Clio est une ironiste. Qui dit toujours la vérité.
Plus exactement, elle trahit le mensonge légal en nommant cyniquement les évènements par d’apparentes antiphrases qui révèlent le fond caché, la signification véritable des choses.
Le chemin des Dames.
Que cette hécatombe de mâles français et allemands dans son plus célèbre théâtre des opérations, se perpétua au lieu dit Le chemin des Dames, pourrait paraître simplement une poétique ironie du destin.
Un peu court.
Cette guerre infâme fut bien le chemin des femmes qui allait déboucher dans la riante clairière de leur émancipation et du repeuplement de la France par des africains.
Ce qu’il y a d’affreux dans la guerre c’est que les femmes ne s’y font pas tuer disait à peu près Montherlant.
Le Vieux continent fut mis à feu et à sang, la fine fleur de la jeunesse masculine d’Europe hachée comme chair à canon par des combinards, des galonnards incapables, des lâches et les "usiniers"embusqués de l’arrière, ces grands consommateurs de femmes.
Au chemin des Dames par exemple l’offensive du boucher-génèral Nivelle fit 281 000 morts, blessés et disparus, en fait 90% de perte, en seulement quarante jours.
Quand les massacres cesseront on dénombrera HUIT MILLIONS de morts et VINGT MILLIONS de mutilés.
Ah, la bourgeoisie française a réglé son vieux compte historique avec les ouvriers, les paysans, ce vieux peuple révolutionnaire qui en 1793, 1848, 1871, a tenté de lui ravir son pouvoir. Par la même occasion avec les fils des vieilles familles catholiques de la ci-devant noblesse de France.
France qui fut là, mortellement blessée.
Le peuple véritable, celui compris entre les combinards d’en haut qui le mènent, et la racaille d’en bas qui le poignarde dans le dos, connut une telle saignée qu’il ne s’en releva jamais.
Cette boucherie, carnage, dont aucun mot si fort soit-il, ne rendra vraiment compte de sa catastrophique signification historique et métaphysique ouvrit sur une époque inédite et une humanité nouvelle.
Le centre de gravité de l’Histoire se déplaçait irrémédiablement.
Le vingtième siècle pouvait commencer.
L’installation définitive d’un capitalisme qui fondera son assise sur la pourriture même, qui, par les profits de guerre plantera ses fondations dans les charniers, le triomphe de la finance et le règne du Maître de la Finance, il fallait qu’il s’assortit d’un peuple d’un type nouveau.
Les peuples sédentaires et enracinés étant les plus insoumis, la masse braillarde et déracinée, sa physionomie cosmopolite et femelle trouvera enfin à notre époque son caractère achevé.
Deux espèces, tenues jusque là sous un joug patriarcal, et qui n’auraient jamais pu s’émanciper, du fait de leur prétendue infériorité ontologique, par ce "chemin des dames", comme un remugle de caveau ouvert, remontèrent des bas fonds vers la surface et d’asservies devinrent dominantes.
Et de nos jours ces deux là, si bien assorties, si bien faites pour s’entendre, se sont enfin trouvées.
Et cabriolent et se dandinent langoureusement au son des tam-tam sur la tombe du Soldat Inconnu.
Féminisation et nomadisme telles seront les deux mamelles d’où coulera le lait suave de la libération et de la "diversité".
Tels furent, à vue d’aigle, les heureux résultats de la Grande Guerre.
La grande épilation, le grand maillot, l’éradication de nos Poilus afin que le String, put enfin, majestueusement planté sur leur sépulture en ruine, claquer au vent de l’avenir comme un étendard.
Félix Niesche
Source : http://petitimmonde.blogspot.com
Plus exactement, elle trahit le mensonge légal en nommant cyniquement les évènements par d’apparentes antiphrases qui révèlent le fond caché, la signification véritable des choses.
Le chemin des Dames.
Que cette hécatombe de mâles français et allemands dans son plus célèbre théâtre des opérations, se perpétua au lieu dit Le chemin des Dames, pourrait paraître simplement une poétique ironie du destin.
Un peu court.
Cette guerre infâme fut bien le chemin des femmes qui allait déboucher dans la riante clairière de leur émancipation et du repeuplement de la France par des africains.
Ce qu’il y a d’affreux dans la guerre c’est que les femmes ne s’y font pas tuer disait à peu près Montherlant.
Le Vieux continent fut mis à feu et à sang, la fine fleur de la jeunesse masculine d’Europe hachée comme chair à canon par des combinards, des galonnards incapables, des lâches et les "usiniers"embusqués de l’arrière, ces grands consommateurs de femmes.
Au chemin des Dames par exemple l’offensive du boucher-génèral Nivelle fit 281 000 morts, blessés et disparus, en fait 90% de perte, en seulement quarante jours.
Quand les massacres cesseront on dénombrera HUIT MILLIONS de morts et VINGT MILLIONS de mutilés.
Ah, la bourgeoisie française a réglé son vieux compte historique avec les ouvriers, les paysans, ce vieux peuple révolutionnaire qui en 1793, 1848, 1871, a tenté de lui ravir son pouvoir. Par la même occasion avec les fils des vieilles familles catholiques de la ci-devant noblesse de France.
France qui fut là, mortellement blessée.
Le peuple véritable, celui compris entre les combinards d’en haut qui le mènent, et la racaille d’en bas qui le poignarde dans le dos, connut une telle saignée qu’il ne s’en releva jamais.
Cette boucherie, carnage, dont aucun mot si fort soit-il, ne rendra vraiment compte de sa catastrophique signification historique et métaphysique ouvrit sur une époque inédite et une humanité nouvelle.
Le centre de gravité de l’Histoire se déplaçait irrémédiablement.
Le vingtième siècle pouvait commencer.
L’installation définitive d’un capitalisme qui fondera son assise sur la pourriture même, qui, par les profits de guerre plantera ses fondations dans les charniers, le triomphe de la finance et le règne du Maître de la Finance, il fallait qu’il s’assortit d’un peuple d’un type nouveau.
Les peuples sédentaires et enracinés étant les plus insoumis, la masse braillarde et déracinée, sa physionomie cosmopolite et femelle trouvera enfin à notre époque son caractère achevé.
Deux espèces, tenues jusque là sous un joug patriarcal, et qui n’auraient jamais pu s’émanciper, du fait de leur prétendue infériorité ontologique, par ce "chemin des dames", comme un remugle de caveau ouvert, remontèrent des bas fonds vers la surface et d’asservies devinrent dominantes.
Et de nos jours ces deux là, si bien assorties, si bien faites pour s’entendre, se sont enfin trouvées.
Et cabriolent et se dandinent langoureusement au son des tam-tam sur la tombe du Soldat Inconnu.
Féminisation et nomadisme telles seront les deux mamelles d’où coulera le lait suave de la libération et de la "diversité".
Tels furent, à vue d’aigle, les heureux résultats de la Grande Guerre.
La grande épilation, le grand maillot, l’éradication de nos Poilus afin que le String, put enfin, majestueusement planté sur leur sépulture en ruine, claquer au vent de l’avenir comme un étendard.
Félix Niesche
Source : http://petitimmonde.blogspot.com