DE L’AUTOMORPHISME PSYCHOBIOLOGIQUE COMME INCAPACITÉ GÉNÉTIQUE À ACCÉDER À L’UNIVERSALISME MORAL
L’automorphisme c’est une disposition psychologique qui consiste à prêter aux autres la forme de soi-même, c’est-à-dire ses attributs personnels, d’ordre physique et surtout moral.
C’est en raison de son automorphisme qu’un sujet loyal peut faire confiance trop aisément à la parole d’un escroc ou qu’un sujet pacifique peut devenir la victime d’un agresseur qui fait le bon apôtre.
Otto Weininger est un des rares à avoir fait le lien entre la femme, le juif et l’incapacité à accéder à l’universalisme moral dans Sexe et Caractère.
La morale renvoie à l’esprit, l’esprit renvoie à la psychologie, la psychologie renvoie à la psychobiologie et la psychobiologie renvoie au sang.
Il apparaît alors évident que la morale est une question génétique.
L’homme est XY, soit à la fois un homme et une femme.
La femme n’est que XX...
Donc un homme ne peut être naturellement misogyne dans une projection automorphique puisqu’il est génétiquement une demi-femme (XY).
Mais une femme peut tout à fait être naturellement misandrique par automorphisme (XX)...
D’où la Sainte-Marie, mère de Jésus...
Car lorsqu’une femme porte dans son ventre un garçon pendant neuf mois, elle a accès à la connaissance complète du saint-esprit car le Y de son fils parcourt son sang.
Qu’est-ce que le juif sur le plan génétique ?
Le peuple juif a trois foyers :
le pays Basque (Séfarades)
le Caucase (Ashkénazes)
la Palestine (foyer originel)
Or ces trois foyers coïncident avec les trois plus importantes concentrations de rhésus négatifs sur Terre.
Le juif est de rhésus négatif.
Jésus était de rhésus +-.
Les Basques se comportaient comme les rois de sang bleu (les bébés de rhésus négatifs sont bleus à la naissance).
Les parents privilégient l’aîné, que ce soit une fille ou un garçon (= parité), et ils vivent ensuite avec le couple qu’il formera dans une relation à tendance incestueuse.
Pas d’universalisme moral égalitaire pour la fratrie qu’incarne leur descendance...
Salim Laïbi parle souvent de "dégénérés".
La délétion (symbole : Δ. Tout un symbole !) est une mutation caractérisée par la perte de matériel génétique sur un chromosome.
Bref !
L’homme (XY) de rhésus positif est universel car il porte en lui la femme (X) et le juif de rhésus négatif.
Mais pas l’inverse...
Il ne faut pas pour autant les brûler comme disait l’autre...
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