« Je propose que Dieudonné aille plus loin , je ne suis ni pour l’interdire ni même pour qu’on lui fasse un procès pour sa piteuse performance.
Moi je crois qu il devrait faire le Stade de France et aller beaucoup plus loin dans la provocation.
Par exemple il pourrait mimer un esclave noir qui serait sodomisé par un membre du Ku Klux Klan et je crois que vous êtes tout désigné en tant que représentant des gaulois revendiqués pour le représenter. »
« Et vos amis ou les amis du GUD et de l’extrême droite pourraient mettre le feu au Stade de France au nom de la lutte contre l’homosexualité interaciale. »
Opinion de leader dans la France du XXIe siècle.
Je me questionnais sur tant de choses se rapportant aux humains sans en trouver les réponses, que je me suis aventuré à demander aux animaux de bien vouloir m’aider dans ma quête de savoir.
Ainsi, un jour croisant une gore, debout, droite, me fixant de ses petits yeux comme on évalue l’étrange, je lui demande sans cérémonie.
Pourquoi l’homme nomme-t-il ton petit cochon et, que beaucoup s’interdisent-ils de n’en point manger de vous ?
Ah ! Me dit-elle en me toisant.
Mouton, tes bergers ne t’ont donc point éduqué, aussi tu ignorais qu’à cette vilaine vue de moi que te donnaient tes yeux, qu’à cette pestilence qu’est soumis ton nez, c’est à la volonté de mes dieux que s’écartelait ton âme, à moi, la Truie !
Jamais, tu n’as bu de mon lait ! Car, seul aux miens il profitait !
Sache, qu’en réalité, j’étais plus soigneuse que ne savait le croire vilains et gentils, figés qu’ils étaient par Hypnos.
À tous leurs martyrs mon corps était livré, bonne en tous j’étais, et, mon ténia armé plus facilement s’infiltrait.
À ma mort, je m’élève, jusqu’au port, de Tanathos.
Ma foi, lui dis-je, les êtres sans sel conjuguent au passé, il faut croire tabernacle prison du Verbe.
Dieudonné... va ! Jura-t-elle.
Vois, comme il est Charitable, alors ?
Dis-je en partant.
De retour parmi les miens, un homme me demanda.
Alors, en sais-tu plus ?
Si peu ! Lui dis-je.
Quoi de nouveau, dit-il ?
Ne doute pas de Dieu ni de sa puissance, lui répondis-je, car faire coexister pacifiquement au même endroit les plus fins charcutiers et des porcs qui ignorent qu’ils en sont, est la mesure à laquelle nous commande le Tout Puissant, qu’à chacun soit sa place et que le respect de tous aille à chacune d’elles !
P.S
Caro, est un fondement intello !
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