Tous les mêmes !
Candidat lui aussi à la primaire de droite, François Fillon a déclaré, en réponse aux propositions d’Alain Juppé,
je cite, que mettre un peu de gauche dans la droite, ça ne marche pas, et que ça s’appelle la « drauche ».
C’est pas faux.
En tout cas, une chose est sûre, Emmanuel Macron, lui, a démontré à 100 %
que mettre beaucoup de droite dans la gauche, ça ne marche absolument pas.
Et s’il fallait donner un nom à ce second alliage, cette façon qu’affectionne « l’homme qui a épousé sa mère » (surnom que lui a trouvé Patrice Alègre, notre spécialiste attitré de Sigmund Freud et son complexe d’Œdipe) d’appliquer bien profond dans le cul des ouvriers, les préceptes économiques de la Banque Rothschild, j’appellerais cela la « goiche ». C’est ça, rapport à la gouache : la peinture à l’eau mélangée à de la gomme.
En effet, outre cette sonorité éponyme, la gauche et la droite françaises ont, comme la gouache, pour caractéristique essentielle, d’être d’une consistance opaque. Et c’est à ce point marquée chez l’un et l’autre de ces deux ensembles, que la gauche et la droite françaises sont selon moi la définition même de l’équipotence.
Ah si ! S’il est bien deux ensembles entre lesquels on peut construire une bijection parfaite, c’est bien la droite et la gauche françaises. En tout cas, ce n’est pas le Petit Robert qui me contredira :
« Bijection, application bijective : application à la fois injective et surjective, qui établit entre les éléments de deux ensembles, une correspondance telle, que tout élément de l’un a un correspondant dans l’autre. »
Voici, à cet égard, quelques exemples qui illustrent mon propos :
Manuel Valls et Nicolas Sarkozy – Michel Sapin et Alain Juppé – Myriam El Khomri et Rachida Dati – Lionel Jospin et Dominique de Villepin – Harlem Désir et Éric Ciotti – Christiane Taubira et Rama Yade – Bertrand Delanoé et Jean-Claude Gaudin – Jérôme Cahuzac et Pierre Botton – et Anne Hidalgo et NKM.
Nos ancêtres les Gaulois
L’auteur de cette récente tirade politico-politicienne, vous le savez, c’est Nicolas Sarkozy.
Or, étant donné son véritable état civil, « Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa », cet Astérix revendiqué est
en vérité un Hongrois, exactement comme Manuel Valls est, a toujours été et restera toujours franquiste,
et éternellement lié à Israël (c’est lui qui l’a dit), « de par sa femme » ; qui elle au moins n’est pas sa mère.
Et ce qui est certain, c’est qu’au regard des sévices atroces et irréversibles qu’ils ont causés tous deux à la France, au nom de leur plein et entier, total adoubement au Nouvel Ordre mondial des Bildenberg, Rockfeller et Cie, Nicolas Sarkozy et Manuel Valls sont aussi français que le capitaine Alfred Dreyfus, lui, était antisémite.
Voilà. C’est la raison pour laquelle j’avais initialement préféré m’abstenir de la commenter, cette tirade.
Si j’ai changé d’avis [1], c’est à la demande expresse et insistante de mon ennemi intime au tennis : Sabri X.
Je tais ici son nom, c’est pour lui éviter des ennuis, en plus de ceux que sa bougnoulie congénitale lui a valus, dernièrement, de la part de l’administration pénitentiaire, pour bougnoulie aggravée ; ceci alors qu’il est, lui,
autant radicalisé, qu’il a été prouvé par A + B, qu’en fait, Amédie Coulibaly était un agent du Mossad ;
et ensuite parce qu’il en a sorti une bonne, en Commission, pour se défaire de cette fausse accusation :
« Mais enfin, diantre : ce sont là d’immondes et viles calomnies ! Il n’y a pas plus Gaulois que moi, que diable !
Dites, ça fait tellement longtemps, et c’est tellement systématique, que la police et la justice pensent à moi, chaque fois qu’elles en reçoivent une, que mon nom officiel, c’est Plaintecontrix. »
directeur adjoint de la publication d’E&R