Quel horreur, Assad mettait les égorgeurs en prison ! il aurait dû les embaucher et les envoyer chez ses ennemis, comme c’est la tradition chez les pays de l’OTAN...

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J’ai vu une vidèo montrant des djihadistes en Syrie ou l’on entend certain d’entre eux parler francais avec l’intonation de racaille des quartiers parsemé de allah akbar .

Des "rebelles Syriens " mon c.l, ! tous les kassos deliquants psychopates violents et sans moral de la planète pseudo islamisés et sous kaptagon qui egorgent sans aucune pitier des pauvres gens qui vivaient tranquillement chez eux.

le même genre de raclures dégénėrės qui ont commis les attentats sanglants chez nous.
Les mėdias applaudissent ca !

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Hahaha, si vous avez compris quelque chose au Moyen-Orient c’est qu’on vous l’a très mal expliqué ! (citation libre qui devait sans doute être appliquée à un autre endroit du globe huhu, je vieillis…).

PS : je ne suis pas dupe, il est évident qu’après la « détente » carcérale post-Hafez et pre-« révolutionnaire », même des détenus non jihadistes, opposants ou dissidents ont subit des exactions, dérapages et autres joyeusetés médiévales ! En temps de guerre il est hélas impossible de maîtriser les pulsions humaines. Qui plus est lorsque de multiples puissances étrangères font partie de l’échiquier déjà bien compliqué localement…

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Je trouve des similitudes troublantes entre la couverture de ce qui se passe en Syrie et ce qui avait été dit en 1975 de la "libération" du Cambodge par les Khmers rouges, célébrée à l’époque par "Le Monde" entre autres. On se souvient de ce qui s’en était suivi : génocide, millions de morts... Et bien des années après, un mea culpa minimal, du bout des lèvres. En observant la couverture médiatique hallucinante, reprise sans le moindre esprit critique des éléments de langage israéliens, je rêve du jour où nos journalopes devront à leur tour confesser qu’ils s’étaient un peu emballés en célébrant les "égorgeurs modérés" qui ont fait fuir le "boucher" (en fait patriote résistant) Bachar...

Par ailleurs, petit exercice de sociologie pratique... Désespérant de voir à quel point il est facile de manipuler les masses dans ces situations. Une collègue de travail : "Mais les habitants ont l’air vraiment heureux de voir Bachar renversé !" Comme si ceux, peut-être majoritaires, qui pensent l’inverse avaient la liberté de le dire publiquement, au milieu des djihadistes et de leurs partisans. Quel serait leur sort une fois les caméras éteintes ? Que de naïveté...

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Vu d’en bas, quel spectacle fascinant, que cette continuelle exhibition de toutes les abjections interconnectées internationalement synchronisées, depuis des endroits encore impossible à localiser et des commanditaires anonymes. La monstruosité n’est plus a démontrer, qui sévit au grand jour ; ignoble, insatiable, tyrannique, perverse, souillant tout ce qu’elle touche, avec ses comparses, ses complices, et ses innombrables larbins. ’’En ce temps là, en Égypte, les immondes étaient au pouvoir’’...

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Les Khmers rouges ont en commun avec les islamistes une forte consommation de fillettes (qu’on ne retrouve jamais).

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L´Occident pourri et dégénéré préfère l´islamisme radical (les égorgeurs) à toute autre "version" de société musulmane (nationaliste, laïque, socialiste, généralement des régimes durs). Les égorgeurs djihadistes, nourris au biberon par l’Occident sont une aubaine pour celui-ci. Ils servent de main-d’œuvre bon marché pour les intérêts des Occidentaux. Leur fanatisme et leur sauvagerie leur sont utiles pour combattre et éliminer les régimes arabo-musulmans modérés, laïcs, nationalistes, etc (ceux-ci ne sont pas des enfants de cœur, mais ils tiennent leur monde sous contrôle). 

On ne renverse pas des régimes comme ceux-là avec une opposition vraiment démocratique et civilisée. Les démocrates de ces pays-là (si toutefois cela existe) ne prennent pas les armes, ce sont des mous, ils font de la politique d’une autre façon. Donc, les Occidentaux font appel à ces sauvages assoiffés de sang, prêts à se battre et à mourir. Ont leur fourni des armes et de l’argent en grandes quantités et on leur fait croire qu´ils vont se battre pour leurs propres objectifs (et à la gloire d´Allah). Le tour est joué. 

Une fois que le "régime" visé tombé, on laisse à ces sauvages commettre toutes sortes de crimes et de brutalités, imposer des mesures obscurantistes, on leur facilite l´implatation d´un chaos perpétuel, et on finit par dire : " Voyez, ces gens-là sont des barbares, c´est ça en fait l´islam, il faut les maintenir à distance. On va s’en occuper, n’ayez crainte bonnes gens". Et on les détruit à petit feu, sans toutefois les exterminer, vu qu´on peut en avoir besoin à tout moment.

Le véritable ennemi de l’Occident ne sont donc pas les égorgeurs au nom d’Allah, mais bien les régimes laïques de certains pays musulmans qui ne se laissent pas faire et opposent une résistance. On ne laissera jamais à ces barbus fanatiques avoir une armée comme il se doit pour défendre le pays contre les agressions de l’extérieur (et menacer ses agresseurs), on leur laissera des kalachnikovs, des mitrailleuses montés sur des pick ups et des balles (beaucoup de balles). Les ressources et les richesses (et des pans de territoire) de ces pays seront volées tranquillement avec la complicité des nouveaux dirigeants. Voilà.

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Qui peut encore lire et écouter ces journalistes ? Leurs rapports, et c’est le seul intérêt, témoignent de l’actualité (!) et de l’état du pays dans lequel ils vivent : un pays faux... Il faut être très faux pour se montrer fuyant devant les barbaries israéliennes en Palestine occupée et s’indigner comme un gros sensible pour les pointeurs, bouchers,... des geôles syriennes - c’est le dictateur Bachar !

Soral a répondu à Zemmour qui jouait au " juif concerné par le sort des chrétiens de Syrie " (un juif préoccupé par les chrétiens de Byzance, de Syrie... Hein ?!!!) : tu nous prends pour des jambons.

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Le projet de la plus grande démocratie du monde toujours en route avec l’aide de ces débiles a kalash. une vaste blague de les premiers jours quand j’ai entendu de le mot « rebels » je me suis dit « non ils osent les appeler comme ça et prendre autant les gens pour des cons » … le discours des médias et autres au sujet de la Syrie est une manipulation de masse. C’est incroyable.

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Et, mauvaise nouvelle pour nos fuckcheequers ( ou fact cheker, je sais pu) le fameux taulard libéré sous les yeux ébahis de clarissa ward, la trop mignonne journaloppe américaine, ce fameux taulard libéré, au pain sec et à l’eau depuis 6 mois, n’est autre que Salama Mohamed Salama, ieut’nant des services secrets syriens, responsable d’incarcerations, de tortures et d’extorsions...
Arf !

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