait noir le lendemain et inversement. Maintenant que le collectivisme s’est installé dans les esprits, après des décennies d’inngénerie sociale et d’endoctrinement scolaire et autre, le parti n’a plus besoin d’exister. Il est en vous. Il vit constamment avec vous dans vos pensées qui guident votre comportement aligné sur la volonté générale. Cette idée géniale de la "volonté générale" dans le "contrat social" de Rousseau a donné naissance à la plus redoutable matrice de contrôle social qui ait jamais existé. Rousseau et ses sbires "illuminés" ont inventé le dieu-peuple, encore appelé le peuple souverain au nom duquel sont accomplis les pires actes révolutionnaires, qui sont réputés bons en soi car issus de la conscience sociale du peuple citoyen qui est la copie du peuple tel qu’il était dans l’état de nature originel. L’homme naît bon et c’est la société qui le corrompt, disait Rousseau, sauf lorsque la société est régénérée par la Vertu qui conduit l’homme à se purifier par la conformité sociale, du-t-il commettre pour cela les actes les plus répréhensibles tels que vols, pillages, meurtres, viols etc. Le but de la Terreur était d’instituer la démocratie directe en mettant le peuple au pouvoir, qui dès-lors pouvait se passer des libertés individuelles pour que l’homme devienne réellement libre en revenant à l’état de nature qui passait par la destruction de l’ordre bourgeois et la collectivisation. Nous vivons un nouveau Thermidor avec les mêmes lois d’exception , les mêmes lois des suspects et la même socialisation intégrale du corps social et de l’économie, Le but est là aussi de renouveler l’humanité, de créer un homme nouveau par le trans humanisme.
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