Steiner est loin d’être inintéressant et dire qu’il ne connaît à peu près rien est tout sauf censé...
Après, le problème de ces élites juives c’est qu’elles sont retournées au ghetto intellectuel, et qu’elles n’arrivent plus à comprendre ce qui ne se dissèque pas, et ce qui n’est pas le pur produit d’une méthode de pensée (Talmud ou autre) reliée à une parfaite logique sémantique (où le nom désigne purement la chose, dans sa vérité la plus immédiate, immuable.. chosifiée ?). Pourtant Steiner a dénoncé l’emprise de l’esprit universitaire, et les limites de la critique littéraire quand elle transforme le texte en pré-texte. Mais lui-même a ses œillères semble-t-il... et après tout qui n’en a pas ?
A contrario, Gustav Mahler, pour avoir été un admirateur de Wagner, de Mozart aussi, et avoir voulu composer à la manière autrichienne, était un juif émancipé, très peu obsédé par la mythologie de sa communauté. Comme ce genre de profils nous semblent loin ! Depuis tout est allé à rebours.
Le jubilatoire, le féérique, le légendaire, le joyeux, le monstrueux est au fondement de nos langues aryennes (barbares, goy, chrétiennes, c’que vous voulez), c’est LA source créative, NOTRE génie organique (ce que Vico appelait les universaux fantastiques : càd notre version de la vérité, si peu vraie en elle-même, et pourtant capable de la porter avec un goût plus fort et plus sûr)... Céline incarne cela jusqu’à la caricature ; ça leur est insaisissable, ils ne comprennent pas ; trop dangereux, teigneux, incontrôlable, et surtout peu propice au "changement", à la tournure qu’ils aimeraient peut-être nous voir prendre. C’est ce rein-là qu’il leur faut casser pour que les peuples se liquéfient docilement, et rampent gentiment vers leur judaïsation...
Il ne s’agit pas de rejeter totalement une certaine intelligence juive, pieuse surtout, dont le christianisme a pu hériter... Mais "ils" ne veulent pas partager, et ont très bien identifié qu’à la racine de l’être goy, il y a quelque chose de foncièrement hostile au règne du type juif, à sa sereine domination. Il faut donc abattre cette racine, et bien profondément, pour que rien ne repousse. C’est cela, notre destinée.
Qui en veut ?