C’est un Jour en France sous le signe de la distinction et de l’élégance ce mardi 21 novembre 2017. Pas besoin d’être un observateur politique du niveau d’Alain Duhamel pour noter l’accélération de l’Histoire actuelle. Des conflits naissent, explosent et se résorbent un peu partout, à peine a-t-on refermé le dossier Weinstein que le dossier Haziza s’ouvre... On ne sait plus où donner de la tête, la gauche est en train de se faire péter avec une ceinture de concepts foireux, et il y a des bouts de chair partout sur les murs. La femme de ménage subsaharienne n’a même pas le temps de finir un mur qu’une autre explosion a lieu.

L’explication globale est simple, et les simples d’esprits sont invités à sauter ce paragraphe. Les concepts de gauche, qu’on rappelle rapidos, le féminisme, le sionisme, l’égalitarisme, l’immigrationisme, l’homosexualisme, l’antiracisme, l’antifascisme, tout ça mis ensemble finit par péter parce que ce sont des associations instables, comme on le dit d’un mélange dangereux en chimie. Il suffit d’une agitation – moléculaire ou sociale – ou d’une augmentation de température pour que le corps en question parte en sucette. C’est ce qui se passe objectivement chez les représentants de la gauche française.
On va pas revenir éternellement sur les cas Plenel, Charlie et compagnie qui tordent la vérité du matin au soir, mais on va consacrer un petit paragraphe à Valls, car Le Monde lui a ouvert ses colonnes, alors que le gugusse est en très nette dérive mentale. Mais quand on a été dirigé par Pierre Bergé, tout est possible, y a plus de limites morales, on peut même consacrer une page au Liberman français !

Ferme ta gueule

« Pour la laïcité, pour la France, pour “Charlie”, je ne me tairai jamais »

Ça commence bien. Tout le monde lui demande gentiment, la main posée sur l’épaule, de se taire, de redescendre, mais le mec ne comprend pas, il pense qu’il faut gueuler encore plus fort, et ça c’est un signe de folie. Les psychiatres vous le diront, le petit Catalan devenu « nettoyeur » pour le CRIF est atteint du syndrome de folitude, ce mélange de folie et de solitude, une barque qui a largué les amarres et qui part à la dérive. Un radeau de la Méduse à lui tout seul.

« Mon combat

Car le cœur du débat est bien là. Lorsque l’on m’accusait déjà de “polémiquer”, je disais les mots et je ne me trompais pas, ni sur la montée de ce nouvel antisémitisme né dans nos quartiers populaires et trop souvent sous-estimé, ni sur le combat contre Dieudonné, ni sur la progression de l’islamisme et le danger que cela représentait pour notre société. J’ai dénoncé depuis des années la duplicité de Tariq Ramadan, sa proximité avec les Frères musulmans, son influence dans nos banlieues.

J’en gêne certains, mais c’est mon devoir, en tant qu’élu de la République, avec mon expérience de premier [majuscule, NDLR] ministre et de ministre de l’intérieur [majuscule bordel, NDLR], de faire porter ma voix, comme je l’ai toujours fait. Mon discours dérange ceux qui, finalement, n’ont pas le courage de s’attaquer au fond du problème, et c’est tant mieux. J’ai fait de la laïcité un combat, mon combat, le combat de ma vie. Pour cela, pour la France, pour Charlie [italiques, mais c’est quoi ces correcteurs ? NDLR], je ne me tairai jamais. »

Mon combat... On aura tout entendu ! Valls c’est le Führer du sionisme français, un Avigdor Liberman au petit pied et à la main tremblote, un prêcheur de haine qui va finir par se consumer avec son propre poison. Les enfants, n’y touchez pas ! Laissez-le éructer mais éloignez-vous, cet homme est fou !

Touche à ton cul

Heureusement, il y a moins fou que Valls dans le genre : Raphaël Enthoven, le philosophe de France 5 et d’Europe 1. Oui, ça fait bizarre mais c’est comme ça. Et ce philosophe, qui devrait enseigner quelque chose comme la compréhension et le respect des croyances, vient de toucher un fil électrique. Il a réinterprété un passage de Notre Père, ce texte aussi simple que génial inventé par Le Christ, en prière contre l’islam. Voilà qui va conforter les tenants du conflit triangulé entre chrétiens et musulmans orchestré par les juifs et auquel nous ne pouvons croire !

Cette tentative de manipulation n’a pas l’air de remuer Patrick Liste Noire qui, il est vrai, doit plutôt penser à ses audiences en baisse. Bah, de toute façon, le blasphème contre les deux principales religions est quotidien, dans les médias.

Bouffe ta merde

La troisième partie de notre étude des pseudo-concepts qui rendent l’idéologie de gauche instable sera consacrée à Nathalie Dompnier. Qui ça ? Nathalie qui ? Dompnier.
Qui écrit des messages officiels en écriture inclusive, que Blanquer a pourtant foutue à la poubelle. Domp’ est la présidente bien comme il faut de l’université de Lyon 2, dite Lumière. Elle se situe principalement à Bron, une banlieue pauvre de Lyon. Et cette fac, consacrée aux Sciences humaines, a fait vœu de pauvreté, voire de misère, matérielle et intellectuelle. Locaux pourris, look futuriste déglingos des années 70, on dirait une cité de transit habitée par des jeunes sous Tranxène. Cela doit être pour ça que le gauchisme y fleurit à la manière du saturnisme dans les HLM humides. On ne connaît pas encore de remède au gauchisme, à part son autodestruction.

« Beaucoup d’entre nous ont assisté à l’expulsion violente de ces personnes vers la Part-Dieu le vendredi 10 novembre. Ça a provoqué des réactions et amené de la motivation pour agir en faveur de ces gens qui dorment dans les rues » (Emma, étudiante en master de Welcome Refugees )

On en vient au fait : un paquet de migrants venus de l’Est, c’est-à-dire du Moyen Âge, s’est fait virer d’un terrain vague derrière la gare de la Part-Dieu. L’opération des SS français a provoqué une « émotion » chez les étudiants qui foutent rien et ces derniers ont décidé de reloger une cinquantaine de ces croquants dans l’amphithéâtre de leur fac. De toute façon, comme les Socio et les Psycho ne branlent pas grand-chose, amphi ou pas amphi, c’est kif kif bourricot.

Les migrants vont ainsi bénéficier de cours de psycho de haut niveau

C’est alors que la Domp’ a sorti une lettre alambiquée dans laquelle, en écriture inclusive attention, elle expose toute sa générosité de présidente de fac avant-dernière au classement mondial.

« En premier lieu, il est de la responsabilité de l’établissement que l’accueil provisoire dans nos locaux se déroule dans des conditions satisfaisantes d’hébergement, d’hygiène et de sécurité. Aussi nous attachons-nous à trouver les réponses les plus appropriées pour proposer un accueil décent tout en préservant nos activités d’enseignement et de recherche et les conditions de leur réalisation. En second lieu, nous en appelons à votre soutien individuel et collectif pour répondre de manière solidaire à cette situation et pour faire en sorte qu’elle se passe dans les meilleures conditions pour tou.tes. »

Traduction en français non inclusif : « On s’est fait entuber par nos principes à la con, bon maintenant faut faire avec, qu’est-ce qu’on va foutre de ces parasites qu’on a arrachés aux griffes de la police, en même temps notre université sert à rien, elle forme que des chômeurs bardés de diplômes surgonflés, donc je m’en tape, ça peut durer des années, débrouillez-vous, après tout, c’est votre merde. »

Anecdote hautement parlante : la formation de haut niveau est plombée par l’injection de sous-développés culturels. Quant aux étudiants qui participent à leur propre suicide social... c’est à l’image de toute la gauche sociétale. La gauche sociale, c’est autre chose, elle est anti-impérialiste plutôt qu’antiraciste !

Moralité

Ferme ta gueule, Touche à ton cul et Bouffe ta merde signent l’échec définitif d’une gauche qui aura tenu culturellement 50 ans.