Paris je t’aime, le clip plus dangereux pour le tourisme que les attentats
Après avoir sali la capitale avec les migrants et les terroristes (deux formes de violence oligarchique), le socialisme à la française se rend compte que la cote de Paris, la ville rose, s’est effondrée dans le top 10 mondial. Pour remédier à cela, une seule chose est venue à l’idée des génies de la mairie : un clip. Une mise en scène grotesque de Noirs, de Blancs et de Bruns, au ralenti, avec du bonheur factice plein la gueule. Ça pue le marketing désuet, la pub pour banque voleuse, et en plus, la chanson est en anglais !
Le socialisme parisien, qui a inondé d’art contemporain les musées encore fréquentables, qui a vendu l’immobilier aux prédateurs anglo-saxons, qui a laissé se communautariser des quartiers entiers, au point qu’on ne se sent plus en France dans le XVIIe, dans le XVIIIe, dans le XXe arrondissement, et encore moins dans le XVIe, se demande pourquoi tout foire.
L’image qui résume tout ? Anne Hidalgo qui se trémousse maladroitement sur un « son » de David Guetta, le maître de la Béatitude dollarisée, et accessoirement du plagiat artistique.
Erratum : pour une fois, les concepteurs de l’image de la ville n’ont pas incrusté de gays dans le tableau. Rien à voir avec de l’homophobie : la campagne olympique foireuse de l’ère Delanoë a laissé un souvenir douloureux… Se déclarer « capitale gay » peut avoir des conséquences funestes sur le business. Mince, on n’arrive pas à retrouver le type qui avait dit, dans son testament, que Paris était, en substance, une ville de juifs, de socialistes et de migrants...
À propos de gaieté, on peut dire ce qu’on veut de Hollande, qu’il est en surclassement, qu’il accumule les conneries sur la scène diplomatique (foutons-le vite dehors pour reprendre nos relations avec la Russie et tous les non-alignés), qu’il a capitulé devant Valls et le CRIF, mais il est une chose qu’on doit lui reconnaître, en ces temps de théorie du genre transmachin, c’est qu’il est 100% hétéro. Un gros cochon qui chope de la dinde culturelle à la tonne. Comme Sarko, comme Chirac, comme Mitterrand, mais pas comme de Gaulle. Lui, il était au-dessus de ça, au-dessus des hommes et des femmes. Son amour, c’était la France. L’amour de Hollande, c’est pas la France, c’est le petit cul des actrices. On aime ce qu’on peut, hein.
« J’adore la cuisine française, et aussi celle de l’Italie du Nord. Depuis mes 14 ans, je m’intéresse à la littérature française. Les Françaises peuvent aussi se targuer d’avoir les plus beaux culs. »
Dixit Jim Harrison, l’écrivain récemment parti dans les plaines éternelles du Montana.
Le petit Valls attend son tour de manège royal
Courir après les morues ne fait pas un président. Au moment où Chirac glisse lui aussi dans l’Au-Delà, on découvre ses relations amoureuses. La presse les « dégèle ». Marie-France, Jacqueline, Michèle… Le bougre aura bien vécu. La bouffe, les femmes et le pouvoir, y a pas à tortiller, ça vous requinque un mec. D’ailleurs, quand ils quittent le pouvoir, ou plutôt quand le pouvoir les quitte, ils flétrissent à vue d’œil. Leur vraie maîtresse, c’est le pouvoir. L’anneau !
Un qui a encore les gonades bourrées de testostérone monarchique, c’est le petit Iznogood de Matignon. Lui, ça fait deux ans qu’il piaffe, avec son sponsor principal (CRIF) qui lui excite l’arrière-train à coups de pique-bœuf. Il a envie d’aller au contact, il fume des naseaux, il gratte le sol de ses Weston (y a plus de belle chaussure française), il a envie de tout défoncer. Quand ils vont le lâcher dans l’arène, ça va faire mal.
Le Premier ministre du CRIF a de quoi jubiler. Son président et chef, François Confessions Intimes Hollande, est en train de se noyer dans ses calculs à cinq bandes. Le tableau de la France est trop noir pour une remontée, on lui prédit un score à un chiffre, autant dire l’humiliation nationale, en 2017. Le pauvret nous fait penser à ces arbitres sud-américains qui ne peuvent plus rentrer chez eux, après un penalty sifflé à la dernière minute contre l’équipe locale. Il faut alors changer de métier, de pays, et de visage. Le programme de protection des témoins du FBI, c’est une possibilité, pour François le Petit. Peut-être la seule.
- Les employés de Soros au boulot
Quant aux Français, eh bien, ma foi, ils se débrouillent. En étant aussi mal gouvernés, c’est le système D qui reprend de la graine. Entre le chômage de masse et les hordes de migrants, les bombes terroristes et la connerie médiatique, se frayer un chemin n’a rien d’une sinécure. C’est dur pour tout le monde, pour les Français et les non-Français.
Hier soir, une interprète afghane a été violée et la journaliste qui la suivait agressée aux abords de la jungle de Calais. Vous savez, le réservoir à bêtes sauvages sorossiennes, qui sert à diluer nos frontières, nos services publics, notre justice, notre franc-parler et notre vivre-ensemble, tout ce qui résiste et que l’oligarchie américano-sioniste ne supporte pas. Si on refoule ces nouveaux barbares, on est des salauds ; si on les bute, on est des nazis ; si on les accepte, on est des cons.
Quelqu’un a une solution ?