Le retour de la nature naturelle
Les Français qui sont désormais tous revenus de vacances – sauf quelques petits malins qui refusent le travail, mais bon, du travail y en a de moins en moins – ont par exemple fait du sport. Ils ont nagé, crapahuté, campé, bravé la chaleur et les sommets, les profondeurs et le froid. Les vacances sont le moment du re-contact avec la nature. On va la chercher, loin de sa conurbation (les villes qui se touchent), pour respirer un peu des poumons et des yeux. Car la vue, ça compte beaucoup dans le moral. Un 14e étage d’HLM à Créteil avec 300 jours de temps moyen ou pourri par an, c’est pas exactement la même chose que 300 jours de soleil à Manosque ou Aix, la ville la plus ensoleillée de France avec 2 942 heures par an. De l’autre côté de classement trônent – on a ôté les 3 départements alpins, un peu hors concours – les Côtes d’Armor, avec 1 000 heures de soleil par an, soit moins de 50 jours pleins ! Pourtant, le Finistère, c’est beau. Brut, mais beau.
Donc les Français vont chercher de la nature un peu moins trafiquée que les arbres plantés par Hidalgo à Paris en hommage aux victimes du Bataclan. En mer, on retrouve le vent, le sel, les courants, et le risque de noyade. En montagne, on trouve l’effort, les muscles qui brûlent, l’acide lactique, tout ça. Mais parfois, pas besoin de chercher la Nature, elle s’invite toute seule. Et c’est rarement pour nous faire du bien. L’ouragan Irma dévaste une à une les îles de la mer des Caraïbes. Saint-Barth’, où vont Johnny & Laetitia, est détruite à 95%.
- La villa de Johnny à Saint-Barth’ (avant Irma)
Tout sera à reconstruire, et on déplore une dizaine de morts après son passage, dans la nuit du 6 au 7 septembre 2017.
Quand on regarde les images, on a l’impression qu’une bombe atomique a presque tout soufflé, retourné, pilé. L’homme fabrique des bombes atomiques, mais la Nature en a de sacrées en réserve. Les vents ont soufflé jusqu’à 250-300km/h, des vitesses qu’on ne voit qu’au Pôle Sud, là où seuls trois gros pingouins et un léopard des mers arrivent à survivre.
Une immense scientifique – Maïtena Biraben – nous explique que c’est la faute au réchauffement. En plus, elle bosse avec Le Parisien, le journal qui n’a plus rien dans le buffet. Il y a 20 ans, ce canard qui renfermait encore une fibre sociale était incontournable dans une revue de presse. Aujourd’hui, il est à vendre et personne de sérieux n’en veut ni ne s’en sert. Sauf Maïtena.
Avec le réchauffement climatique, les ouragans comme #Irma seront de plus en plus intenses : peut-on encore limiter les dégâts ? #McommeM pic.twitter.com/GptKZfu6f1
— M comme Maïtena 〽️ (@McommeMaitena) 7 septembre 2017
Tant qu’on y est, pourquoi pas un FN co-responsable du réchauffement. Ça plairait à la dominance, ça.
Dégagée de Canal+ pour résultats relativement spectaculaires, Biraben fait partie de ces propagandistes culturellement et politiquement médiocres qui retrouvent toujours une place. Ce coup-ci, la voilà chez RMC, la radio du pays profond (israélien). Drahi continue à bâtir sa pyramide financière douteuse, et un jour tout ce pâté va s’effondrer, mais c’est pas grave, ce qui compte c’est aujourd’hui, et aujourd’hui Macron a besoin de ces médias mondialo-socialo-sionistes. On retrouve donc les mêmes à d’autres places : les Français ont beau les conspuer, les jeter, les zapper, ils reviennent toujours, comme des aimants pénibles ou des maladies vénériennes chroniques. De ce fait, il est impossible de renouveler le sang impur (car consanguin) de l’Élite.
Le retour de la nature humaine
Même pas encore dictateur, l'abject Mélenchon explique sur son blog que les journalistes qui le critiquent pourraient subir des violences : pic.twitter.com/DVnDhgfyYX
— Antoine (@Ant1Adam) 4 septembre 2017
Même Mélenchon, viré ou autoviré du PS, revient avec une gauche insoumise au libéralisme, mais en paroles, pas en actes. En provoquant du matin au soir la caste journalistique, il essaye de se faire passer pour un paria, mais il n’hérite pas du dixième des poursuites intentées et des violences dirigées contre Soral par le même Système.
Dans les retours pas vraiment gagnants pour le peuple, on a le triste sire Hollande. Qui veut continuer à être « utile ». Ah bon, il l’a été ? Sa seule utilité réelle serait d’aider à déblayer les débris d’Irma à Saint-Barth’. Son karma est tellement pourri que même en déblayant l’île à lui tout seul, il restera un fond de malaise.
#Hollande veut "continuer à être utile" à travers la fondation "La France s'engage". Un retour stratégique ? On en parle ! #GGRMC pic.twitter.com/uWUJv3l52c
— Les Grandes Gueules (@GG_RMC) 6 septembre 2017
Mais il y a pire qu’Hollande, plus vomi encore par le peuple, sauf dans sa circonscription, mais là, la justice tranchera : Manuel Valls, le larbin du lobby, l’agent de l’étranger qui nous promet des montagnes de sang. Une petite prophétie autoréalisatrice qui ne lui a pas réussi...
revoir | @ManuelValls : "Je pense que la voix républicaine, laïque, sociale, que j'incarne, sera utile" #le79inter pic.twitter.com/MsXH0r02kh
— France Inter (@franceinter) 29 août 2017
Pendant que ces deux zombies reviennent d’entre les morts de la Démocratie, les médias rampants s’acharnent sur la terrible « dictature » de la Corée du Nord. Étonnant, quand on voit leur leader et idole, Emmanuel Macron, le président d’une France qui étouffe élu sur un coup de bonneteau, se la jouer Kim :
Macron copie ma communication. On dirait moi quand je visite une école. pic.twitter.com/YpZHnj1Ub0
— Kim-Jong-Un (@KimJongUnique) 5 septembre 2017
Moins de 30% des Français le plébiscitent, mais c’est pas grave, parce que le boss, Jacques Attali, soutient que l’impopularité, c’est synonyme de performance :
#Rediff Jacques Attali : La popularité n'est pas un critère de jugement de l'action d'un président de la République https://t.co/gFYmZWRVrQ
— Le Figaro (@Le_Figaro) 29 août 2017
En gros, plus l’élite nous ment, nous vole et nous enfume, meilleur signe c’est.
Voilà, c’est toujours les mêmes, ils s’échangent les places, ils tournent juste un peu, c’est le manège démocratique, le mercato pour imbéciles qui prennent ça pour du renouvellement.
Quand CNews fait sa rentrée avec Elkabbach et Attali pour causer "futur"... #DéjàVu https://t.co/vvmOOPjA7b pic.twitter.com/Sdn9aNelub
— Marianne (@MarianneleMag) 28 août 2017
Ça va ? On vous dérange pas, en bas ? Parce que si on fait trop de bruit à l’étage du dessous, vous pourriez appeler les flics, pardon, les terroristes.
Eh oui, on n’est plus dans un État policier, mais terroriste. Les policiers ne sont plus assez obéissants, alors nos oligarques embauchent des précaires – qu’on appelle « islamistes » – pour que le peuple se tienne à carreau. C’est le libéralisme appliqué à la sécurité... de l’élite ! Quand on parle sécurité, toujours penser que ça s’applique à l’élite, jamais au peuple. Faut pas rêver non plus.
Moralité : le terrorisme, c’est quand le peuple commence à faire un peu trop de bruit au rez-de-chaussée, et que les bourgeois du premier lui administrent un « calmant » social... Un bon coup sur le museau de la Bête immonde !