Mon cher Éric,
Puisqu’il est désormais de notoriété publique que nous échange(i)ons, reçois cette interview où tu pourras juger de mes positions et prendre quelques idées (tu peux, je n’en manque pas) :
Chez Ardisson, c’est toi qui t’es le moins mal tenu, comparé à la dinde psychologisante Polony, qui a sans doute très peur qu’on sache que son ex, Stéphane Blet, pianiste de renommée mondiale et judéophobe assumé, est un de mes auteurs et camarades, avec qui elle est toujours très liée... Souverainiste polonaise... On ne me fera pas croire qu’il n’en reste pas quelque chose !
Revoir le passage sur Alain Soral dans Les Terriens du dimanche ! du 16 septembre 2018 :
Ta bonne tenue est d’ailleurs stratégique – car toi aussi tu es très intelligent – et tu sais très bien que mon public ne se limite pas aux banlieues. Banlieues qui sont à mille lieux de ces complexités et qui achètent peu de livres, et encore moins des livres sur la trahison de Vatican II ou l’économie du IIIe Reich !
Mon public, et tu le sais fort bien, c’est celui que tu courtises, celui des patriotes... d’où l’obligation de maintenir une certaine parenté, une certaine fraternité avec moi...
Ce qu’un Goldnadel est bien trop lourd pour comprendre, avec ses gros sabots likoudziks, lui qui a passé des mois en 2002 à essayer de me recruter...
Mais les patriotes intelligents ont parfaitement conscience de la hiérarchie de nos malheurs, avec le juif toujours au-dessus de l’Arabe...
Ces patriotes intelligents ont parfaitement conscience aussi, qu’en tant que Gaulois de souche, catholique, je suis plus légitime que toi.
Telle est la loi de l’histoire et du sang, et même avec la très longue cuillère des médias, c’est comme ça !
Sans rancune donc, et à la prochaine.