Les touristes qui passaient à Paris rencontraient parfois des transsexuels, la plupart du temps danseurs ou prostitués. C’était place Clichy ou au bois de Boulogne. Aujourd’hui, « grâce » aux médias, on a l’impression qu’il y a 30 millions de trans en France. Remarquez, c’est peut-être le but de cette trans-campagne. Petit à petit, l’oiseau oligarchique fait son nid...
Le métal jaune est un poison mortel
Le procureur explique l’existence d’un conflit ancien. Une rancoeur existait entre Pascal et son beau-frère en raison d’un litige successoral. Hubert C. est persuadé que Pascal Troadec détenait des pièces d’or.
Le conflit familial autour de l’hypothèse de disparition de pièces d’or remonte à plusieurs années. Régulièrement, à chaque réunion de famille, il y avait des altercations vives autour de ce problème. L’héritage viendrait du père de Pascal et de Lydie Troadec.
Il a assassiné quatre membres de sa belle-famille pour quelques pièces d’or. C’est là qu’on mesure la folie humaine. Un homme qui tue pour un bout de métal est beaucoup plus fou qu’un schizophrène qui ne fait de mal à personne, à part peut-être à lui-même. L’affaire Troadec est là pour rappeler que l’avidité capitaliste est forcément criminelle, surtout à l’échelle d’un État. Pourtant, nous nageons en plein dedans, avec les conséquences que tout le monde voit mais que personne ne peut arrêter : esprit de compétition, destruction des solidarités – interpersonnelle, familiale, nationale –, écrasement du faible, glorification du fort, perte des valeurs et des repères…
No Border sexuelles
Dans les années 70 et 80, la France s’enorgueillissait d’avoir des médecins sans frontières, des médecins du monde. On apprit par la suite qu’il s’agissait, sous couvert d’actes de médecine bien réels, d’un projet oligarchique d’ingérence dans les affaires des pays pauvres incapables de soigner leurs habitants. Car qui peut refuser une aide médicale ? Puis vint l’aide alimentaire, grâce aux concerts gigantesques se terminant en « Aid » (Band Aid, Live Aid, Oligarch’Aid), et enfin l’ingérence militaire elle-même, à coups de bombardements et de débarquements. 50 ans après les indépendances du tiers-monde, tout était à refaire, ou presque, en matière de souveraineté des pays pauvres. Ou appauvris, selon… qu’on est de droite ou de gauche.
Trans-pirations oligarchiques
Aujourd’hui, notre oligarchie ouvre une nouvelle porte entre les frontières, sexuelles cette fois-ci, afin d’y imposer le poison de l’indifférenciation homme/femme. On a tous compris ici que la campagne mondiale pour la transidentité, les transgenres et la lutte contre la transphobie, n’était que le prélude à une destruction de la différence sexuelle, et juste derrère, de la famille. Avec, en point de mire, la sexualité enfantine livrée aux adultes. Pas étonnant que les plus gros scandales pédophiles aient lieu dans la sphère oligarchique. La transnews du jour, c’est Louis(e), la première héroïne transsexuelle, en prime time sur TF1. L’injonction a dû être forte pour que la chaîne des familles signe pour son autodestruction !
Le transpitch de la transdaube :
Perchée sur ses talons aiguilles, robe moulante et ongles soigneusement vernis, Louise emménage en face de la maison de son ex qui a refait sa vie. Sept ans après les avoir abandonnés, cette médecin espère renouer avec ses deux enfants. Mais comment se faire accepter alors que Louise (Claire Nebout) était leur père avant de disparaître pour se faire opérer et devenir femme ? Comment s’intégrer, affronter l’hostilité des siens, pour un parent qui a changé de sexe ?
L’avis d’Anne-Gaëlle Duvochel, transsexuelle et président-e-t-te-e [ne prenons pas de risques, NDLR] du groupe d’études sur la transidentité :
« C’est le monde des Bisounours. Dans la vie, c’est bien plus compliqué. Moi, j’ai attendu longtemps avant ma transformation pour éviter de démolir mes enfants. Je voulais qu’ils aient une vingtaine d’années, pour qu’ils puissent encaisser le choc. Puis on ne s’est pas vu pendant trois ans après mon opération. On s’aimait mais l’idée de me voir en femme et de me rejeter les terrifiait. Aujourd’hui, je suis grand-mère et nous avons fêté Noël tous ensemble avec mon ex. Mais cela a pris des années. »
Il sont 35 en France, on leur consacre une série sur la plus grande chaîne TV européenne, et ils crachent dans la soupe ! Ah, ces trans, jamais content-e-te-es.
Les amateurs de réseautage trouveront logique que la fiction ait été produite par Cinétévé, la boîte de prod de Fabienne Servan-Schreiber, fille du journaliste et député Jean-Claude SS, demi-sœur du banquier assassiné Édouard Stern, et mariée au trotskiste socialiste Henri Weber. N’en jetez plus ! Attendez, c’est pas nous m’sieur, c’est Wikipédia qui le dit !
Zep à la rescousse du « vivre-ensemble » oligarchique
Sans trans-ition, Zep est ce dessinateur pour petits et grands qui est devenu riche et célèbre grâce à des histoires de zizi. Maintenant qu’il touche le grand public, il ne peut pas ignorer les besoins du Système, qui utilise tous les canaux possibles pour faire passer sa propagande. Alors que Zep n’avait pas besoin d’argent, le voilà à faire des tutos en dessins animés, et mensongers en plus. La « liberté de pensée » c’est de la couille. Tous ceux qui ne pensent pas comme la ligne dominante se font emmerder économiquement, médiatiquement et juridiquement.
Cette soupe vous est vendue par une oligarchie qui vit dans des quartiers réservés, avec gardiens, digicode & porte blindée...#SurvivreAvec https://t.co/cfclLTg24p
— PrintempsFrançais (@PrintempsFrance) 6 mars 2017
Si encore Zep était dans la misère, on aurait pu comprendre cette prostitution de talent. Mais là… impardonnable ! Ce genre d’initiative anti-peuple nous rappelle Dany Boon et sa sortie contre le populisme. Du haut de ses dizaines de millions d’euros, l’expatrié en Californie donne des leçons de morale politique aux Français dans la merde. Ah ouais, donc il faudrait voter Macron, c’est ça ? Pour que tout continue dans le même sens, enrichissement d’une minorité, appauvrissement de la majorité ?
C’était la Journée de l’Or qui fait tourner les têtes... des cons et des salauds.