On apprend que la Cour des Comptes a épinglé l’Éducation nationale. Pour les sorties délirantes du ministre Belkacem sur le genre, le sexisme, et autres ABCD de l’homosexualité ? Point du tout. Pour un projet informatique, initié en 2008, qui n’a jamais fonctionné, et qui aura coûté 300 millions à l’État. Donc à nous. 300 barres jetées par les fenêtres par des incompétents. Déjà que les 100 barres de la DILCRA nous restent en travers de la gorge, mais là… Trois DILCRA d’un coup, la nouvelle unité de mesure socialo-sioniste ! Comme on n’aime pas paraphraser, et qu’on a le respect des auteurs et des journalistes, voici le résumé de cette atrocité administrative :
L’idée initiale était en soi absurde : alors que Bercy mettait en place un système informatique pour gérer les ressources humaines de tous les ministères, l’Éducation nationale a décidé de faire bande à part en se lançant dans le Système Informatique des Ressources Humaines de l’Éducation Nationale (le SIRHEN). Le programme initial devait coûter environ 60 millions €.
Patatras ! Comme l’indique le référé du premier président de la Cour, Didier Migaud, près de dix ans plus tard, le système ne fonctionne toujours pas et plus de 300 millions seront finalement engloutis dans le projet. Les prestataires informatiques doivent se frotter les mains.
Et là, on ajoute notre grain de sel. Que ce soit à l’EDF ou à l’ÉducNat, à la SNCF ou dans n’importe quel autre grand groupe public à 51 ou 100% étatisé, il faut savoir que beaucoup se font « entuber » par le Marché. Autrement dit, dès qu’il y a un gros développement avec prestataire extérieur, on applique à la société publique le tarif « touristes ». C’est ce qui est arrivé à l’informatique de la SNCF, et qui explique pourquoi, pendant longtemps, les réservations ont été une galère sans nom. L’explication de cette gabégie ? Les responsables des achats n’ont pas le même sens des responsabilités que ceux des entreprises privées car de toute façon, le fric c’est pas eux qui le gagnent…
C’était la minute populiste du Râleur. Venons-en à la minute populiste de la Râleuse. La Râleuse du jour, c’est Najat Belkacem.
Qui sème le vent antiraciste récolte la tempête racaille
Mardi 7 mars 2017, dans le lycée Suger de Saint-Denis (93), des dizaines de mineurs ont foutu le souk. Ausstiôt, n’écoutant que son courage, le ministre a tapé du poing sur la table en caoutchouc :
« Il y a une digue qui semble avoir sauté avec l’introduction de la violence non plus seulement sur le parvis des établissements mais à l’intérieur des établissements. Ce sont des actes gravissimes (…) qu’il faudra sanctionner fermement »
- Manif "antiraciste" en soutien à Théo le 25 février à Paris
Étonnant. D’un côté le PS laisse les lycéens et les étudiants saborder leurs études pour mettre le feu dans la rue et créer une contestation factice contre le « racisme », c’est-à-dire contre le FN, si l’on applique le logiciel d’amalgames maison, de l’autre il pleurniche parce qu’il n’y a plus d’autorité dans les bahuts. C’est vrai, et ça ne date pas de Belkacem, les profs ont été désarmés moralement, et les flics matériellement. Du coup, c’est royal au bar pour les casseurs. En désavouant les profs, en montrant du doigt les flics, les socialistes ont rendu possible le chaos social actuel. C’est une autre forme de terrorisme. Et là encore, ça vient d’en haut, des petits calculs oligarchiques. Dur pour les lycéens et les étudiants de banlieue qui veulent s’en sortir et qui rament pour trouver du taf, quand le PS leur fout toute cette merde en plus dans la besace… C’est la double peine ! Ou la double pince entre racailles d’en haut et racailles d’en bas, qui travaillent en collusion.
"Delanoë rejoint Emmanuel, Bergé et Cohn Bendit...... Ça va être chaud !" pic.twitter.com/wKoA2PPbe3
— Stalker (@_Stalker_69_) 8 mars 2017
Le PS étant en train de crever, on laisse la gauche du parti à Hamon – dont tout le monde se fout – et on part avec les cadres et le trésor de guerre chez Macron, ni vu ni connu. On l’a déjà dit 100 fois, mais le candidat du renouvellement, il repassera : on retrouve chez lui toute la super-racaille rose, de DSK à Bergé en passant par Delanoë et Cohn-Bendit. Macron et En Marche ! c’est quoi ? Un double lifting, de Hollande et du PS. Si les Français élisent « ça » le 7 mai, ils n’auront que leurs yeux pour pleurer et mériteront leur punition. Car ils seront punis : on ne respecte que ce qui nous résiste.
Eh bien nous on résiste ! Et on espèce que ce soir, le PSG va résister à la tempête blaugrana, qui va essayer de remonter 4 buts pris au match aller. Barcelone, c’est le temple du foot, et les 90 000 spectateurs du Nou Camp attendent un miracle. En foot, tout est possible, on appelle ça une remontada, et le monde du sport n’a que ce mot-là à la bouche aujourd’hui. Et ça énerve.
Qu'est ce qu'ils me fatiguent tous avec leur remontada
— Pierre Ménès (@PierreMenes) 8 mars 2017
Que ce match passe vite juste pour qu'on entende plus ce mot... R..STOP ! Il y a bcp de trop de gens qui en France le souhaitent. C malsain
— Daniel Riolo (@DanielRiolo) 8 mars 2017
Les spécialistes, qui ont un sentiment antifrançais chevillé au corps, donnent le Barça gagnant. En France, on ne connaît pas le nationalisme comme en Espagne. Là-bas, on n’a pas de complexe avec ça. On y croit dur comme fer et ils sont pas prêts de changer. Quand verra-t-on les Français redevenir fiers de leur pays ?
On dit qu’il faut autant de temps pour nettoyer ses poumons qu’un fumeur a passé de temps à fumer. La propagande antifrançaise ayant commencé dans les années 80 dans les médias, qui sont passés peu à peu sous le joug socialo-sioniste, alors, d’après nos calculs savants, il faudra attendre 2050.
Oh et puis merde, vive la France, et aux chiottes les perdants !