Mille mercis à Xavier Moreau, visiblement peu impressionnable et peu intimidable : c’est à cela que l’on reconnaît un authentique Français.
Xavier nous dit que la dotation US-OTAN à l’Ukraine est confortable. Pourtant, il y a quelques jours, le clown Zelensky s’est enregistré, toujours habillé en barbouze, adressant aux États-Unis le message suivant, qui m’a fait rire : « Cette fois-ci, nous avons deux besoins de financements urgents. Le premier est d’un montant de 38 milliards de dollars pour combler notre déficit budgétaire de l’an prochain, et le deuxième est de 17 milliards. Ce montant a été vérifié par la Banque Mondiale et il est nécessaire pour reconstruire nos infrastructures vitales. Nous avons aussi besoin de crédits ciblés à hauteur de 2 milliards pour reconstruire nos infrastructures électriques et énergétiques après les destructions, et pour consolider nos exportations vers l’Europe. Nous avons besoin d’un plafond de crédit de 5 milliards de dollars pour nous préparer à la saison froide et nous approvisionner en gaz et charbon. »
J’ignore combien de temps la faction la plus belliqueuse du gouvernement Biden et la plus déterminée de L’OTAN, accepteront d’écouter leur marionnette s’adresser à eux comme un impudent de 5 ans parle au Père-Noël. Il y a un aspect insupportable et rebutant dans la goinfrerie ad nauseam de cette élite ukrainienne, qui semble préparer sa sortie de guerre vers les paradis fiscaux. La liste d’exigences financières du Zelensky est nauséabonde, compte tenu du peu qu’il fait parvenir à sa population en souffrance, et compte tenu du fait qu’il s’exprime comme un blédard du Haut Atlas en séance de pleurniche devant sa vache à traire : NOUS.
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