Le système monétaire du pétrodollar :
Parmi les signes de fin des temps prophétisés par le prophète Mohammed (paix et bénédictions d’Allah le Très-Haut soient sur lui) est que « le fleuve de l’Euphrate découvrira une montagne d’or ». Il a dit que « les gens se battraient pour cet or et que 99 sur 100 seraient tués. Chacun d’eux s’attendrait toutefois à être ce « un » sur 100 qui survivra ». Il a ensuite averti que « celui qui est présent à ce moment-là ne devra pas prendre d’or ». (Sahih Bukhari).
L’Euphrate à découvert une montagne d’or il y a moins de cent ans - mais c’était de l’or noir, le pétrole, et il y a eu des guerres constantes, les unes après les autres depuis ce temps, pour le contrôle de cet or noir. Nous allons vous expliquer dans un instant comment le pétrodollar a été créé quand « un océan de pétrole » a commencé a fonctionné comme une « montagne d’or » sous la forme d’un actif pour garantir la sauvegarde d’un nouveau système monétaire pétrodollar.
Toutefois, le monde doit encore faire l’expérience de telles guerres pour cette « montagne d’or » dans laquelle 99 sur 100 seraient tués, c’est à dire, des guerres dans lesquelles des armes de destruction massive (comme les armes thermonucléaires) seraient utilisés et causeraient un nombre de décès colossale.
Il est difficile de savoir si les guerres de « la montagne d’or » aboutiront à la Malhama, ou la grande guerre, prophétisée par le prophète Mohammed (paix soit sur lui). Cette grande guerre permettrait de réduire sensiblement la population humaine du monde et le minuscule État d’Israël aurait alors beaucoup moins de difficulté à gouverner le monde.
Notre point de vue est qu’on nous a défendu de prendre cette « montagne d’or » parce que celle-ci serait utilisée comme un instrument d’asservissement de l’humanité tout entière. Dans la mesure où nous l’avons utilisé, nous finirons par être réduits en esclavage.
La route vers le pétrodollar :
Il y a des preuves qui suggèrent fortement que l’information officiellement divulguée concernant la guerre israélo-arabe d’octobre 1973 dissimule des preuves que les sionistes ont réussi à pénétrer dans le camp arabe à un point tel qu’ils étaient en mesure de gérer la guerre à leur avantage. Même le jour et l’heure pour le commencement de la guerre - Youm Kippour - a fourni une excuse raisonnable qui pouvait être présenté à l’opinion publique israélienne afin d’expliquer de façon satisfaisante la réussite de l’attaque surprise des arabes.
Les sionistes connaissaient déjà, et ont été préparés pour le boycott pétrolier arabe. En fait, ils l’ont peut être secrètement encouragée. Le prix du pétrole a augmenté de 400% allant de 3 $ à 12 $ un An après le début de la guerre et l’embargo pétrolier arabe parallèle contre les États-Unis.
Cette hausse spectaculaire du prix du pétrole, a non seulement bénéficié aux compagnies pétrolières américaines et britanniques, mais aussi, et surtout, aux pays exportateurs de pétroles en grande partie arabes. La manne des recettes pétrolières arabes a créé une opportunité qui a été habilement exploitée par les États-Unis pour chercher à remplacer un système monétaire basé jusque-là sur l’or, ou superficiellement basée sur l’or (c’est a dire Bretton Woods), par un nouveau basé sur le pétrole. En d’autres termes, les Américains voulaient que le pétrole fonctionne comme l’or dans un nouveau système pétro-monétaire.
Henry Kissinger, le secrétaire d’État américain (c’est-à-dire le ministre des Affaires étrangères), a réussi à négocier avec l’Arabie saoudite du roi Fayçal un accord prévoyant que le pétrole soit vendu en dollars américains seulement. L’Arabie saoudite a ensuite persuadé les autres pays Arabes à se joindre à l’accord. Ce fut la naissance du Pétrodollar.
Le roi saoudien n’a probablement pas réalisé qu’il avait signé la création d’un système monétaire qui avait été prophétisé par son propre Prophète (paix soit sur lui). À la suite de cet accord, le pétrole fonctionnait maintenant comme l’or, pour la devise américaine. En fait, l’accord était manifestement Haram. Le prophète Mohammed (paix soit sur lui) a insisté sur la préservation d’un marché libre et équitable. Un accord prévoyant que le pétrole soit vendu seulement en dollars américains constitue une violation du libre marché. Et puisque le dollar américain ne pouvait plus être échangés contre de l’or à 35 dollars l’once, l’accord constitue également une violation de la juste valeur marchande.
Les États-Unis n’ont plus eu à se soucier de la relation entre les réserves d’or et la quantité de dollars américains en circulation. Le prix de l’or pouvait grimper à l’infini sans constituer une menace pour le dollar américain. En d’autres termes l’occasion a été créé pour la Réserve fédérale américaine de créer autant d’argent qu’elle désirait - avec le ciel comme limite - et ensuite alimenter cet argent dans le système bancaire. Puisque les banques ont prêté cet argent contre de l’intérêt, cet argent nouvellement créé sera alors légalement reconnue comme tel.
En effet, alors que le monde s’éloigne du papier vers la monnaie électronique, il ne sera même plus nécessaire d’imprimer des billets en dollars américains. Tout ce que la Réserve fédérale aura à faire, et elle est en train de le faire en ce moment, c’est d’émettre des chèques pour des milliards de dollars aux banques et donc d’améliorer à terme la capacité du système bancaire sous contrôle sioniste, à dominer le monde au nom d’Israël.
L’ancien Premier ministre malaisien Mahathir Bin Mohamad a écrit récemment pour donner son point de vue sur cette évolution extrêmement dangereuse. Voici ce qu’il avait à dire :
Assouplissement quantitatif 2 : Le monde se fait mener en bateau par les grands pays occidentaux, Mahathir Mohamad, Premier Ministre de la Malaisie, de 1981 à 2003
1.Assouplissement quantitatif 2 : C’est un terme inventé en Occident pour décrire l’impression d’argent pour payer des dettes ou pour relancer l’économie.
2. Il s’agit d’un excellent moyen de gagner de l’argent pour remplacer l’argent que la nation a perdu dans une récession provoquée par les abus du système financier. Il vous suffit d’imprimer plus d’argent.
3. En fait, je ne pense pas qu’ils impriment réellement des billets de banque d’un montant de plusieurs centaines de milliards de dollars ou de livres pour remplacer l’argent qu’ils ont perdu. La quantité de billets de banque imprimés serait énorme et très difficile à transposer dans les banques qui ont perdu de l’argent. Il y aurait un flot de voitures blindées de l’hôtel des monnaies jusqu’aux banques.
4. Je soupçonne que ce qu’ils font c’est d’émettre des chèques en faveur des banques. Le montant devrait être entré dans les livres de comptes des banques.
5. Si les banques ont besoin de payer ou de prêter de l’argent, encore une fois les chèques seraient émis ou le montant crédité à la personne ou a l’entité dans les livres de comptes des banques.
6. Si les personnes ou entités souhaitent payer pour quelque chose, ils émettraient à nouveau des chèques. Le montant des chèques serait crédité aux comptes des personnes ou entités qui seraient autorisés à émettre des chèques en paiement pour leurs besoins.
7. A aucun moment quelqu’un obtient ou est payé en espèces. Alors quel besoin d’imprimer de l’argent sous forme de billets de banque. Chaque fois que ces pays perdent de l’argent, tout ce qu’ils doivent faire c’est d’émettre des chèques du montant qu’ils ont besoin.
8. Cependant, cet assouplissement quantitatif est un privilège pour les pays riches seulement. Lorsque la Grèce a perdu de l’argent, celle-ci n’a pas pu imprimer des billets de banque ou émettre des chèques pour payer ses dettes. La Grèce a besoin d’emprunter de l’argent aux pays européens pour rembourser les prêts. Une fois encore, pas de billets de banque seront impliqués. Le montant prêté sera crédité à la Banque centrale de Grèce qui émettra alors des chèques aux banques commerciales.
9. Nous savons que des banques comme Goldman Sachs ont récupéré et sont en mesure de rembourser les prêts qui leur sont attribué par la Réserve fédérale. La reprise rapide se fait en empruntant de l’argent provenant de la planche à billets de la Fed sans intérêt ou a un intérêt minime, et puis par l’achat de bons du trésor. L’achat de bons du trésor revient effectivement à prêter de l’argent au gouvernement. Le gouvernement doit payer des intérêts sur l’argent emprunté, ce qui donne à Goldman Sachs un bon rendement. D’où le retour rapide à la rentabilité de Goldman Sachs.
10. Je ne suis pas un expert financier ou monétaire, mais je voudrais entendre les experts dire que ce que je décris ici n’a pas lieu.
11. Le monde est mené en bateau par les grands pays occidentaux et leurs systèmes. Il s’agit de faire ce que je vous dis et de ne pas faire ce que je fais. Aussi bien les États-Unis que le Royaume-Uni devraient à juste titre être en faillite. Pour se rétablir, ils devraient vendre toutes leurs banques, leurs industries et leurs autres biens à des prix dérisoires. C’est ce que les pays asiatiques ont été forcés de faire après que les traders aient poussé un grand nombre d’entre eux à la faillite. Mais les puissants pays en faillite de l’Occident n’ont pas à le faire. Ils effectuent l’assouplissement quantitatif, impriment de l’argent (émettent des chèques) et refinancent leurs banques et leurs industries en faillite. Et ils parlent de transparence dans les pratiques commerciales. La référence pour l’émission de chèques d’aujourd’hui est obtenue par simple pression d’un bouton de l’ordinateur et par l’art de la comptabilité (comptabilité à double entrée de débits et crédits).
Kissinger a également obtenu l’accord que les profits exceptionnels qui viendraient maintenant de la production pétrolière des États arabes, des suites du prix toujours croissant du pétrole (en raison de la valeur toujours en chute du dollar), seraient investis dans les banques occidentales dans ce que les gens ordinaires reconnaissent comme le Dépôts à terme. Ils investissent leurs pétrodollars dans des bons du trésor américain par exemple. Ainsi les pétrodollars les transformaient en des prêteurs à intérêts.
Je soupçonne que le compromis de cet accord a été un traité de défense secret dans lequel les USA ont garanti la sécurité de l’État d’Arabie Saoudite.
Nous nous situons maintenant dans le processus historique où Dajjal est sur le point de transiter vers la troisième et dernière étape de sa mission. Dans la première étape de sa mission, le monde a connu la Pax Britanica et la livre sterling comme monnaie internationale. Dans la deuxième étape, la Pax Americana a remplacée la Pax Britanica, et le dollar américain a remplacé la livre sterling comme monnaie internationale. Notre point de vue exprimé dans « Jérusalem dans le Coran », qui a été publié en 2002, est que la Pax Judaica remplacera la Pax Americana et une nouvelle monnaie internationale remplacera le dollar américain.
Nous ne savons pas si cette nouvelle monnaie internationale sera le shekel israélien, ou si les banquiers sionistes vont inventer un nouveau nom pour la monnaie électronique (DTS ou BANCOR). Quel que soit le nom de la nouvelle monnaie internationale qui succédera au dollar américain, il doit être clair que celle-ci sera basée sur les mêmes bases pétro-argent que le pétrodollar. Cela ne serait pas possible sans une alliance entre Israël et les États arabes producteurs de pétrole – l’Arabie Saoudite en particulier. Nous sommes maintenant en mesure de comprendre plus clairement pourquoi le Prophète Mohammed (paix soit sur lui) a fait cette déclaration inquiétante concernant le Nejd, d’où ont émergés les dirigeants saoudiens de ce pays. Il a dit que « du Nejd sortirait les cornes de Satan ».
Le plus grand de tous les dangers posé par le système pétro-monnaie est qu’il permet au système bancaire sous contrôle sioniste de créer autant d’argent qu’il le souhaite. Il n’existe pas de limite légale à la création d’argent, le ciel est la limite. Cette richesse peut ensuite être utilisée pour asservir ceux qui s’opposent à Israël, tout en enrichissant ceux qui soutiennent Israël. En fait beaucoup de gens dans le monde vivent déjà aux portes de l’esclavage.
Les Israélites ont eu la chance de ne pas avoir eu à se repentir pour gagner les faveurs d’Allah le Très-Haut pour être conduit hors de l’esclavage du Pharaon. Depuis lors, aucune autre nation n’a gagné cette faveur d’Allah le Très Haut, et même notre bien-aimé Prophète (paix et bénédictions d’Allah le Très-Haut soient sur lui) a dû se battre pour libérer ses compagnons de l’oppression et pour établir l’Islam. Seul Allah le Très Haut sait combien de temps l’esclavage et l’injustice dureront cette fois, et à quel prix en termes de foi, de santé, de richesse et de vie, nous aurons à payer afin de retrouver la liberté sous sa faveur.
Nous devons nous repentir pour toutes les violations manifestes de la loi d’Allah qui ont continuellement eu lieu sous nos yeux ces 100 dernières années en particulier. Nous devons nous repentir pour les monstrueuse Bid’ah monétaires (innovations) que tout le monde a accepté. Si Allah le Très Haut accepte notre repentir, il peut nous délivrer de l’esclavage en envoyant l’Imam bien guidé qui unira l’Oumma dans un corps solide pour libérer le monde de cette oppression.
Répondre au pétrodollar :
Puisque le Prophète Mohammed (paix et bénédictions d’Allah le Très-Haut soient sur lui) a donné l’ordre que « les personnes présentes à ce moment-là ne doivent pas toucher l’or », l’insinuation est que les musulmans en particulier, ont une obligation religieuse de cesser d’utiliser la monnaie papier, plastique et électronique qui est fausse, frauduleuse et Haram. S’ils ne le font pas, Allah le Très Haut ne se manifestera pas pour changer leurs conditions désespérées.
Allah le Très Haut a mis en garde dans le Coran :
له معقبات من بين يديه ومن خلفه يحفظونه من أمر الله إن الله لا يغير ما بقوم حتى يغيروا ما بأنفسهم وإذا أراد الله بقوم سوءا فلا مرد له وما لهم من دونه من وال
Il [l’homme] a par devant lui et derrière lui des Anges qui se relaient et qui veillent sur lui par ordre d’Allah. En vérité, Allah ne modifie point l’état d’un peuple, tant que les [individus qui le composent] ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes. Et lorsqu’Allah veut [infliger] un mal à un peuple, nul ne peut le repousser : ils n’ont en dehors de Lui aucun protecteur. (Coran, al-R’ad, 13:11)
Nous avons conseillé une stratégie de mépris de l’interdiction légale de l’utilisation de l’or comme monnaie. Toutefois, compte tenu de la possibilité de la violence d’État en réponse à l’utilisation de l’or comme monnaie (y compris les pièces d’or saisis par l’État), et puisqu’il n’y a pas d’interdiction légale de l’utilisation de l’argent comme monnaie, les musulmans doivent maintenant guider le reste du monde en créant des marchés dans lesquels les dirhams d’argent seraient utilisé comme moyen d’échange.
Il est irréaliste de supposer qu’il existe une possibilité de mettre le pétro-argent hors de la circulation dans le monde de l’Islam. Pratiquement aucun gouvernement n’ose défier les sionistes. Et l’Ulama ou savants religieux de l’Islam ont jusqu’à présent refusé de déclarer le papier, le plastique ainsi que l’argent électronique actuellement en usage comme étant Haram.
Par conséquent le dirham d’argent restera en circulation parallèlement au pétro-argent. Quels sont les problèmes que nous sommes susceptibles de rencontrer lorsque les pièces d’argent circuleront parallèlement aux pétro-argent, et comment doivent-ils être résolus ? Personne, peut-être, n’a fait plus de recherches sur ce sujet que notre prochain orateur, Hugo Salinas Price, du Mexique.