Noir parce que la victime était noire, même si les forces de l’ordre françaises n’ont jamais eu pour ordre d’abattre les citoyens, qu’ils soient noirs ou blancs.
Dreyfus parce que notre pays se déchire à nouveau, par le truchement des médias mainstream et des associations communautaires, sur sa propre culpabilité. Il ne s’agit donc pas ici du Dreyfus innocent ou coupable, mais du Dreyfus diviseur de la Nation.
Des puissances influentes se sont emparées de ce fait divers tragique dans un but métapolitique qui n’apparaît pas au premier regard. Pourtant, tous les signes d’une ingénierie sociale de grande ampleur sont là : il semble, à travers la pression migratoire à majorité arabo-musulmane, les attentats dits islamistes et la violence policière soi-disant antinoire, que l’on veuille monter les minorités de couleur contre la population blanche et chrétienne de la France.
Lors de l’enterrement d’Adama Traoré au Mali – bien qu’il ne soit pas malien – le 8 août 2016, le journal Le Monde a titré :« On pleure des larmes de haine ». Répercuter de tels propos, en invoquant la « haine », alors que la France a sauvé le Mali de la dislocation, montre la volonté de l’oligarchie – qu’est-ce que Le Monde sinon le relais de l’oligarchie française – de provoquer les communautés jusqu’au point de rupture.
Retour sur les faits, sur leur exploitation médiatico-politique, et sur la toile de fond oligarchique d’un événement « augmenté ».
Les faits
Le 19 juillet 2016, lors de son interpellation pour une affaire d’extorsion de fonds, dirigée initialement contre son frère – deux premières arrestations ayant échoué –, Adama Traoré est maîtrisé à son domicile par trois gendarmes, qui le neutralisent en le maintenant au sol pendant quelques minutes, afin de le menotter. Peu de temps après, le jeune homme se plaint de difficultés à respirer, montre des signes de faiblesse, et perd connaissance. C’est ce qui figure dans le rapport officiel. Dans la cour de la gendarmerie, allongé sur le sol, Traoré gît inconscient : les gendarmes pensent d’abord à une simulation, puis, devant l’évidence d’un malaise, appellent les pompiers. Lorsque ces derniers arrivent, le jeune homme de 24 ans est mort.
Sa sœur jumelle Hassa Traoré, à BFMTV : « Ils l’ont tué, ils ont camouflé le meurtre. (…) Mon autre frère est encore en garde à vue avec sa copine, ils ont vu mon frère se faire frapper à la tête. Ça fait longtemps qu’ils sont après Adama et ils l’ont eu ».
Aussitôt la nouvelle connue, la famille crie à l’assassinat, et les quartiers (de Beaumont-sur-Oise, dans le Val d’Oise), s’embrasent. S’ensuivent trois nuits d’émeutes et de heurts avec les forces de l’ordre.
Le fonctionnement de la justice l’exigeant, et pour que les choses s’apaisent, les résultats d’une première autopsie sont aussitôt diffusés par la voix du procureur de la République de Pontoise : le corps de Traoré ne montre pas de traces effectives de violences, et une infection au cœur est dénotée. Les autorités médicales n’excluent pas que le décès soit dû à un « syndrome asphyxique amplifié par une fragilité cardiaque ». La famille de la victime imagine un scénario autre : la mort par asphyxie lorsque les gendarmes ont maintenu Traoré au sol, c’est-à-dire une « compression thoracique », assimilée par son avocat à une « violence ». C’est pourquoi la famille du défunt porte plainte pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
Le frère d’Adama : « Je suis persuadé qu’ils avaient mis un contrat sur sa tête »
Une seconde autopsie – dite contre-autopsie – est alors décidée dans la foulée, qui ne montre là non plus « aucune trace de violence ». Le rapport conclut à « l’absence de violences de nature à entraîner le décès ». La demande d’une troisième autopsie est refusée. Mais le procureur rappelle les circonstances de l’arrestation : un journée de canicule, et la température très élevée constatée sur le jeune homme, qui souffrait d’une « grave infection respiratoire », malgré ce qu’avance son frère.
Si l’on peut comprendre sa colère, l’intervention du frère d’Adama Traoré n’est pas faite pour calmer les débats :
La famille Traoré, qui ne croit pas les rapports officiels, sous la houlette de la soeur jumelle d’Adama, organise, après celle de Beaumont, une marche blanche le samedi 23 juillet à Paris, qui n’est pas autorisée par la préfecture. Une démonstration pacifique au départ qui dérape dans des slogans vengeurs à l’encontre des gendarmes, accusés de bavure et d’assassinat. C’est alors que l’affaire prend un tour national, puis international : le hashtag « JusticePourAdama » fait écho au BlackLivesMatter (« Les vies des Noirs comptent ») d’outre-Atlantique. Les événements se rejoignent et se télescopent au cours d’un été de toutes les tensions.
L’exploitation médiatique
Aussitôt la nouvelle de la mort d’Adama Traoré connue, les médias se scindent en deux groupes bien distincts : ceux qui croient à la bavure policière, voire à l’assassinat pur et simple, et ceux qui croient au hasard malheureux, celui d’un voyou affligé d’un malaise respiratoire qui oblige trois gendarmes à le maîtriser, aucune des quatre personnes n’étant consciente du danger de ce mode de neutralisation. On retrouve alors la vieille faille médiatico-politique française, issue de la fracture centenaire entre dreyfusards et anti-dreyfusards, soit entre gauche et droite, ou progressistes et réactionnaires. À la différence que le capitaine français de confession juive n’est pas mort lors de son affaire, et qu’il n’était pas soupçonné de délinquance, mais de trahison nationale.
Pour illustrer cette fracture, nous avons choisi deux articles de presse, absolument opposés, dans l’idéologie et donc dans l’analyse. Les faits sont une chose, leur interprétation en est une autre ; c’est sur cette charnière que naît la politique. D’ailleurs, les deux « tribunes » semblent se répondre. Le 2 août, Éloïse Lenesley pour Le Figaro assimile, dans son titre, l’affaire Traoré à une « inversion accusatoire et [une] manipulation victimaire ». Elle y dénonce le procédé désormais automatique de « l’inversion accusatoire, tapis rouge de la manipulation victimaire qui absout les minorités de toute faute ». Et conclut par une mise en perspective destinée à faire bondir la gauche :
« En somme, les forces de l’ordre devraient éviter d’importuner les délinquants issus de la diversité pour ne pas risquer d’accroître les dissensions ethno-religieuses qui délitent la cohésion nationale, parce que c’est ce que recherchent, paraît-il, les terroristes. »
En passant, la journaliste critique l’éditorial du New York Times, qui lance un très opportun « Black Lives Matters in France, too », c’est-à-dire « les vies noires comptent en France aussi ». Sous-entendu, la France est un pays raciste qui ne respecte pas les personnes de couleur. Un boulet qui assimile la situation française à la situation américaine, où les tensions raciales sont exacerbées depuis toujours. Et où le racisme était encore d’État il y a un demi-siècle.
- Elvis Presley attend son plat pendant qu’une femme, qui n’est pas autorisée à s’asseoir, attend son sandwich (1956)
Un véritable apartheid, que la France n’a jamais partagé. La réplique de la journaliste du Figaro à l’accusation du New York Times :
« “La culture de l’impunité, bien ancrée chez les policiers, mène à des abus d’autorité sur les minorités”, prétend le célèbre quotidien américain, pas vraiment au parfum des zones de non-droit qui se développent en France, ni de l’impuissance des pouvoirs publics paralysés par l’angoisse du moindre dérapage sécuritaire qui mettrait le feu aux poudres – preuve éclatante en fut donnée durant l’épisode Nuit Debout et manifs anti-loi Travail, où les casseurs purent donner libre cours à leurs pulsions destructrices. »
Le lendemain, dans Libération, le président de SOS Racisme Dominique Sopo, dans une lettre titrée « la deuxième mort d’Adama Traoré », s’adresse au procureur en charge de l’affaire. Il évoque avec une ironie mordante dans la communication officielle « la responsabilité de la victime elle-même et [d’]un malheureux concours de circonstances médicales ». Selon lui, l’évolution des déclarations du procureur, passant de « lésions d’allure infectieuse » à « l’asphyxie », prouve un malaise officiel devant une vérité que l’on cache. Partant de cette faiblesse de communication et des « circonstances troubles » de la mort d’Adama Traoré, il bondit dans le registre politico-social, voire le politico-racial :
« À moins que cette attitude ne reflète un mépris insupportable : le mépris de celles et de ceux qui estiment que la mort de certains fait partie des aléas de l’interaction entre les forces de l’ordre et des jeunes de quartiers populaires d’origine maghrébine ou subsaharienne. Nous ne savons pas si Adama Traoré est mort d’être un Noir de quartier mais votre communication entretient un rapport brutalement caricatural avec ces caractéristiques du défunt. »
La question posée se partage en trois sous-questions : Traoré est-il mort parce que « délinquant », « délinquant et noir », ou « noir » tout court ? Dans le premier cas, il s’agirait d’une interpellation qui a dégénéré, dans l’ignorance de circonstances médicales aggravantes ; dans le second, d’une espèce de circonstance aggravante qui serait le fait d’être noir ; et dans le troisième, d’un meurtre raciste pur et simple. Dominique Sopo laisse planer cette intentionnalité chez les forces de l’ordre :
« Pourquoi Adama Traoré s’est-il enfui à la vue de gendarmes ? Une question qui n’est pas sans rappeler les décès de Zyed Benna et Bouna Traoré… Quel est le fondement de l’interpellation d’Adama Traoré ? Le fait de courir est-il dans notre pays constitutif d’un délit nécessitant une interpellation aboutissant à un menottage à l’issue de l’utilisation de la technique du plaquage ventral ? »
« Adama Traoré serait-il mort à 24 ans, un certain 19 juillet, s’il n’avait pas croisé la route de ceux qui assistèrent à sa mort avec la bonne conscience des braves gens qui éprouvent le sentiment du devoir accompli ? »
La tribune de Dominique Sopo, en phase avec les positions du journal Le Monde, s’achève sur une menace à peine voilée de pression politico-judiciaire à l’encontre du procureur.
Une ingénierie mondiale
Par un hasard malencontreux, la mort de Traoré et ses suites médiatiques, puis politiques, ont fait écho aux événements qui secouent l’Amérique durant cet été 2016. Les tensions raciales y sont montées d’un cran, après que des citoyens noirs ont été abattus par la police, qui a la gâchette facile. En « réponse » à cette violence policière – car cela reste encore à l’état de théorie – des Afro-Américains ont tiré sur la police, abattant plusieurs policiers blancs. Une spirale de meurtres racistes/contre-racistes, qui arrive au moment où se déchaîne en Europe un terrorisme sans revendications et comme tombé du ciel.
Le fait que l’organe de presse étasunien numéro un ait lié deux événements indépendants, le « meurtre » du Noir Traoré et les meurtres de Noirs américains par la police, est symbolique et parlant à plus d’un titre : cherche-t-on à faire basculer la France dans un enchaînement de tensions raciales qui lui manquaient, alors qu’elle fait déjà face à des secousses sociales et terroristes de grande ampleur ? Qui a intérêt à importer une guerre ethnique en France, de la même façon que la guerre terroriste y a été introduite ?
Si l’on comprend la douleur et la colère de la famille et des proches d’Adama Traoré, comment expliquer que les manifestations – pacifiques ou pas – qui ont suivi sa mort, aient été aussi rapidement équipées et promues ? Pancartes, slogans, tee-shirts, sécurité, contacts presse, tout ressemble à un degré moindre mais racial à l’ingénierie baptisée « Nuit Debout », qui a agité et interrogé la France pendant près de quatre mois, pour s’éteindre au seuil de l’été. Là aussi, l’organisation et le désir de déstabilisation venaient d’en haut plutôt que d’en bas, et les revendications – légitimes ou pas – de la piétaille avaient été calibrées et conduites par un état-major déjà prêt.
En conséquence de quoi, beaucoup de « nuit debout », à la base, ne savaient pas vraiment ce qu’ils y faisaient. À l’inverse de leurs « organisateurs », aussi discrets qu’efficaces, du point de vue médiatique. Ce qui a fait dire que l’opération, ou l’ingénierie « Nuit Debout », produisait plus de bruit (médiatique) que de réalité (sociale). Au final, une fausse opposition inoffensive et conjoncturelle montée de toutes pièces par des relais de l’oligarchie, afin de neutraliser une opposition structurelle montante issue des classes moyennes et populaires doublement impactées par la crise économique durable. Une fausse révolution face à une vraie paupérisation. Des classes moyennes et populaires qui seront socio-logiquement absentes de ce piège posé par le Système.
Sans vouloir faire insulte à la mémoire des morts, qu’ils soient innocents ou délinquants, la réaction populaire au décès de Traoré a franchi un pallier organisationnel par rapport aux réactions habituelles dans ce genre de fait divers : en général, après la mort d’un « jeune » des quartiers, les habitants et les forces de l’ordre subissent les nuits d’émeutes, puis survient la marche blanche, la presse faisant son travail dans les deux sens, sur le mode victimisation/accusation, comme nous l’avons vu avec Libération et Le Figaro. Désormais, se produit un scénario à l’américaine, avec feuille de marche, manifestation aux slogans étudiés, travail médiatique de fond, convocation de soutiens politiques, une architecture tout sauf spontanée. Un scénario de micro-révolution orange. Quelle est cette main qui a « upgradé » un fait divers en fait de société, puis en événement politique ?
Congruence des activismes noir et juif, ou le retour de l’antiracisme prosioniste
Il est un troisième événement, issu ou pas des deux précédents, qui émerge actuellement : c’est le rapprochement, à tous les niveaux, entre des représentants de la communauté noire américaine, et la communauté juive organisée. On peut y voir une triple coïncidence, mais au moment où les tensions raciales s’exacerbent aux États-Unis, avec une série de meurtres raciaux sans autre mobile que la vengeance raciste ou antiraciste, et où l’axe Le Monde-New York Times fonctionne à plein régime pour associer à ces meurtres le cas Traoré, le gouvernement de Benyamin Netanyahou lance une opération de séduction à destination de la minorité afro-américaine. Sur la base d’une communauté de victimisation par rapport à l’homme blanc, qui cumulerait les deux racismes, antinoir et antijuif.
Si plus grand monde en France n’ignore l’origine sioniste de la création de SOS Racisme, et la soumission de son président à l’entité sioniste, cette usine à fabriquer du racisme et à transformer les Français de couleur blanche en racistes primaires, le rapprochement du sionisme et de la revendication antiraciste de la communauté noire n’était pas évident. Sans remonter à la conférence de Durban 2 (qui se terminait deux jours avant le 11 septembre 2001), où les pays africains quasi en bloc ont assimilé le sionisme à un racisme, l’activisme BDS des communautés arabo-musulmanes et africaines en France a considérablement gêné l’oligarchie sioniste. Mais les choses sont en train d’évoluer, dans le sens d’un ennemi commun. Et d’une part du gâteau médiatique.
La soudaine montée en puissance du CRAN, le conseil représentatif des associations noires, en est la preuve. Un lobby noir tout à fait au goût du CRIF, dont il a copié-collé les statuts et les buts : exploiter le communautarisme au détriment de l’unité nationale. C’est à l’occasion des JO de Rio que le CRAN refait surface, en pointant les commentaires « racistes » des journalistes de France Télévisions. Le groupe de service public s’est aussitôt excusé, devant une association qui ne représente pourtant personne. On sent qu’il y a eu coup de pouce.
Nous avons donc, « grâce » aux « attentats » migratoires permanents (Calais, Paris) et aux attentats terroristes ponctuels (Paris, Nice), la pince SOS Racisme-CRAN qui agit pour monter les Maghrébins (ou les musulmans) et les Noirs de France contre les Blancs (ou les chrétiens), conformément aux buts oligarchiques, jusqu’à ce que tout retour en arrière soit impossible. Paroles et actes racistes se multiplient de tous côtés, les parties radicalisées des communautés précitées affûtant leurs propos, avant d’affûter leurs armes. La guerre civile de Rioufol, mais avec l’explication politique.
Situation d’extrême tension qui est le prolongement de la préparation communautariste du CRIF, ce trimaran dont SOS Racisme – son émanation arabo-musulmane – et le CRAN – son émanation noire – renforcent le projet. Causeur peut alors titrer, tranquillement, le 10 août 2016 : « Les catholiques, apôtres naïfs du vivre-ensemble ? »
Où l’on comprend que, derrière les discours officiels mensongers, la très influente ligne prosioniste française joue le vivre-ensemble perdant – car il est plus facile de détruire que de construire – au profit d’un vivre-séparément dont on n’a pas fini de parler. La partition de la grande nation française est en bonne voie.
Les États-Unis, pays du communautarisme-roi et du vivre-séparément, vivent une campagne présidentielle inédite entre la candidate du système et un milliardaire populiste assumé. Soit le conflit qui oppose l’union paradoxale de l’oligarchie et des minorités ethniques, à la majorité constituée par les classes intermédiaires (moyennes et inférieures). Hillary Clinton, la marionnette du lobby juif américain et des puissances de l’argent, fille pathologique du mariage d’Hollywood et de Wall Street, drague la communauté noire pour combler les pertes croissantes du Parti démocrate chez les ouvriers et les petits employés blancs. Même schéma en France, où le socialisme mourant fait du pied aux néo-électeurs de banlieue pour sauver ses meubles et ses prébendes. L’oligarchie a donc intérêt démographique à l’immigration.
Des deux côtés de l’Atlantique, les intérêts de l’oligarchie consistent à jeter de l’huile sur le feu des tensions ethniques, communautaires et religieuses. Au besoin, elle les fabrique. Cette utilisation du lumpenprolétariat contre les classes moyennes, pour tenir les classes moyennes, est un classique des rapports sociologiques dans les camps de concentration. De plus, cette ethnicisation des rapports de classe antagonistes permet entre autres de les désocialiser. Les contre-feux artificiellement allumés servent à détourner l’attention et la colère du peuple, qui se tournent de plus en plus, depuis l’auto-information dépolluée sur l’Internet, vers le responsable non visible. Principe d’un conflit triangulé, mais qui fonctionne de moins en moins. Et cela expliqué la montée de la violence – ou de la punition – oligarchique.
Lâcher de fauves sur petits Blancs prisonniers
D’un côté les Français sont préoccupés de force – c’est la volonté assumée du trio Urvoas-Cazeneuve-Valls – par la crainte diffuse de « Daech », c’est-à-dire du danger constitué par les milliers d’islamo-racailles sur notre sol (les prisons en sont pleines, et la France compte en tout 1050 djihadistes en activité, 600 sur place en Syrie et en Irak, plus 200 femmes et mineurs, auxquels il faut ajouter 250 revenus, 200 étant morts sur place), qui agissent objectivement en toute impunité grâce à une justice totalement sous contrôle (de la sorte, une politique ouvertement laxiste se cache derrière un tout-sécuritaire de façade) ; de l’autre, les mêmes Français commencent à subir, en plus de la revendication classique arabo-musulmane (SOS Racisme a 30 ans), la revendication communautaire noire. Il semble que ces deux offensives – communautaire et terroriste – soient lancées simultanément et à dessein contre le peuple de France. Il y a agenda.
Cette pince ethnique, favorisée on l’a vu par l’oligarchie, qui est en partie visible (Urvoas-Cazeneuve-Valls), et en partie cachée (le CRIF et les donneurs d’ordre du lobby), oblige le peuple français à se défendre contre les dangers qui viennent des côtés, afin qu’ils en oublient la pointe du triangle, le danger situé au-dessus d’eux, le père de tous les dangers, et qu’ils laissent tranquilles les puissances qui tirent les ficelles. Des ficelles reliées aux portes des cages, avec des fauves prêts à surgir, élevés au biberon de la haine de la France. Des portes que ces ficelles ouvrent à volonté, au gré de leurs intérêts bien compris.
Nous terminerons sur cette citation de Céline, tirée de son pamphlet Bagatelles pour un massacre (1937, Denoël), un livre qui n’est pas interdit, mais qui n’est plus édité, sur volonté de la veuve de l’écrivain :
« Je vais, à mon tour, vous dire un peu l’avenir : Un jour, les Juifs lanceront les nègres, leurs frères, leurs troupes de choc sur les derniers "cadres" blancs, les réduiront, tous ivrognes, à l’esclavage. Harlem sera le quartier "blanc"... Les nègres en bringue, ils iront voir, ils feront danser les blancs pour eux, la "blanc-boula". »