Et c’est reparti pour un tour, un tour de piste du cirque antifa, comme en 2002, les antissionistes racisé.e.s woke et les sionistes étudiants Juifs, quand ils se mettent en mode SOS, enfin réconciliés !
Dans ces bacchanales de la fausse révolte, il y a, paraît-il, des zanarchistes !
J’aimerais bien en rencontrer. Je me demande quelle race d’homme ce peut être.
Qui sent un peu la naphtaline,
Que ce soit chez le père Proudhon,
Et même aussi chez Bakounine,
N’est plus porté que par des fafs
Qui au moins ne sont pas du PAF.
Joué par les petits morpions,
Il suffit pour lui damner le pion
De songer à la Vieille Anarchie,
Qui portait dessous ses haillons
Le Soleil noir de sa passion
Pour la cause des misérables
Que l’on pense à Vaillant, Émile Henry, Ravachol ou Caserio !
C’était une totalité d’être, une passion de révolte, sans les trivialités vulgaires de la comédie politique bourgeoise.
Alors que ces fils de prof, ces guignols comédiens, associatifs, sportifs, ces petits clowns du spectacle de la démocratie bourgeoise tiennent à l’ordre établi, tout autant qu’un Macron, tout autant qu’un nanti...
Ordre inique et inepte dont ils défendent l’ineptie, et l’iniquité dans les mœurs, mais pas dans le partage des miettes, il en reste trop encore pour les descendants des Gueules noires et des enfants de huit ans dans les mines. Mais il n’y en pas assez pour les gueules noires et les amateurs d’enfants.
Ordre inique et inepte qui seul leur permet d’être, sans lui ils retourneraient au Néant qui fait le fond de leur conscience.
« Pas une voix pour Marine Le Pen », clama, par trois fois comme Pierre, leur Bouffon en chef, ex-sénateur qui fut ministre, sous le gouvernement du Jospin qui avait rétabli le travail en apprentissage pour des enfants de moins de seize ans, et le travail de nuit pour les femmes dans l’industrie.