Egalité et Réconciliation
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Kleinkariert !

L’immonde Cohn pédomane, Bandit dont j’avais tracé ici même un portrait exhaustif, vient une fois encore de se livrer à un exercice de bien-pensance ultra, travestie comme de bien entendu en rébellion contre les préjugés.

Dans le quotidien suisse Le Temps, il a pris le temps de bafouer les suisses en exigeant que "les plus riches des pays musulmans retirent leur argent des banques suisses", la fameuse "interdiction des minarets" lui faisant tirer grise sa grasse mine à raie.

"La plus formidable des ripostes serait que les plus riches des pays musulmans retirent leur argent des banques suisses. Vider les caisses de la Confédération : voilà ce qu’il faudrait !", a déclaré le Vert de gris au quotidien genevois.

Ce qu’il faudrait plutôt, la plus formidable des ripostes des peuples européens serait de se défaire de cette humiliante dépendance à l’énergie fossile, archaïque et scientifiquement dépassée du pétrole, arbitrairement maintenue pour les seuls profits des multinationales qui nous tiennent dans leurs tenailles de fer.

De la sorte, cette richesse choquante des gorets saoudiens tomberait, laissant voir à nue son origine totalement parasitaire et artificielle.

L’outre pleine de Danone voudrait en outre que les petits Suisses retournassent urner pour lever la patte sur leur décision abominable, d’intolérence et d’exclusion intestinale.

Ca devient vraiment une idée fixe, cette manie d’aller faire revoter les gens jusqu’à ce qu’ils acquiescent aux desiderara de l’oligarchie.

Il a éructé : "la priorité de l’élite politique suisse hostile à cette votation doit être de remobiliser la population en vue d’un nouveau référendum. Pour revoter et effacer cette tache".

La tache ce serait plutôt lui, et une tâche utile serait de se débarrasser de ce cochon.

Qu’il ne se trouve pas dans toute l’Europe, quelque louchébèm inspiré pour faire du boudin des tripes de pareil goret, voila qui me sidère.

Peut-on imaginer plus profond mépris, digne de celui des perruques envers la roture.

Mais enfin les ci-devant nobles avaient l’excuse historique de vivre différemment, de n’avoir de contact avec la gueusaille que pour la bafouer, ne se mélangeant jamais avec les bourgeois bélitres ni avec les serfs sur leur glèbe, ne se servant par intermittence des cuisses des femelles des uns et de l’argent des autres, pour satisfaire son bon plaisir.

Cependant que ce triste sire, qui l’a fait roi ? La république et de la démocratie ! République française bonne fille, qui émancipa les juifs, démocratie française qui ouvrit ses cuisses universitaires aux descendant de la gueusaille en sabots, Sorbonne qui permit aux moindres de s’enorgueillir d’une vague fumée de culture, ce petit parvenu doit tout à France, d’être en vie d’abord, et prospère ensuite.

Rien de plus normal me dira-t-on (laveur), qu’un pareil orgueil aristocratique, anachronique et ridicule, sous le règne du Rastapopoulos du Balaton qui se pavane sous les ors republicains et les portraits de Mazarin et de Bonaparte ! (N’est ce pas mon cher Goupil ?)

Ce juif de la Bourse méprise les Allemands avec un culot répugnant. Cheise !

Ce commis allemand de la Deutsche Bundesbank méprise les français avec l’arrogance des laquais. Merde !

Cette pute député de l’union dite "européenne" par antiphrase, méprise tous les peuples européens.

Combien y a-t-il de minarets en Israël ?

Combien de clochers en Arabie Saoudite ?

Et, comme à chaque fois qu’il ouvre son grouin pour roter quelque chose, il a accommodé son peu ragoutant ragout bien-pensant, cent fois dégluti, cent fois revomi, d’une sauce pimentée d’un gauchisme convenu.

Thiers déguisé en Vallés, monsieur Prud’homme se faisant Hugo, il a vitupéré :"Le problème helvétique, c’est cet égoïsme des riches" ! Parce que bien sur ! seuls les banquiers suisses ont votés !

Et inexorablement, sempiternellement, inépuisablement, il ajouta : "La Suisse nous a habitué à ce genre d’attitude. Je pense évidemment à la Seconde guerre mondiale." Non ? Sans blague !

L’épouvantail pour les tête d’oiseaux, l’ogre imaginaire pour dissimuler l’ombre réelle.

Après s’être réclamé des riches parmi les riches, les émirs saoudiens et autres, ce commis anarcho-bancaire, va maintenant fustiger l’égoïsme des soi-disant riches !

Qui sont les riches pour cet ami des banquiers, ce partouzeur patenté de la Jet Set ?

Les gens modestes, propres, les petites gens, mais qui s’acharnent à vouloir vivre autrement que comme des chiens, des chacals et des hyènes.

Parce que la domination de la pègre, 100% parasite, que représente ce monsieur, ça ne colle pas avec des peuples prospères et décents. Sa tâche prioritaire c’est d’en finir avec ces peuples européens dont l’organisation traditionnelle est contradictoire avec son règne.

Les riches dans leur auges et les misérables dans des pouilleries, tel est l’idéal de la Domination présente, dont la Palestine occupée donne l’image la plus achevée, la plus aboutie.

Que veut l’Oligarchie que sert Cohn Bendit ?

Organiser partout la misère et la décomposition, remplacer l’industrie par des activités parasitaires :
- l’économie de la drogue qui possède ce double avantage de rapporter plus de 1000 milliards de dollars par an et de liquider des millions d’êtres humains.
- le marché de la traite des blanches, qui en brasse tout autant.
- les secteurs dits de « services », viviers de la gynécocratie, qui produisent et vendent de la merde et du vent.

Et pour faciliter le tout :
- la production des divers narcotiques religieux. Dans ce dernier élèment nous apercevons aussi une raison de la colère des nantis pour qui, ce vote helvète-underground, représente un vrai pépin.

Félix Niesche - E&R