S’il y a des « sales Blancs », alors il y a forcément de « sales Noires », c’est logique. La vedette du genre, à part la petite peste de 14 ans qui trouve les Blancs moches, c’est Adja Traoré, proche du clan du même nom qui cherche à mettre le feu entre communautés (qui n’existent pas d’un point de vue républicain) avec la mort accidentelle du truand Adama, dit le roi de la fourchette, qui résistait à une interpellation de gendarmes.

Adja – on en a parlé ici – a cru bon insulter des patriotes qui défilaient, dégueulant sa haine du Blanc, du Français, du « facho », bref, elle a tout mis dans le même sac, signe d’un niveau intellectuel très bas.

Le fondateur d’Occidentis a retrouvé le casier de cette raciste bubonique. La petite maligne savait qu’en injuriant les natios, ces ennemis jurés du pouvoir profond, elle ne risquait rien, protégée par sa cape d’intouchabilité procurée par le lobby pro-Traoré (un synonyme très couille molle) et la justice franc-maçonne de la même obédience. Tout le monde peut donner un coup de pied à un lion mort (ou enchaîné), même un âne. Et a fortiori une ânesse.

Applaudie par les franco-haters, elle s’est pris l’inévitable shit storm sur les réseaux sociaux (RS), dominés par les antiwoke depuis le retour de la liberté d’expression chère à Elon Musk. Un shit storm non pas de haine première, mais de réaction à sa haine furieuse. Fallait pas verser le premier sang, comme dit Rambo.

Aujourd’hui, les Français n’ont plus envie de se faire insulter par des racistes pathologiques doublés d’imbéciles manipulés par les zizanistes, c’est valable pour elle et pour Omar Sy, dont la bio fait justement un flop : 3 823 ventes en deux semaines. Et on veut nous faire croire que c’est l’acteur préféré des Français... Extrait de l’indicible souffrance de ce migrant (fiscal à Los Angeles) :

« Un jour, en emmenant mon fils Tidiane à l’école, j’entends “C’est le fils d’Omar Sy” alors qu’avant, j’étais le père de Tidiane. Là, devant moi, on vient d’enlever le prénom de mon enfant de l’équation, alors que l’école, c’est son espace. Ça, c’est inquiétant. Mon réflexe, c’est de le protéger, lui et mes autres enfants. Et quelque part, je protège aussi le père que je suis. J’ai l’impression que ça va être plus simple de les élever dans un autre contexte. »

Le gauchisme antiraciste a vraiment fait des dégâts dans la population, et ce, à tous les niveaux : médiatique, politique, économique, psychologique.

L’autre Noire – puisqu’elle se définit comme telle, ce qui est très réducteur – qui vomit quand même moins de haine, mais qui ne semble pas amoureuse folle du mâle blanc patriarcal de droite nationale, ou tout simplement du Français moyen qui a eu le malheur de naître en France, c’est Rokhaya Diallo.

Elle s’exprime nettement mieux qu’Adja, ce qui n’est pas difficile. Cela lui ouvre les portes des plateaux et du service culturel du département d’État, soit la propagande communautariste US. Au fond, elle n’aime pas la France et les Français, qu’elle trouve globalement racistes, trop racistes. On se demande, vu la couleur de notre pays, où elle va chercher ça. On attend toujours les massacres de ses frères et sœurs (broza et sista) de couleur, les pendaisons d’innocents dans les arbres, façon Amérique profonde.

La France est probablement le pays le moins xénophobe du monde : on voit que la rocaille n’a jamais foutu les pieds en Chine. Plus finaude qu’Adja, voici ce qu’elle diffuse néanmoins :

Rokhaya en vrai

Évoquer la « jalousie » de ses adversaires, c’est aller vite en besogne, et prendre le risque de glisser dans une flaque de vanité. On se doute qu’avec sa logorrhée antifrançaise, Rokhaya n’est pas très appréciée sur les RS, mais c’est le prix de sa désinformation et de son séparatisme. Elle est capable d’amour ou quoi ?

S’il y a un problème blanc, ce n’est pas en métropole, mais en Nouvelle-Calédonie, qui est, peut-être pas ethniquement, mais historiquement, française. La question kanake est compliquée, et n’a sans doute pas de solution : il est clair que si les Blancs sont chassés du Caillou, les Kanaks feront appel à un autre impérialisme, pourquoi pas chinois, pour exploiter le précieux nickel, dont la production s’amenuise dangereusement (13 000 emplois sont concernés, et la concurrence indonésienne fait mal).

Voici ce qui tourne depuis le soulèvement sur les RS :

La place d’Adja et Rohaya est là-bas, aux côtés de leurs frères et sœurs de couleur en lutte. Elles pourront même prendre les armes, et aller au bout de leur combat antiblanc, et, qui sait ?, avoir la chance de mourir pour la Cause, devenir des héroïnes éternelles comme Rosa Parks, et avoir leur statue au fond de tous les bus de France.
Nul doute que des plaques commémoratives sont déjà prêtes chez Hidalgo, qui veut un max de rues aux noms de femmes. Pourquoi ne pas rebaptiser les Champs Élysées l’Avenue Hidalgo ? En rêve-t-elle ?

Pour finir sur une note positive, sachez, mesdames les racistes, que les Blancs ne sont pas tous des nazis, et les nazis ne sont pas tous méchants. La preuve :

Au fait, à propos de négritude pour parler comme Senghor et Fanon, où est passé Marcus Thuram ? Pourquoi est-ce qu’il ne marque pas ? Parce que la France est (encore) majoritairement blanche ? Le pauvre racisé est entré seulement à la 85e minute contre le Portugal, et même le site guadeloupe.franceantilles.fr lui donne une note de 5 sur 10. Deschamps, wallah, il sait donner la punition.