« Il n’existe que trois êtres respectables : le prêtre, le guerrier, le poète. Savoir, tuer, créer. » (Baudelaire)
Réponse à l’appel de mille militaires
Aux généraux qui ont pondu
L’Appel d’Émile Militaire !
Vers « Davos, le Crif et les autres Fratries »
Plutôt que vers les affidés de l’Alcoran
Et autres abrutis délirants.
Que vous transbahutâtes en Libye
Pour y lyncher du Kadhafi ?
Allah Oukebar et téléphone mobile !
Et des trafiquants d’organes
Au cours des tueries otanes
Cette indicible vilenie !
Avoir le nasal consciencieusement épilé
Et n’être qu’un pourvoyeur de cadavres empilés
Au Bataclan, comme à Raqqa !
On peut être Saint-Cyrien et anti-Syrien, y a qu’à
Laisser la racaille faire du bon boulot
Au Bataclan comme à Raqqa
On peut être le garant de l’Ordre et un salaud
En laissant foutre un tel bataclan
Qu’il faille un État d’urgence pour le rétablir
Puis une terreur sanitaire pour le tenir.
De par notre « Appartenance à l’OTAN
Et notre souveraineté perdue » !
Autant en rapporte l’OTAN
À la Caste ivre de vin d’honneur perdu.
Puisqu’il est de notoriété
Qu’on y recrute les damoiselles
Y apportant leurs mamelles
Leurs gros derrières et leurs menstrues
N’est-ce point là choses congrues ?
Iront-elles en Opé, pisser à croupetons
N’est-ce point du dernier ridicule ?
Reviens parmi nous qu’on t’enfile
L’uniforme avec matricule.
Mais qui décide des couvre-feux,
N’est ce point ce Comité de défense
Ce vrai pouvoir de boutefeux ?
Ne se voit pas davantage
C’est parce que l’esclavage
Est bougrement volontaire.
Merci au contre-amiral, au vice-amiral
De sauver l’Honneur mis à mal
Aux colonels-Air, aux colonels-Terre,
De sauver l’honneur séculaire.
Soyez le dernier secours
De cette France moribonde
Nous autres, en jaune, on accourt !