C’est clair que le Gnâgnayâyah et l’asticôtfélicienne ça parle à l’Ombré de la rue de Madrid !
C’est logique qu’il va se sentir à égalité dans la méthode proposée. Ben si on comprend un mot sur douze ! Atterrissez, le client et son avocat doivent parler la même langue, pour qu’en tant que représentant de son client devant la justice, le juge comprenne aussi l’histoire du prévenu ! C’est logique... quoi !
Mépriser quelqu’un qui cherche à nous aider c’est comme être en colère contre celui qui nous donne de si belles et grandes choses, en l’occurrence les leçons de Me Viguier, qu’il est impossible de lui rendre la mesure. Ça fout en rogne comme un gosse qui peut pas prendre tout ce que ses parents lui filent, qu’a juste à prendre et dire merci. Ce gosse prétencieux qui veux rendre avant que d’avoir pris et dit merci. Le genre de gamin qui se paralyse, bascule dans la dépression parce qu’il se sent tout vide dans le reproche au lieu de prendre, remercier et donner quand il sera grand. Le gosse qui se crée des dettes de remerciements liées au fait de son sentiment de culpabilité, dont son gamin héritera dans une gymnastique systémique. C’est mieux de se dire merci pour tout ce qu’on a pris avant de se séparer. Ca rend triste en l’espèce pour une continuité.