Le printemps est dans 6 jours, le premier tour dans 39, et les grandes vacances dans 144. Penser à mettre un compteur – ça changera de celui de la dette, dont tout le monde se fout – sur le site. Ce mercredi 15 mars 2017, que du bonheur. Valls trahit sa parole et le socialisme, rendant caduques la quasi-totalité de ses discours précédents, les livres et les « informations » se multiplient contre le FN, mais tout cela n’a aucune importance, car le Printemps du Cinéma approche.
Valls poignarde Hamon
Quand Manuel Valls s'engageait à soutenir le vainqueur de la primaire : "Je suis profondément attaché au respect des engagements pris" pic.twitter.com/X4BwBuaAwn
— l'Opinion (@lopinion_fr) 15 mars 2017
Le PS se déleste de sa dernière patte arrière gauchiste pour faire sa mue social-démocrate. Au moins, on sait à quoi s’en tenir avec ce parti centriste, libéral, féministe, européiste et sioniste, ce qui est tout à fait cohérent. Ce qui ne l’était pas, c’était un Filoche dans la même formation que Valls. Désormais, grâce à Macron, les choses sont actées. Et si d’aventure le candidat de l’oligarchie arrivait au pouvoir, on peut être certain que Valls sera à la tête de ce nouveau parti de gouvernement, qui représente l’arc – LRPS – « républicain ». En face, on s’appelle aussi les Républicains, donc c’est kif-kif bourricot.
Il reste à la droite, amputée de son centre (l’ex-UDF) à se reformer sur une base plus ou moins nationale, en tous les cas conservatrice. C’est bien ce que cherche à faire le triumvirat Ménard-Collard-Alliot en luttant pour le pouvoir en interne. Mais pour cela, il faut éjecter le gaucho Philippot. De l’autre côté de l’arc républicain, l’extrême gauche fait aussi son aggiornamento, avec une fusion plus ou moins aisée entre hamonistes et mélenchonistes. De ces blocs nouveaux, une droite nationale sociale, une droite conservatrice libérale, un centre gauche progressiste, et une extrême gauche sociale, sortiront les dirigeants de demain. Avec l’imprimatur de l’oligarchie, sauf pour les nationalistes. Car le régime socialo-sioniste a un seul ennemi : le nationalisme. D’où la multiplication des attaques antinationales, ce qui est un comble en période électorale…
Les livres et « informations » anti-FN
Sont sans effet sur l’électorat FN puisque depuis longtemps il ne croit plus les représentants de l’idéologie dominante. Est-ce que ça intéresse les autres ? Pas sûr que l’édition antinationale fasse un carton. Ça se saurait. En revanche, l’édition nationale cartonne ! Que ce soit chez les zemmouriens ou les soraliens.
VIDEO :@OlivierBeaumont(@le_Parisien) ns explique que #Marine est bien traitée par les médias & qu'il n'y a pas de complaisance pour #Macron pic.twitter.com/wdFy08cGIr
— fandetv ن (@fandetv) 14 mars 2017
On serait à la place des ces journalistes-système, ces Olivier Beaumont (du Parisien), ces Marine Turchi (de Mediapart) – auteur d’un rapport de police anti-FN déguisé en enquête journalistique –, on se demanderait à quoi sert notre boulot, par qui il est instrumentalisé, et pourquoi. Ces deux valets se rendraient vite compte, avec un peu de cervelle, qui commande, et qui punit. Oui mais, qui mord la main qui le nourrit ?
22, le Printemps du Cinéma arrive !
Ah, le ciné à 4 euros, ça permettra de penser 90 minutes à autre chose que la politique. Sauf que quand on consulte la liste des parrains de l’événement – Mathilde Ségnier, Guillaume Gouix, Abd Al Malik, Alice Belaïdi (de l’écurie Canal+), Pierre Deladonchamps (qui incarne un homo naturiste dans L’Inconnu du lac), Claude Lelouch, Anaïs Demoustier, Dominique Farrugia, Hippolyte Girardot et Felix Moati le fils de – on est soudain replongé de force dans l’idéologie socialo-sioniste que l’on pensait fuir !
Que du beau monde bien-pensant, bien diversité, bien siono-compatible ! Au secours ! Le moyen d’évasion numéro un qu’est le cinéma nous fait juste changer de cellule ! C’est comme des mecs qui creuseraient un trou dans leur cellule et qui sortiraient de terre dans une autre prison. Pas moyen d’échapper à l’idéologie dominante, les gars ! Toutes les sorties possibles sont sous contrôle oligarchique. Vous avez déjà vu un film qui prenait à partie en France ceux qui nous emmerdent du matin au soir avec leur état d’urgence, leurs lois ultra privatisées, leur communautarisme nauséabond, qu’il soit sexuel, politique ou confessionnel ? Nous non. Et après ils voudraient qu’on aille remplir leurs salles de cinéma qui n’attirent plus grand monde parce que 10 euros, voyez-vous, pour se faire salir l’esprit, c’est un peu cher.
Personnellement, il faudrait nous payer pour qu’on aille sauver le 7ème Art socialo-lgbt-sioniste, et encore, même pour 4€, on n’irait pas. Pour 100 euros la quiche subventionnée par le CNC, à la limite, avec une lampe de poche, un casque audio et un bon livre… Que les cinéastes du régime se réveillent, le peuple de France n’a plus envie de financer la propagande en se polluant le cerveau.
Remplir les salles vides à cause d’un cinéma français communautarisé et embourgeoisé à mort ? Plutôt bouquiner. Kontre Kulture est là pour ça. Un voyage dans le temps, dans l’espace, dans l’histoire et dans l’esprit. Et à chaque livre, 5 points de QI en plus. Qui dit mieux ?