Petit test : de qui sont les citations suivantes, d’Alexis de Tocqueville, le grand observateur de la démocratie américaine, ou d’Adolf Hitler, le dictateur allemand :
« Il n’y a, en général, que les conceptions simples qui s’emparent de l’esprit du peuple. Une idée fausse, mais claire et précise, aura toujours plus de puissance dans le monde qu’une idée vraie, mais complexe. »
« Or, il n’y a au monde que le patriotisme, ou la religion, qui puisse faire marcher pendant longtemps vers un même but l’universalité des citoyens. »
« Le plus redoutable de tous les maux qui menacent l’avenir des États-Unis naît de la présence des Noirs sur leur sol. »
« Aussi longtemps qu’une religion trouve sa force dans des sentiments, des instincts, des passions qu’on voit se reproduire de la même manière à toutes les époques de l’histoire, elle brave l’effort du temps, ou du moins elle ne saurait être détruite que par une autre religion. »
« La force est donc souvent pour les nations une des premières conditions du bonheur et même de l’existence. [...] Je ne sache pas de condition plus déplorable que celle d’un peuple qui ne peut se défendre ni se suffire. »
« On [les colons américains] transportait ainsi la législation d’un peuple rude et à demi civilisé [les israélites] au sein d’une société dont l’esprit était éclairé et les mœurs douces ».
« Voyez-vous cet opulent citoyen ? Ne dirait-on pas un Juif du Moyen Âge qui craint de laisser soupçonner ses richesses ? »
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