535 millions d’euros, c’est une sacrée belle escroquerie.
Et croyez-moi : je m’y connais !
Ah ça, on peut dire qu’elle nous l’a enfoncé bien profond dans le cul, jusqu’à la garde, Christine.
Bon, c’est vrai, ils s’y sont mis à plusieurs, pour accomplir un tel exploit : elle est loin, très loin d’avoir agi seule, Sainte-Christine, sur ce coup.
Et surtout (c’est le sujet du jour), la véritable enculerie de l’histoire, est beaucoup, BEAUCOUP, plus grave, que la simple petite négligence qui a été reprochée à Christine Lagarde, et qui lui a valu, à Christine Lagarde, d’être condamnée par la La Cour de justice de la République, à...
Bin à rien, en fait, même pas à une simple amende, et c’est bien normal : Madame Christine Lagarde est un pion important des anglo-américano-sionistes, qui dirigent « le 4ème Reich » autoproclamé « Nouvel 0rdre mondial. »
C’est ça.
Les Rothschild, Rockefeller, Bilderberg et Cie, les terroristes de la haute finance, et autres grands fabricants d’armes, qui orchestrent les guerres et les crises économique, partout dans le monde, depuis plus de 100 ans, maintenant, puisque 14-18, déjà, c’était leur œuvre, en tout cas c’est eux qui sont intervenus, en 1916, pour que la boucherie perdure suffisamment longtemps pour pouvoir asseoir leur main mise sur l’économie et la politique mondiale, une main mise qui exigeait qu’elle soit menée à son terme, cette boucherie, alors qu’en 1916, les belligérants voulaient y mettre fin.
Ce qui a été reproché à Christine Lagarde, par la Cour de justice de la République, c’est simplement, le fait de ne pas avoir contesté, alors qu’elle aurait pu le faire, le jugement du Tribunal arbitral, qui a condamné le Crédit Lyonnais, nous, donc, les citoyens, à payer à Bernard Tapie, 535 millions d’euros, 485 millions de dommages et intérêts, plus 50 millions de préjudice moral.
D’après l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen, le texte qui est à la base de tout notre système juridique, en théorie, et même carrément à la base de l’entièreté de notre société, du fonctionnement, de notre société, toujours en théorie, hein, attention. D’après l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen :
« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. »
Ah c’est sûr, Christine Lagarde et Bernard Tapie, eux ils se le sont ont appliqué en suppositoire, l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen.
Non parce que rien que le principe de la Cour de justice de la République, déjà, c’est une application sodomite et sans vaseline, de l’égalité des droits, pour tous les citoyens, du principe constitutionnel d’une loi une et unique pour tous les citoyens, quelle que soit leur position dans la société, principe qui est posé par l’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen.
Bin si !
Le principe de la Cour de justice de la République, c’est quoi ?
Le principe de la Cour de justice de la République, c’est que les hommes politiques, eux, au lieu d’être jugés comme tous les autres citoyens, par un Tribunal normal, un Tribunal correctionnel composé par des magistrats professionnels, ou une Cour d’assises composée de citoyens tirés au sort sur les listes électorales, les hommes politiques, eux, ils sont jugés par des hommes politiques.
Des copains à eux, donc : c’est la fête !
Voilà. C’est exactement comme si les trafiquants de drogue ou les pédophiles, au lieu d’être jugés par des juges professionnels ou par un jury populaire, ils étaient jugés, et bien par d’autres trafiquants de drogue, ou d’autres enculeurs d’enfants.
Ah bin, là, c’est sûr, dans de telles conditions d’incorruptibilité, d’équité et d’égalité, le pourcentage de relaxes et d’acquittements prononcés par les Tribunaux correctionnels et par les Cours d’assises, ce pourcentage se rapprocherait très sensiblement, très « notablement », plutôt, j’ai envie de dire.
C’est Mitterrand qui a inventé ça, la Cour de justice de la République.
Bin vu toutes les méga enculeries qui ont été faites sous sa Présidence, à Mitterrand, il s’est dit, Tonton, qu’il fallait mieux, qu’il était plus prudent d’assurer ses arrières.
C’est pourquoi il a proposé, François Mitterrand, la réforme de la Constitution qui a institué la Cour de justice de la République, ça c’est pour les membres du gouvernement, le Premier ministre, les ministres et les secrétaires d’État, et aussi la Haute Cour de justice, ça c’est pour le président de la République, pour les crimes et délits commis par eux, dans l’exercice de leurs fonctions.
Oui, parce qu’ils savent pertinemment, tous, que la manière qu’ils ont d’exercer leurs fonctions, de membres du gouvernement, et de président de la République, ils commettent tous des crimes et des délits. Et bien sûr, les parlementaires, députés et sénateurs réunis en congrès à cette occasion, les parlementaires ont adopté cette réforme de la Constitution, quasiment à l’unanimité.
Bin oui, pardi ! Comme ce sont tous des enculés, des délinquants et des criminels professionnels, ils savent tous, les hommes politiques, qu’elle allait leur servir un jour, cette réforme.
Voilà. Et donc ils l’ont adoptée.
Et force est de constater qu’ils ont eu raison, en tout cas pour eux.
Ah je vous jure : quelle bande d’ordures ! Quelle bande d’escrocs, tous !
Mais, hé ! Ils ont raison !
Bin si ! Plus c’est officiel qu’ils nous enculent à sec, et plus il y a de connards qui vont encore voter, en lieu et place de se révolter, de dégager toute cette merde, toute cette racaille politico-politicienne, qui nous ment, qui nous exploite et qui nous trahit depuis 40 ans.
En outre, c’est même racaille politico-politicienne qui est 100 % responsable de tous les malheurs et injustices qu’il y a, dans le monde en général, et en France en particulier.
Non parce que, oui, non seulement, bien sûr, déjà, on n’a pas besoin de politiciens, mais en plus, et surtout, premièrement, sans politiciens, on économiserait 100 à 150 milliards par an, hein, si, vu que c’est ce qu’ils nous coûtent, tous, en moyenne, par an, ces parasites, en salaires et avantages, deuxièmement, on gagnerait le double ou le triple, voire le quadruple, niveau utilisation de l’argent public, car sans politiciens pas de dépenses pharaoniques pour rien, style achats d’armes, de produits pharmaceutiques et Cie, les vaccins à 600 millions d’euros, par exemple comme Roselyne Bachelot nous a fait avec la grippe asiatique, ou je ne sais plus quoi, et pire que tous, les acquisitions bidons à la Bourse, car là c’est un milliard d’euros minimum à chaque voyage, et toujours avec notre argent.
Oui, ça c’est ce qui nous coûte le plus cher, en fait, les acquisitions bidons qui sont faites à la Bourse pour le compte du gouvernement, ou qui sont cautionnées par la Caisse des dépôts et consignations.
Je vous en parlerai dans un prochaine édito. Je vous expliquerai vite fait comment ça marche.
Ah vous allez voir : ça troue le cul !
Non parce que, j’insiste, ce n’est pas en achetant 2 ou 3 rames de TGV, même flambant neuves, ou en vendant 2 kebabs à perte, que ça c’est fait, les deux mille cinq cent milliards de dette publique qu’ils nous ont filés sur le cul, sur 25 ou 30 générations.
Pour arriver à des sommes astronomiques pareilles, c’est à la Bourse qu’il faut taper.
Sans politiciens, donc premièrement, on gagnerait les 100 à 150 milliards qu’ils nous coûtent par an, tous ces parasites, avec les salaires pharaoniques qu’ils s’octroient, et les avantages pharamineux qu’ils s’accordent, et deuxièmement, on gagnerait les 3 à 4 cents milliards d’euros qu’ils détournent, chaque année, à la Bourse, avec leur petits copains de la haute finance.
Et tout ça, c’est de notre faute.
Bin si, putain ! Qu’on aille voter, comme les tarés qui y croient encore, ou qu’on n’y aille plus, voter, c’est pareil : on cautionne le système.
On cautionne le système, et dès lors on permet, on autorise, on habilite les politiciens à nous voler, à s’octroyer, donc, chaque année des salaires et avantages en nature, toujours plus pharaoniques et faramineux (avec un « F » cette fois : les deux orthographes sont autorisées), pendant que nous, on crève de faim. Et en plus on les habilite également à vider complètement les caisses de l’État, et à nous coller ainsi, chaque année, je ne sais pas combien de dizaines ou de centaines de milliards d’euros de dette publique supplémentaire par an.
Enfin, en cautionnant le système, c’est-à-dire en allant voter ou pas, au lieu de faire la Révolution, et de nous débarrasser par là, une bonne fois pour toutes, de toute cette racaille politico-politicienne, de ces délinquants et criminels professionnels, qu’ils sont tous sans exception, les politiciens, en faisant ça, on leur permet, à ces ordures, de nous envoyer tous crever à la guerre, tous les 20, 30, 40 ou 50 ans, selon les époques, comme ils ont fait depuis 1870, hein, puisque c’est à cette époque que leur est venue l’idée de la dictature mondiale qu’on subi aujourd’hui, le Nouvel Ordre mondial qu’ils ont mis commencé à mettre en place à compter de 1916, comme je vous l’ai raconté au début.
Oui, c’est 100 % à cause de nous, les abrutis, les connards de base, qui constituent la population, le peuple, qu’on vote ou qu’on ne vote pas, j’insiste : du moment qu’on ne se révolte pas c’est pareil.
C’est nous, le peuple, les abrutis qui écoutent les politiciens, c’est nous, en fait, qui sommes 100 % responsables de toutes les guerres qu’ils nous ont fait faire, les politiciens, depuis plus de 130 ans, bientôt, maintenant, et donc de tous les morts, les millions, centaines de millions de morts qu’elles ont causés, ces guerres, parmi les populations.
Voilà. Et pendant ce temps là, eux, les politiciens, ils se sont sucrés, gavés, goinfrés sur notre dos, et ils ont permis, aux patrons du Nouvel Ordre mondial de se construire des fortunes colossales, les fortunes hallucinatoires, qui font qu’aujourd’hui, les 67 hommes les plus riches du monde, possèdent plus d’argent que les 5 milliards de personnes les moins riches de la planète.
Ah ça, il avait raison, Pierre Desproges, quand il disait que, je cite :
La guerre est faite par des gens qui ne se connaissent pas, et qui s’entre-tuent, pour le compte de gens qui se connaissent, eux, mais qui ne s’entre-tuent pas.
Enculés, va !
directeur de la publication d’E&R